Les personnes qui s’illusionnaient un peu vite que, le Covid passé, les choses se calmeraient n’auront pas été excessivement sagaces. L’agenda des élites psychopathes est hélas clair : il vise la destruction pure et simple de nos sociétés. Les pénuries qui se profilent ainsi que l’inflation-massue qui a déjà commencé à prendre son envol continueront de détruire les entreprises par centaines de milliers.
Après avoir délibérément provoqué l’intervention russe en Ukraine (en ne respectant pas les engagement pris ni les accords conclus et en laissant les milices néo-nazies multiplier les agressions militaires contre les populations civiles du Dombass), puis après avoir tout fait pour empêcher un accord négocié, voilà-t-il pas que nos « gouvernants » nous annoncent de la sueur, du sang et des larmes comme « prix de notre liberté »… en nous entraînant sur une pente dangereuse-issime.
La réalité sera dans un premier temps pour nous des hausses du prix des énergies insupportables (et donc meurtrières) pour l’économie réelle. Tout ceci gambadant joyeusement dans la direction du Great Reset désiré avec passion par les élites perverses qui mènent la danse. Les récentes contorsions de la Conseillère fédérale suisse en charge de cette question, expliquant devant la presse que la hausse du prix du gaz avait pour cause que la Russie utilisait ses exportations comme une arme sont caractéristiques du délire actuel : la socialiste occultant totalement le fait que notre pays, neutre à ce que l’on sache, s’est aligné avec un zèle choquant sur les positions européennes…
Nous devons continuer à nommer la réalité de ce délire morbide. Les élites alternent dans une sorte de danse de Saint-Guy l’énonciation de mensonges éhontés et d’odieuses vérités lâchées avec une obscène candeur… Comme Yuval Harari expliquant que sans le Covid il eût été impossible d’imposer la surveillance de masse,
ou le très sociopathe Jacques Attali déroulant avec délectation ses scénarii dystopiques comme autant d’inévitables évidences…
Cette combinaison du mensonge le plus tordu et de la vérité les plus débridée est une arme de destruction massive pour le psychisme humain, en particulier celui des foules.
Que faire devant autant d’ignominie ? Eh bien, continuer notre travail d’être humain ! Comme nous y invite le Pr Mattias Desmet, grand spécialiste des psychoses de masse : celles-ci ne durent qu’un temps car elles n’ont pas la ressource d’entretenir leur propre vitalité dans la durée. Elles finissent toujours par s’épuiser avant de s’effondrer sur elles-mêmes, non sans bien sûr causer des destructions de grande ampleur à la masse qui s’est laissée entraîner. Notre responsabilité est de tenir en ne lâchant rien. Mais en intégrant nécessairement hélas que le pouvoir politique est devenu profondément malsain.
- Pour voir « Pourquoi le pouvoir politique est-il malade?« , entretien avec Ariane Bilheran : cliquer ici.
En attendant, la persécution des opposants bat donc son plein, avec son cortège d’agressions, à ce stade surtout institutionnelles.
L’ordre des médecins poursuit de manière parfaitement abusive (évidemment !) les médecins qui ont osé soigner leurs patients atteints du Covid. Le Pr Christian Perronne est convoqué une nouvelle fois, ainsi que le Dr Olivier Soulier.
Amine Umlil, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan, trois scientifiques membres du Conseil scientifique indépendant auditionnés par la Commission d’enquête du Sénat au sujet de la réalité des effets indésirables, subissent un véritable harcèlement de la part de leurs institutions respectives et des campagnes de lynchage médiatique ignobles.
Au Québec, le Dr Patrick Provost, Professeur titulaire au Département de Microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval, grand spécialiste de l’ARN non-codant, a subi le même sort lorsqu’il a commencé à questionner la très questionnable sécurité des injections géniques expérimentales à base d’ARN messager, comme il s’en est expliqué hier soir dans le cadre du Conseil scientifique indépendant.
- Pour voir l’émission du CSI du 1er septembre avec les présentations du Dr Provost et d’Emmanuelle Darles : cliquer ici.
- Pour lire l’article du Dr Patrick Provost et al. « Objection de conscience potentielle à la technologie ARNm comme traitement préventif pour le COVID-19« : cliquer ici.
Partout les mêmes campagnes de dénigrement obscènes, ayant évidemment pour but de faire des exemples pour dissuader les vocations.
Pourtant, se coucher face au totalitarisme est une erreur -évidemment courante dans de telles situations.
Pour la raison suivante : d’une part, vous y perdez inévitablement une partie de votre âme et de votre respect envers vous-mêmes. Cela peut paraître secondaire mais ne l’est aucunement.
