12 mars 2023

Des compléments alimentaires ANTIDOTES contre les effets secondaires du vaccin

Les molécules citées sont utilisés efficacement contre le covid, des études scientifiques donnent des informations nouvelles sur leur rôle d’antidote.

Comment se débarrasser de la fameuse protéine S post vaccinale et de ses virions ? Le professeur Montagnier songeait déjà à la vitamine C associée à la N-Acétylcystéine (NAC) contre les effets post vaccinaux.

La N-Acétylcystéine, également appelée NAC pour N-Acétyl-Cystéine, est un précurseur de l’acide aminé L-Cystéine. Il s’agit d’un acide aminé non essentiel ayant un rôle primordial dans la formation des ponts disulfures, véritables ciments des protéines. Il assure la structuration et la stabilité des cellules puis des tissus.

Ainsi, cet acide aminé intervient dans de nombreuses fonctions métaboliques, dont la synthèse de la mélanine, de la coenzyme A, la formation de la peau, des ongles et des cheveux ainsi que dans la régulation du mucus des voies respiratoires.

Par voie orale, l’acétylcystéine est utilisée dans la prise en charge de troubles des sécrétions bronchiques.

Par voie ophtalmique, elle est utilisée dans la prise en charge de cicatrisations cornéennes.

Par voie injectable, elle est utilisée dans la prise en charge d’intoxications aigües par le paracétamol. En toxicologie, l’acétylcystéine est un précurseur du glutathion, susceptible de pénétrer dans les cellules. C’est essentiellement par ce biais qu’elle protège les hépatocytes. Le glutathion neutralise, en effet, les entités électrophiles produites par le métabolisme du paracétamol. 

Par voie trachéobronchique, elle est utilisée dans la prise en charge d’encombrements bronchiques chez le trachéotomisé.

Dans la bronchite et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), les poumons perdent du glutathion et accumulent trop de mucus, ce qui réduit leur fonction et rend la respiration plus difficile. Lorsque vous prenez du NAC dans cette situation, il reconstitue le glutathion pulmonaire et fluidifie le mucus.

Le résultat est que les patients atteints de bronchite qui ont pris du NAC, au cours des 3 à 6 mois précédents, présentent des taux plus faibles d’«exacerbations» (épisodes d’aggravation) et voient leurs symptômes s’améliorer. Il en va de même pour les patients atteints de maladie pulmonaire obstructive chronique, qui suivent un traitement de NAC pendant un an, ils bénéficient d’une capacité pulmonaire améliorée.

Une étude chez des personnes âgées a donné des résultats remarquables. Les sujets ont été randomisés dans l’un des deux groupes. Le premier groupe a reçu un placebo. Le deuxième groupe a reçu 600 mg de NAC, deux fois par jour, pendant 6 mois. Au cours de l’étude, ils ont suivi les symptômes « de type grippal » dans les deux groupes, constatant que le groupe prenant le NAC en avait beaucoup moins que le groupe placebo. Ensuite, ils ont testé les sujets pour les anticorps antigrippaux et ont constaté que les deux groupes avaient des taux de séroconversion égaux. Les deux groupes étaient également susceptibles d’avoir contracté la grippe au cours des 6 mois, mais seulement 25% du groupe NAC infecté ont présenté des symptômes contre 79% du groupe placebo infecté qui présentait des symptômes.

La combinaison de Bromélaïne et d’Acétylcystéine (BromAc) inactive de manière synergique le SRAS-CoV-2

La broméline, ou bromélaïne, est une protéase à cystéine extraite des tiges et racines fraîches de l’ananas. Le nom donné à cette enzyme vient de la famille des broméliacée dont est issu l’ananas.

La combinaison de bromélaïne et d’acétylcystéine (BromAc) présente un effet mucolytique synergique qui est utilisé dans le traitement des tumeurs mucineuses et comme chimiosensibilisant de plusieurs médicaments anticancéreux

Le traitement de la protéine de pointe avec de l’acétylcystéine seule n’a montré aucune altération de la protéine, alors que des concentrations de bromélaïne à 50 et 100 µg/mL et de BromAc à 50 et 100 µg/20 mg/mL, ont entraîné une altération de la protéine. BromAc a également montré un effet inhibiteur sur le SRAS-CoV-2 de type sauvage et mutant de pointe par inactivation de sa capacité de réplication in vitro. Par conséquent, BromAc peut être un agent thérapeutique efficace pour l’infection précoce par le SRAS-CoV-2, malgré les mutations, et a même un potentiel prophylactique chez les personnes à haut risque d’infection.

 

https://www.mdpi.com/1999-4915/13/3/425

LA MÉLATONINE À TRÈS FORTE DOSE (1.000 mg) permet d’obtenir une stabilisation de la maladie chez 54% des patients atteints d’un cancer très avancé, et de guérir les covid sévères

La plupart des gens prennent la mélatonine pour dormir. Mais lorsqu’il est pris à des doses importante, il a des effets anti-inflammatoires et cicatrisants incroyables. Réduit considérablement la mortalité dans les cas de Covid, de pneumonie, de septicémie, etc...

La mélatonine à haute dose est généralement sans danger. Contactez votre médecin si vous avez des doutes. Lorsqu’ils ont administré une dose massive de mélatonine aux nouveau-nés atteints de septicémie, les résultats étaient ZÉRO % de taux de mortalité (généralement 30%) et aucun effet secondaire.

Il est connu depuis plus de 50 ans que la glande pinéale ( une petite glande endocrine de l’épithalamus du cerveau des vertébrés, qui sécrète la mélatonine, et joue par son intermédiaire un rôle central dans la régulation du rythme biologique) joue un rôle fondamental dans la résistance biologique naturelle contre l’apparition et la croissance du cancer. Le rôle anticancéreux de la glande pinéale est dû à la production de plusieurs molécules antitumorales dont la plus connue est l’hormone indole mélatonine (MLT). Malheureusement, bien qu’il existe de nombreuses preuves expérimentales que la mélatonine est non toxique, aucun oncologue ne semble s’intéresser à l’utilisation clinique de la mélatonine dans le traitement des néoplasmes humains, du moins d’un point de vue palliatif.

Sur cette base, une étude préliminaire avec une dose très élevée de mélatonine, consistant en 1.000 mg/une fois par jour le soir, a été réalisée chez des patients cancéreux incurables, qui ne répondaient pas aux thérapies anticancéreuses conventionnelles, et pour qui le seul traitement disponible était la thérapie palliative. Le traitement a été bien toléré et un contrôle de la maladie a été obtenu chez 54% des patients. Ces résultats préliminaires justifieraient de nouvelles études cliniques pour générer une nouvelle interprétation du contrôle du cancer, consistant en la reproduction pharmacologique des mêmes mécanismes responsables de la résistance naturelle contre le développement du cancer.

 

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