Un président sous influence entraîne la France entière dans l’abîme

« Je n’ai pas un tempérament à être sous influence »

Le Président a beau dire qu’il n’est pas sous influence, on peut lui en trouver beaucoup : la Haute Banque, la pieuvre McKinsey, Brigitte, Minc, Attali, Uber, et on en passe. La dernière en date, c’est l’uberisation, la meilleure façon de détruire le travail à la française. C’est la méthode Attali appliquée par son meilleur élève.

Son élection douteuse, son bilan désastreux, ainsi que la reconstitution d’un pouvoir législatif n’ont pas entamé les obsessions du président français, majoritairement élu par les retraités : il persiste et signe dans son intention de détruire le socle social de notre pays.
Sous prétexte de plein emploi, il lamine toutes les règles. Le plein emploi, avec lui, on sait ce que ça veut dire : les soignants non réintégrés seront remplacés par des vigiles ou des « aides » sans qualification, sans statut, corvéables à merci, et probablement issus des bataillons du RSA.

Impopulaire auprès des catégories actives, Macron ne peut plus faire un pas dans la rue sans réaliser le fossé qui le sépare des Français.

Dans son allocution télévisée, interrogé par l’engeance mainstream, Macron a déroulé son programme de destruction. Loin de la rue, devant les journalistes de cour, il ne risque rien. Tout au plus, une question légèrement impolie. Il est loin le temps de Jean-Claude Bourret...

« Je veux que dès cet été nous allions plus loin sur la réforme de l’assurance chômage »

Pour nous, la grande annonce de ce commercial de la Haute Banque, c’est celle du « plan de sobriété » pour consommer moins d’électricité. Ceci dans le cadre de la guerre contre la Russie, puisque ce président complètement inconscient nous enfonce dans une « économie de guerre », pour laquelle il nous demande de « nous préparer à un scénario où nous devons nous passer totalement du gaz russe ».

Il y aura donc non seulement des coupures d’électricité cet été, mais aussi une baisse généralisée des chauffages cet hiver, sans oublier la facture qui augmentera pour les Français solvables, toujours les mêmes. C’est la classe moyenne qui va morfler. Elle a participé à la richesse de la France, Macron va lui couper les jambes. Ce quinquennat sera encore plus dur que le précédent. Vive le Président, vive la République, vive la France.

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