Il y a quelques années, sur Meta TV, Pierre Hillard révéla l'existence d'une "opposition
acharnée, fanatique, continue, de la Synagogue, du judaïsme talmudique,
à l’égard de l’Eglise catholique, et du monde humain". L'objectif, selon Pierre Hillard, "c’est la volonté d’établir une religion universelle".
La stratégie pour établir cette religion mondiale, "c’est, dit Pierre Hillard, de créer d’abord le chaos. Et ça, c’est une pensée directement issue de ces courants juifs talmudiques de rabbins qui s’appellent Isaac Louria, au XV-XVIème siècle, de Sabbataï Tsevi, au XVIème siècle, et au XVIIIème, de Jacob Frank. Celui qui a lancé cette idée de la rédemption par le péché — c’est l’expression…"
La rédemption par le péché ?
La stratégie pour établir cette religion mondiale, "c’est, dit Pierre Hillard, de créer d’abord le chaos. Et ça, c’est une pensée directement issue de ces courants juifs talmudiques de rabbins qui s’appellent Isaac Louria, au XV-XVIème siècle, de Sabbataï Tsevi, au XVIème siècle, et au XVIIIème, de Jacob Frank. Celui qui a lancé cette idée de la rédemption par le péché — c’est l’expression…"
La rédemption par le péché ?
"C’est
l’expression, toujours d'après Pierre Hillard, Erlösung durch Sünde.
C’est d’abord une perversion. C’est l’idée tordue, vicieuse, tout ce que
vous voulez, de créer le malheur en vue d’un bien. Plus le mal est
profond, plus la reconnaissance divine sera grande.
Alors,
dans l’Ancien Testament, quand vous avez des sacrifices faits à Yahvé, à
un moment donné vous avez cet ordre apparemment fou, donné à Abraham,
qui doit sacrifier son fils. Et Abraham est sur le point de le faire. Il
est avec son poignard, il est prêt à transpercer son fils. Et on lui
retient le poignet, en gros, "non ça se fait pas, on ne tue pas son
fils." Et en échange, il va immoler un bélier… [...] Pourquoi ?
Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela veut dire que c’était l’offrande la
plus belle, la plus agréable aux narines de Dieu, si je puis dire… Car
on faisait un méchoui, en gros, après l’avoir poignardé. Parce que
c’était son fils, il n’y avait pas d’élément plus proche.
Bon
! Donc, bien comprendre que plus l’offrande est sacrée, raffinée,
haute, plus c’est une offrande agréable à Dieu. Alors évidemment il y a
une loi morale, naturelle, qui fait qu’il y a des choses qu’on ne peut
pas faire.
Mais
eux, ces gens-là, qui se sont rebellés au sein du judaïsme et qui sont
issus du judaïsme talmudique, considèrent que c’est une rédemption qui
peut se faire par le mal. Plus le mal est grand, profond, subtil, délicat, plus la récompense divine sera grande.
Et
j’ai toujours pensé que les massacres commis par les nazis à l’égard
des juifs en Europe durant la Seconde Guerre mondiale étaient un
sacrifice — dans leur théorie folle, tordue, tout ce que vous voulez —
utile pour obtenir un bien, car la mort de ces juifs en Europe — en
Pologne, en Union Soviétique, etc… aux Pays-Bas, mais eux ont dégommé —
eh bien, cette destruction permet d’avoir une offrande qui permet
d’obtenir un bien. C’est tordu, c’est malsain.
C’est Isaac Louria, XVIème siècle je crois, qui a lancé cette idée. [...] C’est un génie cet homme, mais un génie au service du mal — et je dirais à titre personnel, possédé… possédé par le démon, ça c’est sûr, avec ses idées tordues. Mais ses principes ont été repris par deux courants.
C’est Isaac Louria, XVIème siècle je crois, qui a lancé cette idée. [...] C’est un génie cet homme, mais un génie au service du mal — et je dirais à titre personnel, possédé… possédé par le démon, ça c’est sûr, avec ses idées tordues. Mais ses principes ont été repris par deux courants.
Au XVIIème siècle, par un rabbin qui s’appelait Sabbataï Tsevi,
et lui s’est présenté comme le Messie. Les juifs attendent le Messie.
[...] Ils reconnaissent le Christ comme un personnage humain,
historique, mais ils ne le reconnaissent pas comme le Messie — eux
l’attendent toujours. Et Sabbataï Tsevi — on est en Europe du Sud, en
Europe balkanique — s’est présenté comme le Messie et a eu… sa garde
prétorienne. Et, suite à différentes pressions, il s’est faussement
converti à l’Islam. Et ce courant faussement converti à l’Islam, tout en
conservant en secret des rites judaïques, ça s’appelle les Domne. Et on
trouve des traces dans le mouvement avec Atatürk.
Aussi on comprend pourquoi on trouve des éléments tellement proches de la frange jacobine dans les réformes d’Atatürk. Alors qu’il était officiellement musulman. Comprenez… Il y a des moments où il faut faire le mal mais voilé… de l’apparence du bien. Et certains même "laissent entendre"… mais c’est à vérifier… enfin, je mets des guillemets, j’ironise mais je n’irais pas plus loin — que la famille Saoud a des liens judaïques. Il y a des spécialistes qui ont étudié le truc… J’ai lu quelques trucs effectivement… Voilà; ça c’est pour la branche musulmane.
Et puis vous avez une branche catholique chrétienne au XVIIIème siècle qui est Jacob Frank, en Pologne. Lui aussi, pareil, "rédemption par le péché", c’est-à-dire on fait le mal mieux c’est, donc des partouzes, des trucs de sexe, des crimes, tout ce que vous voulez. Tout ce qui peut avilir, c’est bien. "Rédemption par le péché", c’est l’expression officielle.
