Les déclarations de Joseph Borrell, théoriquement en charge de la diplomatie européenne, ressemblent de plus en plus à celles d'un chef de guerre, en tout cas de celui qui veut envoyer les autres à la guerre. Selon la dernière en date, il exige que les pays européens, non pas l'Union européenne qui n'est qu'une coquille vide sans les États, mais bien les États européens prennent en charge l'organisation et la formation de l'armée ukrainienne. Autrement dit, il veut que les États européens deviennent formellement partie au conflit. Et cela dans une guerre conventionnelle, comme il l'a reconnu.
Chers compatriotes, avons nous réellement des raisons de faire la guerre à la Russie, au nom de marionnettes ukrainiennes nazifiantes, qui dévastent leur pays depuis 2014, pour servir les intérêts globalistes et la domination américaine ? Allons-nous laisser Borrell et l'UE faire de nous des collaborateurs ?Lors de sa visite en Espagne, Joseph Borrell a fait le 22 août des déclarations, qui doivent faire réfléchir les dirigeants et les populations de nos États européens. Selon lui, le conflit qui se déroule sur le sol ukrainien est un conflit conventionnel, qui n'a aucune raison d'être de courte durée, ce qui oblige les pays européens à s'impliquer plus fondamentalement - et donc à le rendre encore plus large, encore plus long, encore plus profond.
Pour cela, Borrell veut forcer les pays européens à accepter la mise en place d'une mission de formation de l'armée ukrainienne, qui se déroulerait territorialement dans les pays voisins de l'Ukraine, c'est-à-dire dans les pays membres de l'UE.
""Une guerre qui dure et qui semble devoir durer nécessite un effort non seulement en terme de fourniture d'équipement, mais aussi d'entraînement et d'assistance à l'organisation de l'armée", a-t-il ajouté."
Pour "normaliser" cette proposition inattendue tant que les pays d'Europe n'ont pas déclaré la guerre à la Russie, Borrell rappelle que l'UE a déjà déployé des missions d'entraînement :
""L'Union européenne déploie des missions d'entraînement militaire auprès des armées des pays avec lesquels nous coopérons", a-t-il dit. "Nous le faisions au Mali il y a peu, nous venons de commencer à le faire au Mozambique et nous l'avons fait au Niger", a-t-il poursuivi, mentionnant aussi le Tchad."
Pourtant, en ce qui concerne l'Ukraine, il reconnaît discrètement, et pour cause, qu'il ne s'agit pas du tout de la même logique :
"Il a encore souligné avec force que cette mission de soutien à l'armée ukrainienne ne serait pas simplement une mission de formation classique, mais également "d'aide à l'organisation de l'armée". Il a toutefois refusé de fournir plus de détails, notamment sur les effectifs d'une telle mission"
Il ne s'agit donc pas d'une mission d'entraînement habituelle. En réalité, Borrell veut faire de facto entrer les pays européens dans ce conflit atlantiste, qui se déroule sur le sol ukrainien, puisque dans ce cas, elles seront partie au conflit. Rappelons aussi quel est le but de ce combat pour les dirigeants ukrainiens au pouvoir - tuer un maximum de Russes. Comme l'a déclaré sans ambages ce 22 août l'ambassadeur ukrainien au Kazakhstan, Piotr Vrublevsky :
"Nous essayons d'en tuer le plus possible. Plus nous tuons de Russes maintenant, moins nos enfants auront à les tuer. C'est tout"
C'est tout. Tuer une race. La détruire. Définitivement. C'est cela la nouvelle figure du nazisme en Ukraine. Déjà Hitler cherchait à tuer les Slaves, une sous-race comme les Juifs. La logique n'a pas changé, seule la méthode et la présentation s'adaptent à l'époque.
C'est cela que Borrell veut aider à réaliser. C'est dans cette guerre, qu'il veut engager sans retour les pays européens, dans un combat à grande échelle, comme il le déclare. Déjà, lors de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des pays européens ont rejoint les forces de l'Axe, nous faut-il absolument réitérer les mêmes erreurs, les mêmes faiblesses, les mêmes trahisons ?
Appelons
un chat un chat : ce sont des dirigeants d'obédience nazis, qui ont
pris le pouvoir en Ukraine suite au putsch globaliste de 2014, organisé
par les États-Unis, comme ils l'ont par ailleurs reconnu. Et ce sont
eux, qui ont depuis agressé le peuple vivant sur le sol ukrainien,
provoquant la sécession de la Crimée et du Donbass, ce sont eux qui
développent une politique de ségrégation raciale sur le territoire
qu'ils gouvernent encore. Et ce sont eux que l'on nous demande de
soutenir. Ce ne sont pas des résistants, ce sont des nazis. Ceux qui les
soutiennent ne sont pas des résistants, ce sont des collaborateurs.
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