La suppression du ramassage des ordures fait jaser en Dordogne. Les électeurs du sud-est de ce département, désormais occupés à incendier les containers automatisés censés remplacer le ramassage classique, n’obtiennent pourtant que ce qu’ils ont demandé en envoyant des élus NUPES à l’Assemblée.
C’est donc avant tout l’étonnement touchant du cocu qui rend intéressant ce numéro d’Envoyé Spécial sur la grogne des riverains submergés par les ordures qu’ils ont eux-mêmes élues, reportage dont on se gausse déjà jusqu’en Hongrie.
Ordures de Dordogne, ordures de Paris : rupture du lien étatique
Faute de citoyens comprenant subjectivement ce qui leur arrive, c’est la réalité immanente qui se charge des conséquences : dans le village de Saint-Cyprien, c’est le maire qui, s’exposant ainsi à des amendes, organise un ramassage « sauvage » des poubelles, un peu comme, dans l’Empire romain finissant, certains préfets (en voie de transformation en roitelets barbares) avaient fini par prendre en charge la chose publique, délaissée par Rome.
L’étape suivante est bien entendu la désertion fiscale, étant donné qu’on ne voit plus très bien à quoi bon cotiser au budget d’une métropole impériale qui ne semble avoir d’argent que pour financer des juntes militaires slaves, des fabriques de sérums douteux, l’hystérie féministe et ce que le complotiste Macron appelle lui-même « la transition démographique » (d’autres complotistes disent : le grand remplacement). Car, en fin de compte, tout consommateur sédentaire finira toujours par devoir faire un sort à ses propres ordures.
Faute de citoyens comprenant subjectivement ce qui leur arrive, c’est la réalité immanente qui se charge des conséquences : dans le village de Saint-Cyprien, c’est le maire qui, s’exposant ainsi à des amendes, organise un ramassage « sauvage » des poubelles, un peu comme, dans l’Empire romain finissant, certains préfets (en voie de transformation en roitelets barbares) avaient fini par prendre en charge la chose publique, délaissée par Rome.
L’étape suivante est bien entendu la désertion fiscale, étant donné qu’on ne voit plus très bien à quoi bon cotiser au budget d’une métropole impériale qui ne semble avoir d’argent que pour financer des juntes militaires slaves, des fabriques de sérums douteux, l’hystérie féministe et ce que le complotiste Macron appelle lui-même « la transition démographique » (d’autres complotistes disent : le grand remplacement). Car, en fin de compte, tout consommateur sédentaire finira toujours par devoir faire un sort à ses propres ordures.
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