La seconde raison est presque pire : c’est un mauvais calcul !
Les personnes qui se couchent s’imaginent s’assurer une tranquillité, mais ce n’est vrai qu’à très court terme. Car le propre du déferlement totalitaire n’est pas de laisser les gens tranquilles – même et surtout pas les serviteurs de la dérive !
L’histoire nous enseigne que si les pouvoirs psychopathes s’acharnent d’abord sur les résistants, ils s’attaquent ensuite inévitablement sur leurs propres troupes. Aucun proche conseiller de Staline n’a été épargné par les purges successives… Et dès lors qu’une personne a perdu le respect de ses abuseurs en courbant l’échine, elle se prédispose en réalité à être encore plus maltraitée que ceux qui sont restés debout.
Il ne s’agit pas de faire la morale à qui que ce soit. Il est évident que les mesures abusives mettent tout un chacun dans une série de cas de conscience, et j’ai souvent souligné combien nous avons besoin de personnes qui restent inscrits dans les lieux du pouvoir et ses institutions.
Choisir en son âme et conscience de garder par exemple un poste au sein d’une institution dévoyée peut aussi avoir tout son sens – l’important étant de ne pas se compromettre ou se soumettre !
Ariane Bilheran vient de donner un exemple magnifique de cela : confrontée à une présentation calomnieuse de sa personne sur un site de propagande comme il en fleurit hélas (les ressources sont généreuses pour ce type d’entreprises…) elle s’est fendue d’une première réponse (relayée sur ce blog) que sa destinataire a traitée avec condescendance.
Renvoyant la balle aussitôt en nommant explicitement qu’elle était prête à défendre son droit à la protection de sa personnalité par les voies judiciaires à disposition, elle a obtenu le retrait immédiat de la notice diffamatoire en question.
Voici le courrier envoyé par Ariane suite à une première réponse irrecevable de la rédactrice :
Le 27 août 2022,
Madame, Monsieur
Je fais suite à votre réponse du 26 août à mon courrier du 24 août 2022, qui demandait de rectifier la « fiche » que vous avez commise à mon sujet, truffée d’erreurs et de mensonges. Vous m’indiquez que vous ne rectifierez rien à ce jour, car une psychologue clinicienne m’aurait dénoncée (« alerté de mes dérives »).
Je vous ai pourtant donné la preuve que mes diplômes ne sont pas des diplômes fantoches, comme vous le laissez entendre, vous devez donc rectifier cette partie sans attendre.
D’autre part, comme stipulé sur votre site, vous vous appuyez sur la Charte de Münich, ainsi que sur la « charte des devoirs des journalistes » (j’apprends donc que vous usurpez de fait le rôle de journaliste, puisque vous invoquez cette charte sans en avoir la légitimité) et vous prétendez distinguer « les faits des opinions ». Vous dites aussi que vous ne confondez pas votre « rôle avec celui de la police », mais alors, à quel titre et sur quelle légitimité professionnelle (vous n’êtes ni journaliste ni policier) faites-vous des « enquêtes » sur les gens ? Vous ne semblez pas perturbé par le fait de diffuser publiquement des fausses informations, alors que vous dites vous-mêmes que « l’enquête suit son cours » et que par voie de conclusions, vous n’avez pas vérifié la véracité de vos sources.
Vous indiquez tenir « la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits ou le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles »[1]. Si vous persistez à ne pas publier mon droit de réponse dans son intégralité, et à ne pas corriger les éléments précités, au regard des informations et des faits que je vous apporte, je considérerai que c’est tout à fait intentionnellement que vous pratiquez le mensonge et la déformation des faits, donc que vous portez atteinte à mon honneur, à ma dignité, à ma probité et à la considération de ma personne, ce qui est susceptible de constituer des infractions pénales d’injures ou de diffamation, réprimées par les articles 29 à 35 quater de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Par ailleurs, puisque vous invoquez « un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité », il me paraît sérieux que vous puissiez communiquer le nom de votre informateur-dénonciateur, dont vous préférez croire les ragots et les rumeurs, plutôt que de vérifier les faits en question, et ce, d’autant que cette psychologue semble contrevenir aux articles 27 et 29 du Code de Déontologie des psychologues :
Article 27 : Le psychologue respecte la pluralité des références théoriques et les pratiques de ses pairs, pour autant qu’elles ne contreviennent pas aux principes généraux du présent Code. Cela n’exclut pas l’éventualité d’une critique argumentée.
Article 29 : Le psychologue agit en toute loyauté vis-à-vis de ses pairs[2].
