"Pouvez-vous imaginer ce qu’il en
sera ? Si illimité et libre… Ayant désespérément besoin de la main d’un
étranger… Dans une terre désespérée…." – The Doors
Bienvenue dans la saison du chaos, sponsorisée par le Parti du chaos, le Parti démocrate américain, propriétaire et opérateur du régime obscur de « Joe Biden », qui se consacre à détruire ce qui reste du pays – et le reste de la civilisation occidentale avec. Pensez-vous que j’exagère ? Considérez un instant que votre ruine personnelle – la perte de vos libertés, de vos moyens de subsistance et de votre postérité – est en jeu derrière la démolition plus générale de notre société.
Nous nous dirigeons vers une élection qui déterminera la composition du Congrès. Il y a beaucoup de discussions sur la question de savoir si cette élection pourra avoir lieu. Les signes et les présages indiquent une perte de pouvoir importante pour le Parti du Chaos. Le pouvoir est tout ce qui les intéresse – certainement pas l’intérêt public ou le bien commun – et un type de pouvoir particulier : le pouvoir de contraindre, de persécuter et de punir.
C’est évident dans tout ce qu’ils font, depuis les invasions de domicile par des équipes d’intervention du FBI de certains opposants et les mauvais traitements grossiers infligés aux accusés du 6 janvier, jusqu’à la censure crasse de la parole publique, l’imposition de la tyrannie médicale et la fraude mortelle des injections Covid, les insultes dégénérées de leurs escroqueries raciales et sexuelles, leur attaque contre la valeur de notre argent, leur sabotage des industries pétrolières et gazières, leur abandon traître du contrôle des frontières, la perversion délibérée du maintien de l’ordre et de l’ordre public, leur promulgation d’une guerre infidèle et inutile, tout à fait contraire à nos intérêts nationaux, dans la lointaine Ukraine.
Les adultes comprennent que la politique est une affaire tordue, mais tout au long de l’histoire des États-Unis jusqu’à aujourd’hui, des filtres ont existé dans l’arène publique qui permettaient de trier suffisamment la vérité du mensonge pour permettre la formation d’un consensus basé sur la réalité – qui, à son tour, permettait à la vie quotidienne de fonctionner de manière cohérente. Le Parti du chaos a mis fin à cette fonction cruciale en corrompant le secteur de l’information et en subvertissant les nouveaux médias sociaux. Le résultat est une culture publique du mensonge omniprésent et immersif, et un échec institutionnel stupéfiant des tribunaux à corriger ce comportement.
Exemple concret : l’enquête de l’avocat spécial John Durham sur l’origine de la fraude du RussiaGate. Elle se termine apparemment par la poursuite du plus petit vairon (Igor Danchenko) dans cette vaste mer intérieure de corruption. Certaines des figures qui ont mené à bien les séditions perfides du RussiaGate sont toujours employées au ministère de la Justice et au FBI, et sont à ce jour actives dans la dissimulation continue des crimes commis pour renverser le président Trump, notamment : La procureure générale adjointe Lisa Monaco, la procureure générale associée Vanita Gupta, l’inspecteur général du DOJ Michael Horowitz, le directeur du FBI Christopher Wray, et d’autres.
M. Durham est censé faire partie des plus hauts responsables des tribunaux fédéraux chargés de faire respecter une région très particulière de la criminalité. Son personnel doit être imprégné des preuves des méfaits du RussiaGate – dont des tonnes ont été documentées de manière indépendante dans les archives publiques, allant (juste à titre d’exemple) des activités infâmes de personnalités comme Nellie Ohr, épouse du haut fonctionnaire du DOJ Bruce Ohr, travaillant comme intermédiaire entre Christopher Steele et le FBI, aux échecs spectaculaires du juge James Boasberg et de son tribunal FISA, sans oublier les machinations bien connues de Peter Strzok, Lisa Page, Andrew McCabe, Rob Rosenstein, Dana Boente, James Baker, Andrew Weissmann, Jeannie Rhee, Aaron Zebley, Brandon Van Grack, Robert Mueller et d’autres hauts fonctionnaires qui ont travaillé sournoisement contre l’intérêt public. Tous ces gens restent apparemment hors de cause pour leurs activités douteuses.
Comment cela est-il arrivé ? Si le Parti du chaos perd le contrôle de sa majorité au Congrès, M. Durham devra peut-être répondre à cette question. Et jusqu’à ce qu’il le fasse, la justice américaine restera une institution profondément brisée à laquelle les citoyens ne peuvent pas faire confiance. Dans cette optique, en quoi notre pays est-il meilleur que les petits despotismes les plus manifestes dans le monde ? En quoi mérite-t-il le respect des citoyens ou même la conformité ?
Les enjeux des élections de mi-mandat sont énormes pour le Parti du Chaos, et ses abeilles ouvrières peuvent être capables de n’importe quelle duplicité pour le faire dérailler. Dans mon prochain podcast, le blogueur Tom Luongo (de Gold, Goats, and Guns) présente un rebondissement surprenant : l’élection aurait lieu, dit-il, mais le Parti du chaos trouve le moyen de retarder l’annonce des résultats par des manigances procédurales qui durent des semaines après le 8 novembre, laissant le pays dans un état de limbes anxieux. Quelle idée ! Une telle stratégie anéantirait le dernier lambeau de confiance du public dans les élections sans avoir à annuler, reporter ou renverser ouvertement le processus. Elle susciterait également le genre de protestations publiques que le Parti du Chaos peut transformer en un autre récit d’insurrection.
Je suis étrangement convaincu qu’il existe une colonne cachée de personnes qui aiment ce pays et qui ne permettront pas à cette ultime escroquerie insultante de réussir. Son apparition parmi nous va choquer et étonner les multitudes. Le règne des maniaques jacobins Woke prendra fin. Et même si nous devrons traverser le naufrage qu’ils ont provoqué, nous nous déplacerons dans ce nouveau paysage étrange de difficultés à la lumière de la réalité rendue visible, en voyant clairement ce qui s’est passé et en sachant ce que nous devons faire pour faire revivre notre pays.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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