Aux États-Unis et au Royaume-Uni, chercheurs et start-ups soutiennent la dépénalisation des champignons aux propriétés hallucinogènes pour les inclure dans la recherche médicale. Sous forme de pilule ou de traitement, les militants souhaitent que les "champignons magiques" soient accessibles pour traiter les problèmes de santé mentale et physique.
La Food and Drug Administration des États-Unis a classé la psilocybine comme une « thérapie révolutionnaire », une désignation destinée à accélérer le processus de mise sur le marché de médicaments particulièrement prometteurs. Numinus Wellness, une entreprise canadienne qui fait figure de proue dans ce secteur de l'industrie pharmaceutique, est en train de concevoir une pilule à base de "champignons magiques" pour sortir ces espèces des cercles mystiques et rapprocher leurs propriétés et leur consommation à la médecine générale.
Au Royaume-Uni, lors du "Festival de la médecine" qui a eu lieu le week-end dernier, un groupe militant s’est exprimé en faveur de droits d'accès à la psilocybine (hallucinogènes qui produisent des effets similaires à ceux du LSD), afin qu’elle soit reclassée comme médicament et puisse être légalement prescrite par les pharmaciens et les médecins. Ils soutiennent que la psilocybine aide notamment les personnes souffrant de dépression, et d’autres maladies mentales. Des personnes souffrant de céphalées ont également déclaré que la psilocybine était une bonne solution. Une petite étude, publiée en février dans le Journal of Psychopharmacology par des chercheurs de l'Université Johns Hopkins, a révélé que la thérapie assistée par la psilocybine soulageait les symptômes de la dépression pendant au moins un an chez 75 % des participants, et éliminait efficacement les symptômes chez plus de la moitié d'entre eux.
Étant donné que la crise sanitaire et les perturbations sociales ont fortement fait grimper les taux de dépression et d'anxiété, tout comme elle a mis à nu les insuffisances des outils et institutions actuels, les "champignons magiques" apparaissent comme une solution miracle.
Comme le fait remarquer Bloomberg, un rapport récent de Data Bridge Market Research prévoit que le marché mondial des psychédéliques pharmaceutiques, dirigé par des sociétés telles que Johnson & Johnson, atteindra 6,9 milliards de dollars d'ici à 2027. Un rythme tellement rapide qu'un article d'opinion paru dans la revue JAMA Psychiatry estime que cette industrie "pourrait même dépasser le marché légal du cannabis aux États-Unis". Et celui des antidépresseurs ?
La Food and Drug Administration des États-Unis a classé la psilocybine comme une « thérapie révolutionnaire », une désignation destinée à accélérer le processus de mise sur le marché de médicaments particulièrement prometteurs. Numinus Wellness, une entreprise canadienne qui fait figure de proue dans ce secteur de l'industrie pharmaceutique, est en train de concevoir une pilule à base de "champignons magiques" pour sortir ces espèces des cercles mystiques et rapprocher leurs propriétés et leur consommation à la médecine générale.
Au Royaume-Uni, lors du "Festival de la médecine" qui a eu lieu le week-end dernier, un groupe militant s’est exprimé en faveur de droits d'accès à la psilocybine (hallucinogènes qui produisent des effets similaires à ceux du LSD), afin qu’elle soit reclassée comme médicament et puisse être légalement prescrite par les pharmaciens et les médecins. Ils soutiennent que la psilocybine aide notamment les personnes souffrant de dépression, et d’autres maladies mentales. Des personnes souffrant de céphalées ont également déclaré que la psilocybine était une bonne solution. Une petite étude, publiée en février dans le Journal of Psychopharmacology par des chercheurs de l'Université Johns Hopkins, a révélé que la thérapie assistée par la psilocybine soulageait les symptômes de la dépression pendant au moins un an chez 75 % des participants, et éliminait efficacement les symptômes chez plus de la moitié d'entre eux.
Étant donné que la crise sanitaire et les perturbations sociales ont fortement fait grimper les taux de dépression et d'anxiété, tout comme elle a mis à nu les insuffisances des outils et institutions actuels, les "champignons magiques" apparaissent comme une solution miracle.
Comme le fait remarquer Bloomberg, un rapport récent de Data Bridge Market Research prévoit que le marché mondial des psychédéliques pharmaceutiques, dirigé par des sociétés telles que Johnson & Johnson, atteindra 6,9 milliards de dollars d'ici à 2027. Un rythme tellement rapide qu'un article d'opinion paru dans la revue JAMA Psychiatry estime que cette industrie "pourrait même dépasser le marché légal du cannabis aux États-Unis". Et celui des antidépresseurs ?
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