J’attends donc que vous rectifiez vos allégations, je suis à votre disposition pour vous apporter d’autres informations et faits si nécessaire. Dans le cas contraire, j’envisage de mettre en œuvre toutes les voies de droit, tant civiles que pénales à votre encontre en vue d’obtenir la sanction de tels agissements et la réparation des préjudices subis.
Puisque je partage avec vous le souci de la transparence, je publie sur mon site mes réponses ainsi que les vôtres.
Cordialement,
Ariane Bilheran.
[1] https://bibliotheque-vigilante.info/charte/
[2] http://www.codededeontologiedespsychologues.fr/Code-de-Deontologie-des.html
Suivie de la réponse de sa destinataire :
Bonsoir,
J’avoue ne pas avoir lu votre lettre, je m’en excuse et je la lirai. Mais c’est parce que votre remarque m’a travaillé toute la journée… Et si, après tout, me trompai-je ? Ne pouvant totalement répondre à la question — je l’avoue —, mon intuition me disait que je devait ôter cette mention vous concernant. Je suis rentré ce soir. Et c’est ce que j’ai fait.
Je crains d’avoir succombé à une dénonciation calomnieuse. Je vous explique — vaguement — après. Je devrais, aussi, m’en excuser sur mon site. Je le ferai. Pour l’instant il y a un petit entrefilet mais je ne suis pas rentré dans les détails. Je ne vous ai pas mentionné nominativement, ainsi les annuaires de recherche ne vous associeront plus à cette « bibliothèque » lors de leur prochain passage sur le site. Ça ne devrait pas traîner car j’ai aussi demandé une réindexation de ce contenu par le robot recherche Google Search. On peut le faire, autant en profiter.
Néanmoins, cette « consœur » dont je vous avais parlé, existe bel et bien. En chair et en os. Or, j’ai surestimé mes capacités rationnelles cognitives et succombé, lâchement, à un de ces biais cognitifs dont je ne taris pas d’éloges pourtant… La persistance des croyances en quelqu’un que l’on connaît et qui, par des stratagèmes fallacieux, dénonce des « faits » fallacieux. Je n’ai pas suffisamment cherché la source de l’information et elle s’avérait… fausse. Diable.
Mais c’est ainsi, je ne suis qu’un être imparfait qui fait des choses imparfaites. Certaines personnes y trouvent leur compte, pas d’autres.
À vous de voir. J’accepte la bien veillance et c’est ce que je vous propose en échange de cet « égarement ». J’efface. Je m’excuse. Et… ma machine n’a même pas eu le temps de la conserver en mémoire. Si je réécris un jour, ce sera pour dire autre chose.
CR
Cela dit, il suffit de lire les autres notices de ce site, dont la suivante, consacrée à Covidhub.ch, un site que j’avais créé avec différents partenaires et géré par des journalistes intègres et compétents, pour comprendre si besoin était à qui on a affaire ! La fiche est tellement mensongère et malveillante que cela en devient comique. On frôle dans la stupidité et la bassesse Heidi News, 24Heures ou les émissions les plus haineuses de la RTS !
Emmanuelle Darles et Vincent Pavan saisissent quant à eux la justice. Certes, celle-ci est largement absorbée actuellement dans le champ de la corruption systémique, les petits notables que sont les juges de la justice administrative ou de première instance donnant très rarement raison aux justiciables quelle que soit la qualité de leur cause.
Mais plus on monte dans la chaîne des instances judiciaires, plus les juges sont cultivés, rigoureux et même parfois intègres.
Quoi qu’il en soit, il importe, il urge, il est vital de ne pas courber l’échine. Je l’explique avec un certain détail dans la vidéo qui suit, introductive au Module 8 de ma Master Class en ligne. J’y aborde également le déplacement d’une conférence que je donnerai la semaine prochaine en Suisse romande du fait d’un harcèlement médiatique contre le lieu qui devait l’héberger – parfait exemple du péril à se coucher devant les procédés honteux, j’y reviendrai tout prochainement.
Je rappelle ici au passage que je propose ce programme gratuit, sur mon site professionnel (renseignements et inscriptions : https://www.jdmichel.com/master-class… ).
Elle comprend désormais huit modules consacrés aux thèmes suivants :
1. Principes de la résilience et de la salutogenèse
2. Déjouer le business de la peur
3. Transformer le stress et la colère en énergie vitale
4. Vivre pleinement
5. Faire face à la dérive totalitaire
6. Agir dès maintenant
7. Comment prendre soin de notre santé ?
8. Se tenir debout face à la perversité
Get up stand up et courage !
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