Les analyses par canton
confirment une forte corrélation entre le taux d'injection anti-Covid
et la chute des naissances 9 mois plus tard. Chiffres similaires en
Europe.
Les derniers chiffres officiels de la Suisse et de l’Allemagne montrent une chute massive des naissances lors des cinq premiers mois de 2022. En Suisse, la baisse a été de 13% (5526 bébés en moins par rapport à 2021 de janvier à mai), et en Allemagne de 9% par rapport aux années précédentes 2019 à 2021. Une rupture de tendance alors que les naissances avaient fortement augmenté dans les deux pays ces 10 dernières années. Au moins 16 autres pays européens dont la Belgique et la France montrent des tendances similaires (chiffres en attente).
Cette chute massive semble en corrélation frappante avec le moment des premières vaccinations Covid pour les 20 à 49 ans. Les vaccins expérimentaux contre le Covid n’ont qu’une approbation conditionnelle car leurs effets sur la fertilité humaine n’ont pas été étudiés, rappelle le Dr. Christian Fiala, gynécologue et vice-président du parti autrichien MFG. Qui réclame du coup une interdiction immédiate de la vaccination en Autriche, en attendant que la baisse inquiétante de la natalité soit éclaircie.
L’analyse détaillée de la Suisse montre que la baisse de la natalité s’est produite dans tous les cantons suisses en même temps s’élevant entre 2,5% et 29,1% (à l’exception de Nidwald). Cette diminution est en corrélation extrêmement significative avec le moment de la première vaccination corona dans le groupe d’âge de 20 à 49 ans neuf mois plus tôt. Il est également frappant de constater que les régions à fort taux de vaccination dans cette tranche d’âge affichent également une baisse des naissances plus forte : un taux de vaccination de 65,3 % à Bâle-Ville avec une baisse des naissances de −29%, alors que la Suisse orientale avec un taux de vaccination 49,7 % enregistre une baisse naissances de − 8,6 %.
Les autorités sanitaires cantonales et fédérales examinent attentivement ces données provisoires de l’Office fédéral des statistiques, sans avoir clarifié s’il existe un lien de causalité avec la vaccination corona. Susanne Grylka, directrice adjointe de la recherche à l’Institut des sages-femmes de l’Université des sciences appliquées de Zurich suppose que le stress déclenché par le Covid a pu avoir un effet négatif sur la libido des hommes et la fertilité des femmes.
Mais inversement, est-ce que l’apparition du vaccin présenté comme solution à l’épidémie n’aurait pas dû avoir plutôt un effet rassurant et stimuler la procréation?
Or c’est le contraire qui s’est produit selon les auteurs de l’analyse et de la vidéo ci-dessus, le collectif Sauver la Science et le groupe @real_hero_francais, qui comprend des scientifiques et des statisticiens. Ni le taux de personnes testées positives ni celui des hospitalisées en lien avec le Covid n’a eu d’influence sur le taux de natalité. Alors que le lien avec la vaccination est le seul à être frappant:
En bleu, l’évolution des naissances. En turquoise, le taux de vaccination des 20-49 ans neuf mois plus taux. On voit clairement a correspondance: plus ce taux était élevé, plus les naissances ont diminué après neuf mois. Voici encore une autre façon d’exposer ce lien:
Fausses couches en augmentation
Le rôle de l’augmentation des fausses couches dans ces statistiques n’est pas encore établi. Aux Etats-Unis, le Dr James Thorp, spécialisé dans la médecine materno‑fœtale, a exhaustivement analysé et vérifié les données les plus récentes du système VAERS (le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins). Il en déduit une multiplication probable par 50 des fausses couches depuis 2021 dues aux vaccins anti-Covid en comparaison avec les vaccins anti-grippe. Voir l’article de Covidhub: Cycle perturbé: « Ne vous inquiétez pas Madame »
Pour rappel, voici les hausses d’anomalies relevées par le Dr Thorpe:
Le Dr James Thorp affirme au journal The Epoch Times avoir vérifié son analyse auprès d’un consultant statistique du département de la Défense qui a accepté de l’aider sous couvert d’anonymat.
Mais inversement, est-ce que l’apparition du vaccin présenté comme solution à l’épidémie n’aurait pas dû avoir plutôt un effet rassurant et stimuler la procréation?
Or c’est le contraire qui s’est produit selon les auteurs de l’analyse et de la vidéo ci-dessus, le collectif Sauver la Science et le groupe @real_hero_francais, qui comprend des scientifiques et des statisticiens. Ni le taux de personnes testées positives ni celui des hospitalisées en lien avec le Covid n’a eu d’influence sur le taux de natalité. Alors que le lien avec la vaccination est le seul à être frappant:
En bleu, l’évolution des naissances. En turquoise, le taux de vaccination des 20-49 ans neuf mois plus taux. On voit clairement a correspondance: plus ce taux était élevé, plus les naissances ont diminué après neuf mois. Voici encore une autre façon d’exposer ce lien:
Le rôle de l’augmentation des fausses couches dans ces statistiques n’est pas encore établi. Aux Etats-Unis, le Dr James Thorp, spécialisé dans la médecine materno‑fœtale, a exhaustivement analysé et vérifié les données les plus récentes du système VAERS (le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins). Il en déduit une multiplication probable par 50 des fausses couches depuis 2021 dues aux vaccins anti-Covid en comparaison avec les vaccins anti-grippe. Voir l’article de Covidhub: Cycle perturbé: « Ne vous inquiétez pas Madame »
Pour rappel, voici les hausses d’anomalies relevées par le Dr Thorpe:
‑ les saignements utérins anormaux (irrégularités menstruelles) sont 1000 fois plus fréquents ;
‑ les fausses‑couches sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies chromosomiques fœtales sont 100 fois plus fréquentes ;
‑ les malformations fœtales sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ l’hygroma kystique fœtal (une malformation majeure) est 90 fois plus élevé ;
‑ les troubles cardiaques fœtaux sont 40 fois plus fréquents ;
‑ l’arythmie fœtale est 50 fois plus fréquente ;
‑ les arrêts cardiaques fœtaux sont 200 fois plus fréquents ;
‑ la perfusion vasculaire fœtale est 100 fois plus élevée ;
‑ les anomalies de croissance du fœtus sont 40 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies des tests de surveillance du fœtus sont 20 fois plus fréquentes ;
‑ la thrombose placentaire fœtale est 70 fois plus élevée.
‑ les fausses‑couches sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies chromosomiques fœtales sont 100 fois plus fréquentes ;
‑ les malformations fœtales sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ l’hygroma kystique fœtal (une malformation majeure) est 90 fois plus élevé ;
‑ les troubles cardiaques fœtaux sont 40 fois plus fréquents ;
‑ l’arythmie fœtale est 50 fois plus fréquente ;
‑ les arrêts cardiaques fœtaux sont 200 fois plus fréquents ;
‑ la perfusion vasculaire fœtale est 100 fois plus élevée ;
‑ les anomalies de croissance du fœtus sont 40 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies des tests de surveillance du fœtus sont 20 fois plus fréquentes ;
‑ la thrombose placentaire fœtale est 70 fois plus élevée.
Le Dr James Thorp affirme au journal The Epoch Times avoir vérifié son analyse auprès d’un consultant statistique du département de la Défense qui a accepté de l’aider sous couvert d’anonymat.
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