La guerre des mondes

« Les ballons espions chinois sont très probablement une opération visant à tirer la chaîne collective des civils/militaires. » – Thomas L. Thomas 

N’avez-vous pas eu l’impression ce week-end que nous vivions dans le conte classique de HG Wells où la terre est envahie par de sinistres vaisseaux spatiaux extraterrestres ? Notre gouvernement joue de cette histoire comme un concerto pour basson. « Les responsables américains ne savent pas ce que sont les objets, et encore moins à quoi ils servent ou qui les a envoyés », rapporte le New York Times, reprenant une phrase de tous les films d’horreur des années 50. Quand les fourmis géantes apparaissent-elles sur Fremont Street à Las Vegas ?

On dirait qu’ils vont faire durer le suspense aussi longtemps que possible. Oh, nous ne pouvons pas récupérer ce truc en Alaska à cause du voile blanc… Oh, l’autre truc – le tic-tac argenté à huit côtés – est tombé dans le lac Huron, glug glug… et le premier, la grosse charge utile du ballon, se trouve maintenant au fond du casier de Davy Jones. Tu vas devoir attendre, mon gars…..

Regardons les choses en face, toutes les autres balivernes mises en place par les responsables ne perdent pas seulement leur mojo – elles génèrent un retour de bâton désagréable sous la forme d’une méfiance généralisée envers l’autorité et d’un effondrement institutionnel. Même les électeurs Démocrates commencent à soupçonner que les vaccins qu’ils ont accueillis comme une sainte délivrance ne sont peut-être pas si bons pour vous après tout. J’attends que la tête de Rob Reiner explose quand il commencera à remarquer le nombre de jeunes membres de la SAG-AFTRA qui se réveillent morts à West Hollywood.

Plus précisément, vous avez maintenant raison de soupçonner que tout l’épisode de la Covid-19, depuis la conception du coronavirus SRAS-CoV-2 jusqu’aux injections de modification génétique distribuées par Pfizer et Moderna (faussement appelées « vaccins »), était une opération conjointe Services secrets-Ministère de la Justice, et non une véritable crise de santé publique. Le mystère persistant est… pourquoi ? Pourquoi mettre la civilisation occidentale sans dessus-dessous et ensuite essayer de faire passer le tout dans un trou à rat ?

Franchement, le seul angle qui a du sens est que notre gouvernement est captif d’une force hostile. Le WEF, l’OMS et l’ONU sont les coupables les plus évidents, certainement ceux dont on parle le plus et qui sont les plus actifs sur la scène. Mais jusqu’à il y a quelques années, ces organisations n’avaient aucune influence réelle sur le monde. Elles étaient de mauvaises plaisanteries… ne faisant que prétendre protéger les intérêts de la communauté mondiale… en réalité complètement incapables, totalement incompétentes. Klaus Schwab, Tedros Adhanom Ghebreyesus ? S’il vous plaît ! Dans quelle usine de Muppets ont-ils été fabriqués ? L’ONU n’était qu’un simple collectif d’arnaques et de rackets du tiers-monde. Et tout le monde le savait, mais le monde développé a joué le jeu pour faire plaisir à ces nations malheureuses et à leurs fonctionnaires cupides, parce que l’arnaque ne rapportait que de la menue monnaie.

Vous auriez plus de raisons de soupçonner que ces organisations servent de couverture à autre chose, et que cette autre chose pourrait être le PCC. La guerre culturelle marxiste contre les manières et les valeurs américaines est indubitablement une répétition de la révolution culturelle chinoise, avec toutes ses insultes contre la raison, la tradition, la coutume, le bon sens et les procédures légales. La vague titanesque de la folie woke a éclos dans les universités au cours de nombreuses décennies – des lieux facilement infiltrés par des agents malveillants – et s’est répandue dans l’activisme politique de la gauche, en particulier au sein du parti Démocrate – qui a maintenant un président vedette impliqué dans des affaires de corruption et de trahison.

Comment et pourquoi les preuves de ces crimes ont-elles été si sournoisement supprimées alors qu’elles auraient dû être présentées à un grand jury en 2019, dès que l’ordinateur portable de Hunter Biden a fait surface. Cet ordinateur était rempli d’un riche dossier documentaire sur les crimes les plus insignifiants (drogues et prostituées) et les plus graves (pots-de-vin versés par des acteurs étrangers). Les efforts extraordinaires déployés par le DOJ et le FBI pour le cacher, ou prétendre ne pas y jeter un coup d’œil, constituent l’un des actes les plus transparents et les plus dégénérés jamais vus dans l’histoire des États-Unis – et se poursuivent à ce jour.

Et maintenant, tout cela se dénoue rapidement, toute la tromperie et le mensonge organisés. On pourrait peut-être arguer que les agences gouvernementales américaines, cet agrégat d’intérêts que nous appelons l’État profond, sont devenues complètement folles de culpabilité, de peur et de honte face à leur propre criminalité rampante qui dure depuis longtemps, mais même cela ne répond pas à la question de savoir comment il se fait, par exemple, que le CDC continue à faire des piqûres de rappel d’un cocktail toxique issu du génie biologique qui mutile et tue les gens. Ont-ils pour objectif de réduire la population américaine, alors que le DHS fait passer illégalement la frontière à des millions de personnes venant d’autres pays ? L’État profond travaille-t-il à la volonté de la Chine contre nous et le reste de l’Occident ? Avons-nous collaboré avec nos adversaires dans notre propre effondrement ?

Tous les tropes totémiques habituels que l’État profond emploie pour intimider ses opposants – Russie, suprématie blanche, extrémisme de droite, racisme, misogynie, transphobie, bla bla – ont perdu leur pouvoir d’effrayer les non-insensibles. De moins en moins d’Américains croient les conneries officielles sur la « protection » de l’Amérique contre la « désinformation ». Il est parfaitement évident maintenant que la « désinformation » est un synonyme de « la vérité ». Alors, que leur reste-t-il ? Une invasion d’OVNI ? C’est là qu’ils en sont arrivés ? Je pense que oui.

Les forces s’alignent maintenant pour secouer ce système grinçant jusqu’à ses fondations. Le moment critique arrivera très probablement lorsque les marchés financiers s’effondreront et que le dollar américain sera réduit par la dérision internationale à un symbole de décrépitude presque sans valeur. Le public peut apparemment supporter un grand nombre de manipulations, de doubles jeux et de dérogations. Mais tout cela change lorsque vous ne pouvez plus acheter de nourriture. Le Superbowl est terminé. Nous voici maintenant, au cœur de l’hiver, à attendre que le sol bouge. La réalité est là dehors, hurlant contre une lune froide, s’apprêtant à écraser notre ennemi, comme une proie apeurée. D’ici peu, vous verrez du sang sur la neige.

James Howard Kunstler

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone