Philippe Etchebest alerte sur les difficultés pour les restaurateurs et il a évidemment raison. Aucune profession ne peut supporter une multiplication par 5 ou plus de sa facture d’électricité. Certains restaurateurs ferment déjà et vont laisser les deux mois les plus froids, janvier et février, qui ne sont pas en plus les mois les plus dynamiques puisque les gens sortent des fêtes, pour ouvrir à nouveau au mois de mars quand les températures remontent et deviennent plus clémentes.
Assister à cela est terrible. D’autant plus que nous avons la possibilité de faire autrement.
Au-delà des restaurateurs, c’est toutes les structures avec une faible trésorerie et des faibles marges qui seront touchées.
On en parle pas, mais les associations importantes, les écoles privées, sans oublier de nombreuses PME vont terriblement souffiri.
Le gouvernement essaie de retenir au maximum les aides pour ne pas alourdir le déficit budgétaire, mais cette retenue sera impossible à maintenir dans la durée car les dégâts économiques engendrés coûteront plus chers à la collectivité que le sauvetage des entrerpises et structures concernées.
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