Et Jacob Frank et ses amis se sont faussement convertis au catholicisme. Il y a eu quand même des personnes en Pologne à dire — on est au XVIIIème siècle, quand même — il y a des choses pas nettes… Mais il a quand même réussi, lui et ses amis, à se convertir. Et chose très intéressante, quand ils se convertissaient, ils étaient parrainés, ils avaient un parrain. Et Jacob Frank, en tant que meneur dans l’histoire, a eu le plus haut parrain de l’époque, le roi de Pologne, Auguste III. Et chose très intéressante, très souvent ils ont été anoblis, après leur conversion. Très souvent, ils ont eu des avantages financiers qui leur ont permis, à ces juifs faussement convertis au catholicisme, d’obtenir des postes clés au sein de la société polonaise, mais aussi, parce qu’il y a eu des frontières mouvantes, ça a touché aussi des familles allemandes, des familles de Bohème et de Moravie, des familles roturières devenues aristocratiques, et compte tenu que la Russie des tsars avait des liens très profonds avec "les Allemagnes" — puisqu’il n’y avait pas d’Etat allemand — vous avez aussi beaucoup de serviteurs et de nobles allemands à la cour de Russie qui étaient en fait des juifs faussement convertis au catholicisme, on les appelle des frankistes. Comme pour Sabbataï Tsevi, on les appelle les sabbatéens.
Aussi on comprend pourquoi on trouve des éléments tellement proches de la frange jacobine dans les réformes d’Atatürk. Alors qu’il était officiellement musulman. Comprenez… Il y a des moments où il faut faire le mal mais voilé… de l’apparence du bien. Et certains même "laissent entendre"… mais c’est à vérifier… enfin, je mets des guillemets, j’ironise mais je n’irais pas plus loin — que la famille Saoud a des liens judaïques. Il y a des spécialistes qui ont étudié le truc… J’ai lu quelques trucs effectivement… Voilà; ça c’est pour la branche musulmane.
Et puis vous avez une branche catholique chrétienne au XVIIIème siècle qui est Jacob Frank, en Pologne. Lui aussi, pareil, "rédemption par le péché", c’est-à-dire on fait le mal mieux c’est, donc des partouzes, des trucs de sexe, des crimes, tout ce que vous voulez. Tout ce qui peut avilir, c’est bien. "Rédemption par le péché", c’est l’expression officielle.
Et Jacob Frank et ses amis se sont faussement convertis au catholicisme. Il y a eu quand même des personnes en Pologne à dire — on est au XVIIIème siècle, quand même — il y a des choses pas nettes… Mais il a quand même réussi, lui et ses amis, à se convertir. Et chose très intéressante, quand ils se convertissaient, ils étaient parrainés, ils avaient un parrain. Et Jacob Frank, en tant que meneur dans l’histoire, a eu le plus haut parrain de l’époque, le roi de Pologne, Auguste III. Et chose très intéressante, très souvent ils ont été anoblis, après leur conversion. Très souvent, ils ont eu des avantages financiers qui leur ont permis, à ces juifs faussement convertis au catholicisme, d’obtenir des postes clés au sein de la société polonaise, mais aussi, parce qu’il y a eu des frontières mouvantes, ça a touché aussi des familles allemandes, des familles de Bohème et de Moravie, des familles roturières devenues aristocratiques, et compte tenu que la Russie des tsars avait des liens très profonds avec "les Allemagnes" — puisqu’il n’y avait pas d’Etat allemand — vous avez aussi beaucoup de serviteurs et de nobles allemands à la cour de Russie qui étaient en fait des juifs faussement convertis au catholicisme, on les appelle des frankistes. Comme pour Sabbataï Tsevi, on les appelle les sabbatéens.
Et
donc c’est une manière subtile de véroler; et parmi ceux qui se sont
convertis faussement au catholicisme, il y a eu, avec les générations
qui ont passées, certains qui sont revenus à l’état du judaïsme pur —
qui ont donc fait marche arrière — puis ceux qui ont maintenu aussi une
zone transitoire bizarroïde. Ce qui fait que quand vous vous intéressez à
certaines familles, entre autres de la noblesse polonaise, qui se sont
faussement convertis au catholicisme et qui ont ensuite occupés des
postes, vous avez un lointain rejeton qui a la nationalité américaine,
qui a travaillé pour le président Carter, et qui est au service du
président Obama, qui est officiellement catholique — mais moi à
l’époque, il y a des années et des années je me suis disais, il y a un
truc qui cloche — Brzeziński !
Officiellement il (Brzeziński) est catholique, et issu d’une noblesse catholique polonaise, mais en fait il fait partie de cette branche frankiste. Comme aussi vous avez une famille très proche de la famille royale d’Angleterre, et d’ailleurs le mari de la Reine d’Angleterre, le prince Philippe, fait partie de cette famille, c’est la famille Mountbatten.
En fait, ce sont des frankistes de langue allemande, qui s’appelaient les Battenberg, et les Battenberg sont venus ensuite en Angleterre, et ils ont pris le nom de Mountbatten.
J’invite les personnes intéressées par le frankisme — parce que là, on touche au cœur — à lire deux ouvrages… l’un de Charles Novak, qui est sorti aux éditions L’Harmattan, vous allez sur Amazon ("Jacob Frank le faux messie"), il y est, sauf s’il est épuisé, et vous avez… c’est une couverture marron avec de profil Jacob Frank.
Officiellement il (Brzeziński) est catholique, et issu d’une noblesse catholique polonaise, mais en fait il fait partie de cette branche frankiste. Comme aussi vous avez une famille très proche de la famille royale d’Angleterre, et d’ailleurs le mari de la Reine d’Angleterre, le prince Philippe, fait partie de cette famille, c’est la famille Mountbatten.
En fait, ce sont des frankistes de langue allemande, qui s’appelaient les Battenberg, et les Battenberg sont venus ensuite en Angleterre, et ils ont pris le nom de Mountbatten.
J’invite les personnes intéressées par le frankisme — parce que là, on touche au cœur — à lire deux ouvrages… l’un de Charles Novak, qui est sorti aux éditions L’Harmattan, vous allez sur Amazon ("Jacob Frank le faux messie"), il y est, sauf s’il est épuisé, et vous avez… c’est une couverture marron avec de profil Jacob Frank.
Et
l’ouvrage par excellence, extraordinaire, qui est un pavé, sur Sabbataï
Tsevi, écrit par un historien israélien qui est mort depuis, qui
s’appelait Gershom Scholem. Et là vraiment chaque page est un concentré
d’informations. D’ailleurs Charles Novak s’appuie beaucoup sur les
travaux de Gershom Scholem. Mais si vous voulez commencer en douceur,
commencez par Charles Novak sur Jacob Frank.
