10 octobre 2022

Le Canada veut mettre en œuvre le contrôle d’identité permanent souhaité par le Forum de Davos

Le système KTDI (Known Traveller Digital Identity), ou identité numérique connue du voyageur a été lancé en janvier 2018, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM). Sur Twitter, la députée conservatrice Leslyn Lewis s’inquiète de cette manœuvre liberticide, qui pour elle « n'est plus une théorie du complot - c'est un fait contractuel".

Une fois de plus, le gouvernement de Trudeau démontre qu’il est un « pionnier » de la mise en pratique des théories prophétisées par Klaus Schwab. La députée canadienne conservatrice Leslyn Lewis vient de dénoncer le partenariat de 105 millions de dollars entre les libéraux de Trudeau et le FEM. Il concerne le développement d’une carte d’identité numérique du voyageur connu. Le concept du voyageur reconnu (en anglais Known Traveller) est fondé sur le principe qu’un voyageur individuel détiendrait le contrôle sur l’utilisation de sa propre identité et de ses composantes. Cette technologie ressemble apparemment aux systèmes de “crédit social” actuellement testés en Chine.La députée conservatrice, Leslyn Lewis, a découvert la confirmation du projet dans une question inscrite au Feuilleton et signée par le ministre des Transports, Omar Alghabr

Identité numérique des voyageurs

Baptisé projet KTDI ou système d’identité numérique du voyageur reconnu, il a débuté bien avant la pandémie, en janvier 2018. Ce programme pilote du FEM vise à développer une identité numérique. Utilisant la technologie biométrique, cryptographique et de registre, il consiste à contrôler un passager avec des données stockées dans son mobile.

 Au fil des voyages, il est possible d’enrichir les informations le concernant et il obtient le statut de « voyageur connu ».De cette manière, il bénéficiera de facilités pour passer les frontières, s’il est jugé comme conforme aux procédures.

D’après le FEM, “le projet pilote KTDI offre un plus grand contrôle sur les informations personnelles, en confiant aux passagers le soin de décider quand et comment les données sont partagées grâce à une “identité numérique gérée par le voyageur”.

Selon la députée conservatrice Leslyn Lewis, ce projet a été bel et bien lancé. Elle a dévoilé sur Twitter l’existence d’un contrat de 105,3 millions de dollars signé par les libéraux et le FEM.

Budget obtenu par les contributions volontaires de plusieurs partenaires

Mme Lewis a déclaré que « ce n’est plus une théorie du complot – c’est un fait contractuel ». Elle a découvert le pot aux roses grâce à un aveu dans une question au Feuilleton, signée par le ministre des Transports, Omar Alghabra.

Transports Canada a confirmé que le FEM fait effectivement partie des partenaires du projet KTDI et que celui-ci va coûter 105,3 millions de dollars sur 5 ans. Ces derniers incluent également le gouvernement du Canada, le gouvernement des Pays-Bas, les aéroports internationaux de Toronto, Montréal et Schiphol, Air Canada et Royal Dutch Airlines.

Selon la réponse au Feuilleton, tous ces partenaires du projet vont apporter des contributions volontaires au budget de 105,3 millions de dollars.

Le programme d’identité numérique du WEF jette les bases d’un système mondial de crédit social qui  donnerait le pouvoir de contrôler les citoyens. L’élève de Davos, Justin Trudeau, inaugure cet esclavage moderne et montre la voie à tous ses amis dirigeants occidentaux, infusés au FEM. En parallèle, pour bien comprendre la manœuvre qui se prépare, il faut relier cela avec l’identité numérique européenne, promue avec instance par Ursula Von Der Leyen.

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