En début de semaine, la nouvelle a fait sensation que la Grande-Bretagne ne recommande plus la vaccination Covid pour les femmes enceintes et allaitantes, après que ce groupe de personnes ait également été traité avec l’injection génique supposément inoffensive, pendant deux ans.
Il y a eu une augmentation des infections corona, des séjours à l'hôpital et des décès chez les personnes vaccinées en Grande-Bretagne pendant le variant omicron B.1.1.529. Pour l'étude, l'efficacité de la vaccination chez les plus de 18 ans a été examinée sur la période comprise entre le 16 août 2021 et le 27 mars 2022. Au cours de la période d'environ 20 mois entre le début de la pandémie corona et le 1er mai 2022, il y a eu un total de 22,07 millions de cas corona, 848.911 hospitalisations et 175.070 décès signalés en Grande-Bretagne.
Le tiers des vaccinés de plus de 50 ans est particulièrement touché
Cette étude a révélé que le taux d'infections le plus élevé (51,3 %), le taux d'hospitalisations le plus élevé (28,8 %) et le deuxième taux de décès le plus élevé (16,4 %) se sont produits pendant la poussée du variant omicron au cours des 21 semaines qui se sont terminées le 1er mai 2022. La tranche d'âge des plus de 50 ans a été particulièrement touchée, à une époque où la 3ème vaccination était depuis longtemps pratique courante.
L'étude note ensuite que l'efficacité du vaccin pour la troisième dose est négative depuis le 20 décembre 2021, avec une proportion significativement accrue de cas de SRAS-CoV2, d'hospitalisations et de décès parmi les personnes vaccinées et une diminution de la proportion de cas, d'hospitalisations et de décès parmi les non vacciné. Des maladies antérieures étaient présentes dans 95,6 % de tous les décès dus au COVID-19.
Aucune efficacité perceptible
En conséquence, la conclusion est la suivante : "Il n'y a pas d'efficacité vaccinale apparente dans la population ≥18 ans vaccinée à la troisième dose depuis le début de l'augmentation du variant omicron."
Au contraire, l'augmentation significative des hospitalisations et des décès au cours de la variante omicron souligne la nécessité de protéger les personnes âgées par des tests et d'autres mesures, quel que soit leur statut vaccinal.
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