Voyez-vous, quand on s’adresse à quelqu’un, il faut toujours voir ses origines sociales, et voir en particulier ce qui a structuré sa mentalité, sa tournure religieuse, philosophique, etc — et le roi Louis XVI, m’a toujours sidéré — homme très intelligent, le jeune Louis XVI, par bien des aspects très intelligent, cultivé, un homme bon, intègre, des qualités — à titre personnel, j’ai participé le 21 janvier 1993, au bicentenaire de sa mort parce que c’est un innocent qu’on a condamné à mort. Donc je défends sa mémoire, etc. Il n’empêche que je reproche sa mentalité, et les faiblesses entre autres quand il a interdit aux gardes suisses en août 1792 de se battre… eh bien les pauvres gardes suisses se sont fait tués et certains châtrés d’une manière atroce — on aurait dû dire à Louis XVI… Bon ! Mais, j’ai de la sympathie pour cet homme qui avait des qualités humaines — il faut savoir apprécier ça surtout que les chefs d’Etats ayant des qualités humaines ne courent pas les rues. Mais quand vous avez, par exemple, durant le règne de Louis XVI, le fait qu’il a… — par exemple durant le sacre, un roi de France doit jurer solennellement qu’il doit combattre les hérésies, protestantes et juives; il a plus ou moins bafouillé lors de ce passage, donc il a mal prononcé. On s’étonne aussi — et c’est absolument anormal pour un roi de France, lieutenant du Christ, n’oubliez pas que dans la monarchie française depuis Clovis, le vrai roi de France c’est le Christ, on est toujours en monarchie en fait, on a toujours un roi, c’est le Christ, et le roi de France n’est que le lieutenant — eh bien, ce lieutenant, qui doit donc suivre les préceptes lancés et avancés par Clovis, et rappelés par Sainte Jeanne d’Arc — je rappelle que lorsque Clovis s’est converti au catholicisme, c’est par l’évêque Saint Rémi — « Courbe la tête, fier Sicambre, brûle ce que tu as adoré, adore ce que tu as brûlé », c’est là que Saint Rémi a rappelé à Clovis la mission qu’avait cet "embryon de France", et c’est Sainte Jeanne d’Arc qui rappelle cette mission au dauphin Charles… je rappelle le pied de nez de la providence, Sainte Jeanne d’Arc est née un 6 janvier, 6 janvier c’est les rois mages, qui rendent hommage au Christ roi, au roi des nations — et Sainte Jeanne d’Arc… on ne dit pas Jeanne d’Arc, on dit Sainte Jeanne d’Arc, mais ça l’Eglise conciliaire supprime le "saint", enfin il faut toujours mettre au niveau terrestre, ça c’est typiquement judaïque aussi…
Voyez-vous, quand on s’adresse à quelqu’un, il faut toujours voir ses origines sociales, et voir en particulier ce qui a structuré sa mentalité, sa tournure religieuse, philosophique, etc — et le roi Louis XVI, m’a toujours sidéré — homme très intelligent, le jeune Louis XVI, par bien des aspects très intelligent, cultivé, un homme bon, intègre, des qualités — à titre personnel, j’ai participé le 21 janvier 1993, au bicentenaire de sa mort parce que c’est un innocent qu’on a condamné à mort. Donc je défends sa mémoire, etc. Il n’empêche que je reproche sa mentalité, et les faiblesses entre autres quand il a interdit aux gardes suisses en août 1792 de se battre… eh bien les pauvres gardes suisses se sont fait tués et certains châtrés d’une manière atroce — on aurait dû dire à Louis XVI… Bon ! Mais, j’ai de la sympathie pour cet homme qui avait des qualités humaines — il faut savoir apprécier ça surtout que les chefs d’Etats ayant des qualités humaines ne courent pas les rues. Mais quand vous avez, par exemple, durant le règne de Louis XVI, le fait qu’il a… — par exemple durant le sacre, un roi de France doit jurer solennellement qu’il doit combattre les hérésies, protestantes et juives; il a plus ou moins bafouillé lors de ce passage, donc il a mal prononcé. On s’étonne aussi — et c’est absolument anormal pour un roi de France, lieutenant du Christ, n’oubliez pas que dans la monarchie française depuis Clovis, le vrai roi de France c’est le Christ, on est toujours en monarchie en fait, on a toujours un roi, c’est le Christ, et le roi de France n’est que le lieutenant — eh bien, ce lieutenant, qui doit donc suivre les préceptes lancés et avancés par Clovis, et rappelés par Sainte Jeanne d’Arc — je rappelle que lorsque Clovis s’est converti au catholicisme, c’est par l’évêque Saint Rémi — « Courbe la tête, fier Sicambre, brûle ce que tu as adoré, adore ce que tu as brûlé », c’est là que Saint Rémi a rappelé à Clovis la mission qu’avait cet "embryon de France", et c’est Sainte Jeanne d’Arc qui rappelle cette mission au dauphin Charles… je rappelle le pied de nez de la providence, Sainte Jeanne d’Arc est née un 6 janvier, 6 janvier c’est les rois mages, qui rendent hommage au Christ roi, au roi des nations — et Sainte Jeanne d’Arc… on ne dit pas Jeanne d’Arc, on dit Sainte Jeanne d’Arc, mais ça l’Eglise conciliaire supprime le "saint", enfin il faut toujours mettre au niveau terrestre, ça c’est typiquement judaïque aussi…
Autre
remarque, Sainte Jeanne d’Arc est née à Domremi. Dom, c’est
l’abbréviation de Domus, la maison de Rémi, par rapport à l’évêque Saint
Rémi qui a baptisé Clovis. C’est un rappel… un petit pied de nez de la
providence. Il y a ces signes de la providence de la providence, c’est
comme — là je vais faire très rapide — quand le tiers Etat se déclare
assemblée constituante le 17 juin 1789, c’est le peuple officiellement
qui prend le pouvoir — en fait une oligarchie — c’est une rupture avec
le baptême de Clovis, parce que le pouvoir ne vient plus du roi
lieutenant du Christ, mais "officiellement" du peuple, en fait d’une
oligarchie — eh bien, cent ans auparavant, le 17 juin 1689, le Christ
apparut à une religieuse qui s’appelait Sainte Marguerite-Marie, et il
lui a dit en gros, que Louis XIV devait faire attention, parce qu’un
jour, ce qu’il faisait, et pour ses successeurs, ça tournerait mal,
parce que c’est une politique païenne que Louis XIV commençait à faire,
quand on prend l’emblème du soleil, c’est l’emblème païen des Incas.
