Michel Onfray n’est que le reflet d’une réalité désormais mondiale : ils ont perdu !

Le philosophe subventionné Michel Onfray redoublant de remords post-covidistes dans une vidéo récente n’est que le reflet français d’une réalité désormais mondiale : ils ont perdu.
En Hongrie, où le gouvernement, intimidé par ses darons davosiens (via, notamment, feu Angela Merkel), il y a encore un an, communiquait sur le thème « le vaccin fonctionne », c’est désormais à l’auteur de la présente brève (qui est aussi celui du Magicien de Davos) que la radio publique demande de commenter l’édition 2023 du sommet de Davos. Sommets désormais déclarés « toxiques », non pas par Modeste Schwartz ou Silvano Trotta, mais par Politico.

À l’échelle internationale, le coup de grâce au récit covidiste est bien sûr venu du pays qui avait, en tout premier, lancé la psychose : de cette Chine Populaire qui a récemment décidé (sans le dire dans ces termes) d’adopter le « modèle suédois », c’est-à-dire le modèle de la normalité médicale « ancienne » : considérer les grippes comme des grippes, au lieu d’essayer de les faire passer pour des pestes noires.

Onfray reniant le covidisme : prologue à l’âge post-Schwab

Pour le grand complice chinois de Schwab, désormais en possession de l’option privilégiée sur les énergies russes dont disposait jadis l’Europe, le Great Reset (arrivé à son chapitre « ukrainien ») a désormais fait le boulot. Et, les masses chinoises constituant encore une classe ouvrière (productive), le Parti Communiste Chinois – même s’il adore les fliquer – n’a pas forcément envie de les livrer à la fureur meurtrière et stérilisatrice des néo-malthusiens du GAVI de Bill Gates.

Du coup, tous ceux qui (du FIDESZ hongrois à Michel Onfray), sans s’identifier à la ligne « transhumaniste » de Davos, s’imaginaient encore, en 2020, pouvoir extorquer un strapontin dans la loge des gagnants du Reset, se rendent à présent compte qu’ils risquent surtout de servir de boucs-émissaires. D’où ces remords, aussi massifs que tardifs.

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