Plusieurs comptes Twitter spécialisés dans la propagande covidiste anxiogène ont récemment été démasqués comme des faux : identités inexistantes, photographies prélevées dans des banques de données. Ces médecins qui n’ont jamais existé prétendaient être aussi des « personnes LGBT » qui, entre deux dénonciations d’agressions homophobes, étalaient en ligne le deuil d’un proche « mort du covid ». C’est d’ailleurs un écrivain gay qui a découvert le pot aux roses, et le San Francisco Standard, qui dévoile toute l’affaire, de se demander avec candeur : quelles ont bien pu être les motivations des faussaires ?
There's this account -- Dr. Robert Honeyman -- who says their sister died of covid in Nov and now their husband is in a coma with covid. I cannot find any record of them anywhere, from any academic institution. On the left is a stock photo and on the right is their profile photo. pic.twitter.com/DFwxVqv9HL
— joshua gutterman tranen (@jdgtranen) December 13, 2022
Ce qu’on discerne en filigrane derrière cette prise de conscience tardive, c’est le sentiment de culpabilité d’une partie de l’establishment woke, réalisant que ses réseaux d’influence ont, pendant plus de deux ans, été confisqués par les forces mondialistes à l’origine de la mise en scène covidienne.
Tant qu’à vivre sur Twitter, on peut aussi « mourir du covid »
Mais comme disait Debord, « dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux » : en se posant ce genre de questions œdipiennes, le San Francisco Standard cherche peut-être aussi le moyen de ne pas se demander : comment les représentants auto-désignés d’une communauté fictive pourraient bien ne pas constituer un modèle idéal pour des identités contrefaites en vue de promouvoir une pandémie imaginaire ?
Après tout, cet univers – le nôtre – où la grippe a été élevée au rang de peste noire à partir de mars 2020 est aussi celui où, depuis des décennies, une catégorie purement statistique, sociologiquement disparate, d’individus n’ayant en commun que des déviances sexuelles plus ou moins prononcées a pu être – faute de lutte des classes – promue à la dignité de substitut de classe ouvrière : la « communauté LGBT ». Cette compréhension du covidisme comme la culmination d’un processus culturel bien plus ancien (que récent, j’ai nommé Køvíd.
Source
Tant qu’à vivre sur Twitter, on peut aussi « mourir du covid »
Mais comme disait Debord, « dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux » : en se posant ce genre de questions œdipiennes, le San Francisco Standard cherche peut-être aussi le moyen de ne pas se demander : comment les représentants auto-désignés d’une communauté fictive pourraient bien ne pas constituer un modèle idéal pour des identités contrefaites en vue de promouvoir une pandémie imaginaire ?
Après tout, cet univers – le nôtre – où la grippe a été élevée au rang de peste noire à partir de mars 2020 est aussi celui où, depuis des décennies, une catégorie purement statistique, sociologiquement disparate, d’individus n’ayant en commun que des déviances sexuelles plus ou moins prononcées a pu être – faute de lutte des classes – promue à la dignité de substitut de classe ouvrière : la « communauté LGBT ». Cette compréhension du covidisme comme la culmination d’un processus culturel bien plus ancien (que récent, j’ai nommé Køvíd.
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