Donc le mal est ancien, et le Christ annonce à Sainte Marguerite-Marie
que c’est une menace qui se profile… qu’en gros le système monarchique
va sauter — eh bien il apparaît le 17 juin 1689, exactement cent ans
jour pour jour, mois pour mois, de la date fatidique qui conduit à la
rupture de la France monarchique le 17 juin 1789. Il y a des pied de nez
de la providence. Je ferme ce chapitre, mais ce n’est jamais le hasard.
Dieu voyage souvent incognito, mais quelque fois il y a des traces…
Alors, je parlais donc de Jacob Frank, et donc du frankisme, et de Louis XVI… et Louis XVI, il a entre autres violé les paroles du sacre, parce qu’il a, sur sa cassette personnelle, payé les réparations de la Synagogue de Metz. La Synagogue de Metz avait besoin de réparations et Louis XVI a apporté de l’argent. Et vous avez même des fleurs de lys sur la Synagogue de Metz. En tant que roi de France défenseur du catholicisme et luttant contre le judaïsme et le protestantisme, mais ça va ensemble, parce que le protestantisme c’est du christianisme judaïsé, et que les pasteurs sont des rabbins déguisés… — la version communiste : ce sont les commissaires politiques.
Comment peut-on comprendre une telle tournure d’esprit ? Eh bien, il faut regarder par la mère. C’est souvent la femme qui apporte l’âme du foyer, les idées… L’importance de la femme. Je vous ai dit qu’Auguste III était le parrain de Jacob Frank. La cour royale de Pologne était infestée par ces idées frankistes, et les enfants d’Auguste III étaient imprégnés de ces idées. Auguste III avait une fille, qui s’appelait Marie-Josèphe de Saxe. C’était la mère de Louis XVI, et de Louis XVIII et de Charles X. Donc on voit la filiation… Louis XVI était le petit-fils d’Auguste III de Pologne, parrain de Jacob Frank, faussement converti au catholicisme… Rédemption par le péché. Et là vous comprenez plein de choses…
En fait, il faut voir les choses matérielles, c’est sûr on est sur Terre — mais voyez ce qui forme "l’âme", la tournure d’esprit, l’origine sociale… quand on s’intéresse…, quand on veut se marier, on n’épouse pas uniquement un tas de viande — et heureusement — on épouse une origine sociale, quand des parents sont pervers et tordus, il y a de grandes chances que les enfants le seront aussi. Donc il faut voir la personne avec qui on veut se marier, mais il faut voir aussi les parents et les grands-parents, parce qu’on est les héritiers à la fois… biologiques, mais aussi les héritiers d’un courant de pensée, d’une spiritualité, d’une "odeur", voilà ! […]
Alors, je parlais donc de Jacob Frank, et donc du frankisme, et de Louis XVI… et Louis XVI, il a entre autres violé les paroles du sacre, parce qu’il a, sur sa cassette personnelle, payé les réparations de la Synagogue de Metz. La Synagogue de Metz avait besoin de réparations et Louis XVI a apporté de l’argent. Et vous avez même des fleurs de lys sur la Synagogue de Metz. En tant que roi de France défenseur du catholicisme et luttant contre le judaïsme et le protestantisme, mais ça va ensemble, parce que le protestantisme c’est du christianisme judaïsé, et que les pasteurs sont des rabbins déguisés… — la version communiste : ce sont les commissaires politiques.
Comment peut-on comprendre une telle tournure d’esprit ? Eh bien, il faut regarder par la mère. C’est souvent la femme qui apporte l’âme du foyer, les idées… L’importance de la femme. Je vous ai dit qu’Auguste III était le parrain de Jacob Frank. La cour royale de Pologne était infestée par ces idées frankistes, et les enfants d’Auguste III étaient imprégnés de ces idées. Auguste III avait une fille, qui s’appelait Marie-Josèphe de Saxe. C’était la mère de Louis XVI, et de Louis XVIII et de Charles X. Donc on voit la filiation… Louis XVI était le petit-fils d’Auguste III de Pologne, parrain de Jacob Frank, faussement converti au catholicisme… Rédemption par le péché. Et là vous comprenez plein de choses…
En fait, il faut voir les choses matérielles, c’est sûr on est sur Terre — mais voyez ce qui forme "l’âme", la tournure d’esprit, l’origine sociale… quand on s’intéresse…, quand on veut se marier, on n’épouse pas uniquement un tas de viande — et heureusement — on épouse une origine sociale, quand des parents sont pervers et tordus, il y a de grandes chances que les enfants le seront aussi. Donc il faut voir la personne avec qui on veut se marier, mais il faut voir aussi les parents et les grands-parents, parce qu’on est les héritiers à la fois… biologiques, mais aussi les héritiers d’un courant de pensée, d’une spiritualité, d’une "odeur", voilà ! […]
Donc
on voit cette marque. Et puis… je vous citais donc Isaac Louria,
Sabbataï Tsevi et Jacob Frank, cette volonté de pervertir… et ça marche,
parce que la réussite, en fait, elle s’est produite par… comment dire —
avec les générations et le développement du poison, avec Vatican II.
En fait, après avoir mis à bas la monarchie française, il fallait mettre à bas l’Eglise catholique. Et
Vatican II, c’est une forme de protestantisation humaine, et même plus,
c’est une forme de remise de l’Eglise sous les ordres de la Synagogue.
Alors il faut lire — je citais tout à l’heure Gerhart Riegner, qui
était le second auprès du Congrès juif mondial, auprès de Nahum Goldmann
— et qui a été un des meneurs au sein du Vatican II en liaison avec le
cardinal Bea pour reconnaître le judaïsme, d’où les relations entre le
catholicisme et le judaïsme — et actuellement il y a une judaïsation
complète de l’église conciliaire, car je rappelle que lorsque le pape
François est élu Pape le 13 mars 2013, il a quand même reçu les
félicitations de la franc-maçonnerie juive d’Argentine, les B’nai B’rith,
vous allez sur leur site, c’est officiel. Il a participé aussi aux
fêtes Hanouka quand il était cardinal en Argentine, chose absolument
anormale. »
Dans le cadre de la religion universelle qui se met en place, le pape a reçu un étrange cadeau de la part président Nazarbaïev du Kazakhstan.
Dans le cadre de la religion universelle qui se met en place, le pape a reçu un étrange cadeau de la part président Nazarbaïev du Kazakhstan.
