A contre-courant

Kash Patel : Entretien exclusif avec Donald Trump – Epoch Times

« De nos jours, quand on dit que quelque chose est « très improbable », c’est du vocabulaire de poche pour dire « c’est presque certainement vrai ». » – Jeff Childers (le blog Coffee with Covid)

Tant de calamités, de questionnements et de mystères tourbillonnent dans l’air du temps ces jours-ci que la vie aux États-Unis donne l’impression de nager contre une marée montante de guacamole empoisonné. Rien n’a pu arrêter ce dégueulis vert de la Gauche politique, d’autant plus qu’il profane notre langage même pour tout transformer en haut, en bas, et tout en dedans, en dehors. On finit par noyer le consensus sur la réalité sous la fange. Il y a maintenant des forces politiques qui s’opposent à toute cette malice et cette tromperie délibérées et elles auront besoin d’une sorte de lance à incendie pour nettoyer les lieux.

La caractéristique la plus marquante de cette maladie politique est l’absence totale de responsabilité pour les insultes grossières contre l’intérêt public, c’est-à-dire les choses qui comptent vraiment. Comme la députée Ilhan Omar l’a dit un jour de manière si indirecte, « certaines personnes ont fait certaines choses ». Oui, des personnes sont à l’origine de tous ces méfaits contre le pays et aucune d’entre elles n’a encore eu à en répondre. Cela importera-t-il s’ils le font ? Il se peut que cela ne corrige pas tous les désastres de ces dernières années, mais cela peut prévenir d’autres désastres à venir alors que la nation se débat avec des changements épiques du modèle économique pour tout gérer dans ce pays. Certaines personnes devront faire beaucoup de choses pour redresser notre programme.

Tout le monde sait maintenant que le nouveau Congrès réunit plusieurs commissions pour tenter de le faire. L’une d’entre elles est la commission sur la militarisation du gouvernement fédéral. C’est un excellent nom pour ce comité, car les fonctionnaires qui dirigent les moteurs de l’État ont mené une guerre contre le peuple. Après tout, le gouvernement est censé être un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, et non un gouvernement contre le peuple. Par où commencer ?

L’ancien procureur des États-Unis et chef de cabinet du secrétaire d’État à la Défense, Kash Patel, a eu une bonne idée : commencer par la dernière insulte faite au pays. Faites venir l’avocat spécial récemment nommé pour le scandale des documents volés de « Joe Biden ». Il s’appelle Robert Hur. Il était l’un des principaux assistants du procureur général adjoint Rod Rosenstein au plus fort du RussiaGate, et la liaison avec l’opération de Robert Mueller. M. Hur a participé au dépôt de mandats falsifiés basés sur les absurdités du dossier Steele auprès du tribunal FISA. Il aurait dû en être tenu responsable. Il n’est pas apte à servir d’arbitre juridique dans un scandale national. Il n’a pas été nommé pour faire la lumière sur cette affaire, mais pour l’enterrer sous un tas de conneries procédurales, en particulier, l’esquive selon laquelle on ne peut pas répondre aux questions sur les « enquêtes en cours ». Désarmons cette arme dès le départ. Et pourquoi ne pas nommer M. Patel conseiller principal de la commission sur l’armement du gouvernement ?

Une autre personne qui doit répondre immédiatement est la directrice du CDC, Rochelle Walensky, parce que son agence continue à promouvoir agressivement les « shots » d’ARNm fortement impliqués dans la cause de blessures et de décès parmi le peuple américain. Il n’y a pas d’armes plus évidentes contre le peuple que ces produits mortels commercialisés par Pfizer et Moderna. La croisade de « vaccination » du gouvernement doit cesser au plus vite. Plus une seule dose de ce produit ne devrait être administrée à quiconque. Un audit doit être réalisé sur la base de données du CDC pour déterminer exactement comment elle a été manipulée pour cacher les faits concernant les blessures et les décès dus aux « vaccins ».

Le public devrait également savoir pourquoi le CDC de Mme Walensky a promu des « paiements incitatifs » aux hôpitaux pour chaque patient décédé après avoir été testé positif à la Covid-19 (mais pas nécessairement morte de la Covid-19). Les paiements par patient variaient énormément d’un État à l’autre, de 18 000 dollars (NJ) à 471 000 dollars (WVa). Pourquoi ? Les paiements représentaient une aubaine pour les administrateurs des hôpitaux, qui étaient incités à laisser les gens mourir sous respirateur.

La commission sur la militarisation du gouvernement pourrait également citer à comparaître le commissaire de la FDA, Robert M. Califf, et ses deux prédécesseurs lors de l’événement Covid-19, Janet Woodcock et Stephen Hahn. Le pays a besoin d’entendre ce qu’ils savaient de l’opération qui a produit les « vaccins » à une vitesse si étonnante – comme si ces produits étaient en quelque sorte en cours de développement avant même que la Covid-19 n’apparaisse sur la scène. Ils doivent également répondre des manigances qui se cachent derrière les éléments suivants : les essais de « vaccins » truqués et accélérés ; la diabolisation et la mise hors la loi virtuelle de médicaments sûrs et efficaces approuvés par la FDA pour le traitement précoce, l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments ; la promotion du remdesivir toxique comme thérapie primaire pour la Covid-19 ; et l’initiation et la prolongation (pendant trois ans) d’une autorisation d’utilisation d’urgence qui a protégé les compagnies pharmaceutiques de toute responsabilité alors que les blessures et les décès se multipliaient.

Il est évident que de nombreuses autres voies d’enquête attendent d’être explorées dans la guerre du gouvernement contre le peuple, en particulier les questions persistantes sur l’ingérence dans les élections et la censure officielle des informations. L’excellent écrivain Sundance du site The Last Refuge a fait quelques suggestions capitales pour faire avancer ces enquêtes : l’une d’entre elles consiste à s’appuyer principalement sur les témoignages plutôt que sur des documents que les fonctionnaires fédéraux feront sûrement tout leur possible pour cacher. Ne transformez pas cette affaire en une bataille futile pour les documents. Écoutons simplement ce que les responsables ont à dire. Deuxièmement – et cela peut être difficile à avaler pour de nombreuses personnes blessées et en colère – immunisez les témoins contre toute poursuite, afin de ne pas les inciter à cacher ce qu’ils savent, les actions qu’ils ont menées et qui leur a dit de le faire. Leur accorder cette immunité, écrit Sundance, dans l’intérêt d’une transparence maximale – parce que la punition de ces personnages est moins importante que de montrer aux habitants de ce pays à quel point nous avons déraillé. Ce n’est peut-être pas une satisfaction optimale, mais c’est un argument qui mérite réflexion.

James Howard Kunstler

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone