Une dirigeante de Pfizer a affirmé que l'efficacité du vaccin sur la transmission n'avait pas été testée avant sa mise sur le marché. Les opposants aux mesures sanitaires y voient la preuve que le passe sanitaire a été adopté sans justification scientifique.
Une polémique de plus autour de la lutte contre le Covid-19. La question du député européen néerlandais Rob Ross à Janine Small, une dirigeante de Pfizer, au cours d'une audition des représentants de l'industrie pharmaceutique au Parlement européen, a de nouveau échauffé certains esprits : «Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé pour arrêter la transmission avant son arrivée sur le marché ?» «Non», a répondu l'intéressée. Les opposants aux mesures sanitaires ont immédiatement crié au scandale : cette affirmation montrerait selon eux que le passe sanitaire a été adopté sans justification scientifique, et que les autorités auraient caché le fait qu'être vacciné n'empêche ni d'être contaminé, ni de transmettre le virus.
Beaucoup imaginent qu'un vaccin est censé protéger totalement contre un virus donné. Or en réalité, «rares sont les vaccins qui permettent une immunité totale.
C'est la fonction essentielle d'un vaccin que d'empêcher d'attraper la maladie ! Autrement, il ne sert à rien.
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