Vous
avez au Kazakhstan un centre avec toutes les religions — juifs,
catholiques, protestants, et musulmans — et pour la représentation
catholique vous avez le cardinal Tauran. C’est lui qui a annoncé
l’élection du Pape le 13 mars. Donc c’est une représentation
archi-officielle. Eh bien, le bâtiment qui représente toutes ces
religions au Kazakhstan, c’est quoi ? C’est une pyramide. Et l’ironie
c’est que cette pyramide se trouve dans un lieu qui s’appelle Astana,
qui est l’anagramme de Satana. Eh bien c’est la pyramide que le
président Nazarbaïev du Kazakhstan a offert en cadeau à Benoît XVI. Et
d’ailleurs, sur ces bonnes paroles, je vais rappeler les paroles de
l’ami Benoît XVI — message de Noël 2005, sur le site du Vatican — on
voit que l’Eglise catholique, les dirigeants de l’église catholique… conciliaire… sont totalement vérolés — écoutez ce message du pape Benoît XVI, qui disait, je cite :
"Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem; ne crains pas, aie confiance en Lui! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques."
Il aurait dit, prends la main de l’Enfant de Bethléem, afin de combattre le Nouvel Ordre Mondial et de restaurer la royauté du Christ, j’aurais dit, "Chapeau !", mais évidemment, issu de Vatican II il ne fallait pas s’attendre à du merveilleux.
"Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem; ne crains pas, aie confiance en Lui! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques."
Il aurait dit, prends la main de l’Enfant de Bethléem, afin de combattre le Nouvel Ordre Mondial et de restaurer la royauté du Christ, j’aurais dit, "Chapeau !", mais évidemment, issu de Vatican II il ne fallait pas s’attendre à du merveilleux.
C’est révélateur parce qu’en fait on voit que les papes, depuis Jean XXIII jusqu’à aujourd’hui, sont imprégnés de ce modèle finalement propre à la Synagogue —
et pour information, il y a quelques semaines de ça, le pape François a
reçu les représentants du Congrès juif mondial, et les représentants
ont dit au pape François que les relations entre les juifs et les
chrétiens s’étaient vraiment améliorées depuis 5 décennies, donc en fait
depuis Vatican II.
Je
rappelle aussi qu’il y a quelques semaines de ça, le cardinal
Schönborn, cardinal autrichien, a reçu de la part des B’nai B’rith
Europe, un cadeau, une ménorah. C’est le chandelier à sept branches, et
vous allez sur le site du B'nai B'rith Europe, à la rubrique news, je
crois que c’est du 23 octobre 2013, c’est tout récent. Et à propos de
menorah — et là je vous demande, chers auditeurs de Meta TV, de retenir
ceci, en particulier aux parisiens — ces emblèmes juifs, quand je dis la
reprise de la Synagogue sur la société chrétienne, ce n’est pas pour
faire peur, c’est la réalité. Et vous avez un élément facteur, vous
allez à l’Hôtel de ville de Paris et vous vous mettez en face avec comme
point de référence l’horloge murale. Et vous regardez sur le sol. Sur
le sol, gravé sur le sol, sur une longueur de 4, 5 ou 6 mètres, 3 mètres
de large, vous avez une représentation stylisée du bateau de la ville
de Paris, avec des petits traits qui représentent les vagues… (C’était
le symbole de Paris, les bateliers, etc.)
Un truc joli, j’ai rien contre au contraire. Donc, les petites vagues, le bateau, avec la coque, et puis je vous dis, c’est un bateau stylisé, le mât et les cordages. Bon. Eh bien je vous demande… Vous regardez bien ça, vous faites le tour, et vous regardez ça à l’envers. C’est-à-dire que vous avez la mairie dans le dos. Eh bien vous regardez sur le sol, à l’envers, c’est une menorah, le chandelier à 7 branches. Vous avez là la signature sur le sol, une marque juive, sur la ville de Paris. On a envie de dire, "mais pourquoi vous n’avez pas mis le sacré cœur, par exemple…" Après tout, c’est une chose qui a été demandée par le Christ à Sainte Marguerite-Marie en 1689. Non, c’est une menorah. En fait, c’est comme les chiens qui mettent leur odeur, eux aussi, ont leurs odeurs à eux, mais là c’est une… comment dire, une marque physique… (Photo)
En fait c’est même pas caché, c’est le bateau stylisé, avec le mat et les cordages, c’est en ligne droite… et donc quand on regarde à l’envers, ce sont les branches de la menorah qu’on voit.
Un truc joli, j’ai rien contre au contraire. Donc, les petites vagues, le bateau, avec la coque, et puis je vous dis, c’est un bateau stylisé, le mât et les cordages. Bon. Eh bien je vous demande… Vous regardez bien ça, vous faites le tour, et vous regardez ça à l’envers. C’est-à-dire que vous avez la mairie dans le dos. Eh bien vous regardez sur le sol, à l’envers, c’est une menorah, le chandelier à 7 branches. Vous avez là la signature sur le sol, une marque juive, sur la ville de Paris. On a envie de dire, "mais pourquoi vous n’avez pas mis le sacré cœur, par exemple…" Après tout, c’est une chose qui a été demandée par le Christ à Sainte Marguerite-Marie en 1689. Non, c’est une menorah. En fait, c’est comme les chiens qui mettent leur odeur, eux aussi, ont leurs odeurs à eux, mais là c’est une… comment dire, une marque physique… (Photo)
En fait c’est même pas caché, c’est le bateau stylisé, avec le mat et les cordages, c’est en ligne droite… et donc quand on regarde à l’envers, ce sont les branches de la menorah qu’on voit.
On
a envie de dire, « mais pourquoi… » Mais en fait, cela rentre dans le
cadre planétaire. Car je vous dis, blocs gouvernementaux, gouvernance mondiale, régie par une tournure d’esprit, une religion universelle.
C’est quoi ? C’est le noachisme.
Noachisme…
Noé. D’ailleurs pour information, il y a un film qui sort dans quelques
mois sur Noé… avril 2014, dans ces eaux là, j’ai vu la bande-annonce et
j’ai envie de dire « mais pourquoi ils font un film sur Noé… » Alors on
voit, avec le Déluge, donc… Là aussi, ayez le coup d’œil.
Je vais vous citer un exemple très concret, très rapidement, avant de reprendre le coup du noachisme, vous avez un film qui est sorti il y a quelques mois, je crois que c’est un film canadien, "Assault on Wall Street". Il raconte l’histoire d’un américain, une trentaine d’années, marié, qui appartient à la classe moyenne, et est convoyeur de fonds. Il a souscrit à différentes assurances, et puis il boursicote un peu via des traders de la finance. Le problème pour cet homme, c’est que sa femme est atteinte d’un cancer, et ça coûte une fortune. Et normalement les assurances sont là pour couvrir; et manque de pot, il y a écrit en tout petit, que pour les maladies très graves… eh bien… non. Alors le pauvre homme va tout dépenser à l’insu de sa femme, il ne veut pas lui faire peur et l’inquiéter… mais peu à peu il perd tout. Et puis l’argent qu’il avait mis de côté et qu’il voulait utiliser, et qui a donc été… — il avait boursicoté… — cet argent a été — pour lui et pour tant d’autres — rincé par des requins de la finance, ce qui fait que cet homme a financièrement tout perdu, et même son métier il le perd, parce qu’il est convoyeur de fonds, et compte tenu qu’il perd beaucoup d’argent, qu’il en a besoin, eh bien on le fout à la porte, on le licencie, parce qu’en tant que convoyeur de fonds il aurait peut-être des tentations. Donc il perd son métier. Et sa femme, elle, se suicide, parce qu’elle ne veut pas, je vais dire, amener à un gouffre financier. En fait elle ne se rend même pas compte à quel point la situation est désastreuse. Ce convoyeur de fonds en a marre, et va se venger. C’est un ancien militaire. Il va récupérer des armes, et va buter les requins de la finance. Et à mon avis, plus d’un américain et canadien qui a vu le film a dû se frotter les mains — il les butte ! — mais il en butte, pas deux/trois, il les butte ! Et l’agence financière, composée de requins, qui vraiment, l’a plumé lui et d’autres. L’agence s’appelle… L’agence Huxley.
C’est comme le film « Elysium », avec Matt Damon et l’actrice américaine qui parle très bien le français, Jodie Foster… L’histoire c’est quoi ? C’est une humanité qui réduite à l’état de pauvreté… Vous avez toutes les langues, l’anglais, l’espagnol, puis un sabir moitié anglais-moitié espagnol, puis vous avez la minorité ultra-riche qui vit dans un vaisseau spatial au-dessus de la Terre, qu’on voit d’ailleurs de la Terre. (Vaisseau qui a l'aspect d'un pentagramme.)
Un pentagramme dirigé par Foster qui est une sorte de grand secrétaire… Dans la version américaine, le secrétaire s’appelle comment ? Rhodes ! Ces gens-là, qui font ces films ont une véritable culture politique, historique… Ils n’ont pas mis Smith, non, ils ont mis Rhodes, comme l’agence Huxley. Voilà, ils ont une envie perverse, tordue, de savourer, en rappelant les noms. Voilà. Alors c’est comme la menorah et le bateau de la ville de Paris à l’envers. Alors cette religion qu’ils veulent mettre en place, c’est le noachisme.
Le noachisme — c’est donc Noé — obéit à ces critères. Ce sont en fait des magistrats — des commissaires politiques — pour vérifier la bonne application des 7 lois, contre le vol, contre l’inceste, bon des choses bonnes, et là où ça va coincer… contre le polythéisme. Alors, le judaïsme, c’est le dieu unique, pas de problème, l’islam, c’est le dieu unique, pas de problème, pour les catholiques, pour les chrétiens, le catholicisme est une religion monothéiste. Mais pour les juifs, comme pour les musulmans, ils considèrent le catholicisme comme un polythéisme en raison de la Sainte Trinité, Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Donc, on est ce qu’ils appellent des trithéistes — trois dieux. Donc des idolâtres, et donc il faut que ça soit supprimé. Donc il faut procéder à une réforme du catholicisme, faire en sorte que la Sainte Trinité — qui est un dogme, donné par le Christ, le Messie pour les catholiques — eh bien, il faut supprimer ça, et en plus supprimer le côté messianique du Christ… le reconnaître comme un être historique, officiel, mais humain. Et mettre en place ce qu’ils appellent — et c’est le rabbin Benamozegh dans son livre "Israël et l'humanité" – qui dit qu’il faut mettre en place un, je cite, "catholicisme d’Israël". Un catholicisme judaïsé aux normes talmudiques. Je ne fais que reprendre… C’est factuel. On aime on aime pas, c’est comme ça, et on s’y plie. Et donc ça doit gérer tout ça.
Je vais vous citer un exemple très concret, très rapidement, avant de reprendre le coup du noachisme, vous avez un film qui est sorti il y a quelques mois, je crois que c’est un film canadien, "Assault on Wall Street". Il raconte l’histoire d’un américain, une trentaine d’années, marié, qui appartient à la classe moyenne, et est convoyeur de fonds. Il a souscrit à différentes assurances, et puis il boursicote un peu via des traders de la finance. Le problème pour cet homme, c’est que sa femme est atteinte d’un cancer, et ça coûte une fortune. Et normalement les assurances sont là pour couvrir; et manque de pot, il y a écrit en tout petit, que pour les maladies très graves… eh bien… non. Alors le pauvre homme va tout dépenser à l’insu de sa femme, il ne veut pas lui faire peur et l’inquiéter… mais peu à peu il perd tout. Et puis l’argent qu’il avait mis de côté et qu’il voulait utiliser, et qui a donc été… — il avait boursicoté… — cet argent a été — pour lui et pour tant d’autres — rincé par des requins de la finance, ce qui fait que cet homme a financièrement tout perdu, et même son métier il le perd, parce qu’il est convoyeur de fonds, et compte tenu qu’il perd beaucoup d’argent, qu’il en a besoin, eh bien on le fout à la porte, on le licencie, parce qu’en tant que convoyeur de fonds il aurait peut-être des tentations. Donc il perd son métier. Et sa femme, elle, se suicide, parce qu’elle ne veut pas, je vais dire, amener à un gouffre financier. En fait elle ne se rend même pas compte à quel point la situation est désastreuse. Ce convoyeur de fonds en a marre, et va se venger. C’est un ancien militaire. Il va récupérer des armes, et va buter les requins de la finance. Et à mon avis, plus d’un américain et canadien qui a vu le film a dû se frotter les mains — il les butte ! — mais il en butte, pas deux/trois, il les butte ! Et l’agence financière, composée de requins, qui vraiment, l’a plumé lui et d’autres. L’agence s’appelle… L’agence Huxley.
C’est comme le film « Elysium », avec Matt Damon et l’actrice américaine qui parle très bien le français, Jodie Foster… L’histoire c’est quoi ? C’est une humanité qui réduite à l’état de pauvreté… Vous avez toutes les langues, l’anglais, l’espagnol, puis un sabir moitié anglais-moitié espagnol, puis vous avez la minorité ultra-riche qui vit dans un vaisseau spatial au-dessus de la Terre, qu’on voit d’ailleurs de la Terre. (Vaisseau qui a l'aspect d'un pentagramme.)
Un pentagramme dirigé par Foster qui est une sorte de grand secrétaire… Dans la version américaine, le secrétaire s’appelle comment ? Rhodes ! Ces gens-là, qui font ces films ont une véritable culture politique, historique… Ils n’ont pas mis Smith, non, ils ont mis Rhodes, comme l’agence Huxley. Voilà, ils ont une envie perverse, tordue, de savourer, en rappelant les noms. Voilà. Alors c’est comme la menorah et le bateau de la ville de Paris à l’envers. Alors cette religion qu’ils veulent mettre en place, c’est le noachisme.
Le noachisme — c’est donc Noé — obéit à ces critères. Ce sont en fait des magistrats — des commissaires politiques — pour vérifier la bonne application des 7 lois, contre le vol, contre l’inceste, bon des choses bonnes, et là où ça va coincer… contre le polythéisme. Alors, le judaïsme, c’est le dieu unique, pas de problème, l’islam, c’est le dieu unique, pas de problème, pour les catholiques, pour les chrétiens, le catholicisme est une religion monothéiste. Mais pour les juifs, comme pour les musulmans, ils considèrent le catholicisme comme un polythéisme en raison de la Sainte Trinité, Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Donc, on est ce qu’ils appellent des trithéistes — trois dieux. Donc des idolâtres, et donc il faut que ça soit supprimé. Donc il faut procéder à une réforme du catholicisme, faire en sorte que la Sainte Trinité — qui est un dogme, donné par le Christ, le Messie pour les catholiques — eh bien, il faut supprimer ça, et en plus supprimer le côté messianique du Christ… le reconnaître comme un être historique, officiel, mais humain. Et mettre en place ce qu’ils appellent — et c’est le rabbin Benamozegh dans son livre "Israël et l'humanité" – qui dit qu’il faut mettre en place un, je cite, "catholicisme d’Israël". Un catholicisme judaïsé aux normes talmudiques. Je ne fais que reprendre… C’est factuel. On aime on aime pas, c’est comme ça, et on s’y plie. Et donc ça doit gérer tout ça.
Et Vatican II, c’est une judaïsation aux normes du noachisme,
pour peu à peu procéder à une mutation — oh, progressive, pas étalée
sur un an, deux ans, mais sur des dizaines d’années — donc peu à peu on
observe une mutation profonde qui va très loin puisque vous avez déjà un Etat, les Etats-Unis — et vous pouvez tout à fait le vérifier — dans un document du Congrès des Etats-Unis, du 26 mars 1991, a reconnu le noachisme comme socle de la société américaine. Le terme en anglais c’est « bedrock » ; c’est les lois noachides.
En fait, le noachisme, c’est quoi ?
En fait, le noachisme, c’est quoi ?
En
plus des 7 lois… je vous en ai cité quelques unes… contre l’inceste, le
vol, mais surtout contre le polythéisme; et des magistrats /
commissaires politiques pour verrouiller tout ça… C’est une
hiérarchisation de l’humanité, avec, de haut en bas, un dieu unique;
tout en bas, ce qu’on appelle les gentils, c’est-à-dire les non-juifs,
c’est-à-dire les noirs, les blancs, les asiatiques, les métisses, tout
ce que vous voulez, et entre les deux, un peuple prêtre, le peuple juif,
qui n’obéit pas aux lois du noachisme. Il est l’intermédiaire, le
prêtre sacrificateur entre le dieu unique et l’humanité, régie par cette
religion universelle, non juive. C’est ça la finalité… Donc toute la
mutation en cours, c’est pour aboutir à une humanité nomade, comme dit
si bien Jacques Attali, qui dit comme par hasard que Jérusalem doit être
la capitale. [...]
Je veux dire par là… que ça fasse un peu réfléchir les gens. "Pourquoi Jérusalem ?" Et donc, les blocs continentaux avec des populations mélangées, déracinées, d’où la construction, la mise en place, d’entités administratives artificielles… — qu’on voit avec la Révolution française — mais qu’on remarque à travers les générations… via l’Union Européenne, etc. Donc des gens déboussolés, déracinés, coupés de leurs traditions, avec en plus la théorie du genre — on est pas homme on est pas femme on le devient, on est du Vincent Mc Doom à tout les coins de rues, enfin je ne devrais pas dire ça parce que c’est une victime, cet homme, — et une religion donc, gérant tout cela, et un peuple au dessus de tout cela, le peuple juif. Mais je ne fais que reprendre les travaux du rabbin Benamozegh, qui ne fait que reprendre les travaux, je vais dire, bi-millénaires. Donc la tentative de remise en place de la Synagogue sur l’Eglise catholique. D’où l’excellente expression de — je le citais — Monseigneur Delassus, "La conjuration antichrétienne, le temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Eglise catholique", le maçonnisme n’étant qu’une extension du bras du judaïsme talmudique. Donc c’est ça…
Je veux dire par là… que ça fasse un peu réfléchir les gens. "Pourquoi Jérusalem ?" Et donc, les blocs continentaux avec des populations mélangées, déracinées, d’où la construction, la mise en place, d’entités administratives artificielles… — qu’on voit avec la Révolution française — mais qu’on remarque à travers les générations… via l’Union Européenne, etc. Donc des gens déboussolés, déracinés, coupés de leurs traditions, avec en plus la théorie du genre — on est pas homme on est pas femme on le devient, on est du Vincent Mc Doom à tout les coins de rues, enfin je ne devrais pas dire ça parce que c’est une victime, cet homme, — et une religion donc, gérant tout cela, et un peuple au dessus de tout cela, le peuple juif. Mais je ne fais que reprendre les travaux du rabbin Benamozegh, qui ne fait que reprendre les travaux, je vais dire, bi-millénaires. Donc la tentative de remise en place de la Synagogue sur l’Eglise catholique. D’où l’excellente expression de — je le citais — Monseigneur Delassus, "La conjuration antichrétienne, le temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Eglise catholique", le maçonnisme n’étant qu’une extension du bras du judaïsme talmudique. Donc c’est ça…
Et très intéressant dans le judaïsme talmudique et le noachisme en particulier, c’est cette volonté de supprimer les intermédiaires.
