D’après Le Point, la plainte de Brigitte Macron visait à obtenir la suppression de la vidéo et le versement de dommages et intérêts pour atteinte à la vie privée et au droit à l’image. Mais le tribunal judiciaire de Paris a annulé la procédure le 7 mars 2023, estimant que les faits reprochés relevaient de la diffamation publique et non de l’atteinte à la vie privée. Les demandeurs avaient également dénoncé des atteintes au droit à l’image.
Il est difficile d’imaginer que la Première dame de France, accompagnée des meilleurs avocats, ait commis une erreur en qualifiant sa plainte de diffamation plutôt que d’atteinte à la vie privée. À moins qu’elle ne cherche à abandonner l’affaire au plus vite et à ne pas aller plus loin !
Nous invitons nos lecteurs à en savoir davantage sur cette histoire confuse en compagnie de Xavier Poussard de « Faits & Documents » :
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