Parce que ce qu’ils disent, en particulier le catholicisme, qui est à
abattre pour eux, concerne des intermédiaires. Il est impossible de
faire revenir le roi des juifs. Il faut — je ne fais que prendre ce
qu’ils disent — il faut effacer les intermédiaires. Le premier intermédiaire qu’il fallait effacer, c’était le roi de France, lieutenant du Christ,
intermédiaire entre le Christ et le peuple français. Donc il fallait le
détruire; 21 janvier 1793… c’est bon. C’est un intermédiaire qui
disparaît.
L’autre intermédiaire qu’il faut faire disparaître c’est le pape, vicaire du Christ,
intermédiaire entre le dieu trinitaire et l’humanité, qu’elle soit
catholique ou non-catholique, car par définition, le catholicisme est
universel.
Donc
quand on aura fait disparaître les intermédiaires, la place sera libre
pour finalement laisser cette humanité non-juive avec une vision
purement horizontale — non plus verticale avec des intermédiaires, le
roi de France et le pape — vision horizontale, terrestre, plaisirs
matériels et charnels… et un autre intermédiaire prendra la place pour
assurer la soudure : le peuple prêtre, le peuple juif.
C’est ça, le mondialisme est un messianisme.
Retenez cette expression, « le mondialisme est un messianisme ». D’où
la prière du 23 septembre 2012 où toutes les communautés juives du monde
— et c’est sur Dailymotion ou YouTube, vous avez l’embarras du choix —
ont récité une courte prière pour le retour du messie, sous-entendu le
roi des juifs, le Mashia'h, car s’ils l’ont fait, cela veut dire que
leur colonisation matérielle et spirituelle du monde est suffisamment
avancée pour laisser la place à leur messie, roi des juifs, roi matériel
et charnel, pour établir la primauté d’Israël. C’est une prière qui a
été dite par toutes les communautés juives officielles, en France, aux
Etats-Unis… Et donc, ça veut dire, quand j’ai appris ça, à l’époque, je
me suis dit qu’ils estiment que leur colonisation planétaire est presque
arrivée…
C’est-à-dire que depuis des générations, ils ont réussi à mettre les éléments temporels et spirituels permettant l’édification de l’édifice [Pierre Hillard dessine une pyramide avec ses mains] permettant d’être couronné ensuite, par le roi des juifs, qui va régner sur le peuple prêtre, l’intermédiaire entre le dieu unique et les gentils..."
C’est-à-dire que depuis des générations, ils ont réussi à mettre les éléments temporels et spirituels permettant l’édification de l’édifice [Pierre Hillard dessine une pyramide avec ses mains] permettant d’être couronné ensuite, par le roi des juifs, qui va régner sur le peuple prêtre, l’intermédiaire entre le dieu unique et les gentils..."
PDF gratuit :
Le
frankisme, un révélateur des déchirements de la vie juive au XVIIIe
siècle. Nous souhaitons tout d’abord souligner la fulgurante ascension
sociale des membres de la secte après leur conversion, dans les hautes
sphères de l’aristocratie, de la politique, de l’art ou de la culture
européennes.
de Charles Novak
De
par cette conversion collective, mystique et messianique, il nous
apparaît que le mouvement frankiste fut révélateur des soubresauts et
des déchirements de la vie juive dans le monde ashkénaze, au cours du
XVIIIe siècle : pogroms, communautés décimées, tentation de
l’assimilation ou de la résistance face au monde chrétien, misère
sociale, non partage du savoir rabbinique ou orthodoxie, tous ces
facteurs prouveraient un désir immédiat d’un sauveur, d’un Messie.
Ce
désir du Messie sauveur immédiat ou futur montrerait selon nous, à quel
point le monde juif européen de l’époque est tourmenté et divisé.
Le
hassidisme et le frankisme naissent à quelques années d’intervalle et
dans la même zone géographique. Ils sont "une vulgarisation de la
Kabbale". L’opposition apparente de ces deux mouvements peut laisser
entrevoir que les choix pour survivre en tant que juifs, furent extrêmes
pour les Juifs d’Europe de l’Est.
Depuis
le XIXe siècle, de nombreuses études ont été réalisées sur le
hassidisme du Baal Chem Tov, mais probablement pas assez sur le
mouvement frankiste, l’autre facette des déchirements de la vie juive
ashkénaze de l’époque, dont les sources sont rares.
Le
mouvement frankiste nous paraît fondamental dans l’histoire juive : si
l’assimilation d’une part, face à une ferveur et une attente messianique
d’autre part, représentent les deux faces d’une même crise, le
frankisme nous semble symboliser l’ensemble de ces facteurs.
Depuis
la connaissance de l’existence du mouvement frankiste, beaucoup de
chercheurs ont eu grand peine à l’étudier. Tout d’abord, il me semble
capital de me libérer de l’opinion de Graetz, qui a vu le mouvement de
Jacob Frank comme étant le mouvement hérétique, le plus nauséabond de
l’histoire juive. Ceci a largement orienté les opinions futures.
Ensuite, Kraushar, l’historien polonais du frankisme de la fin du XIXe
siècle, s’est converti subitement au catholicisme, ce qui provoqua un
choc dans le monde juif. Ces deux faits, à quelque soixante années
d’intervalle, ont terni, aux yeux de la recherche, l’image de ce
mouvement. Depuis, ce n’est qu’avec recul et restriction que les
chercheurs actuels se penchent sur ce sujet, voire ne s’y penchent pas
du tout, comme Moshe Idel, spécialiste de la mystique juive, du
hassidisme, et du sabbataïsme, jusqu’en 1750 ; ou encore, Gershom
Scholem au début de ses recherches sur la mystique juive. Et il n’y a, à
notre connaissance, aucun chercheur sur le frankisme en France. Il me
semble pourtant que ce sujet est un vaste champ de recherches pas assez
approfondi, qui a considérablement marqué le monde juif d’une part, et
le monde chrétien de l’autre. Il pose sous un nouvel éclairage les
problématiques du converti, de la mystique juive, du messianisme et de
la transmission de la Kabbale vers d’autres religions...
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