10 juillet 2022

Enquête sur le trafic d’avortements et de fœtus humains

Trafic de Fœtus pour les grandes industries et par mesures eugénistes !

Vous comprendrez la réelle utilité du Planning Familial Américain (PFA) après avoir lu une citation célèbre de sa fondatrice, Margaret Sanger : « La chose la plus miséricordieuse qu’une famille puisse faire à l’un de ses enfant en bas âge est de le tuer. » Aboutissement de plusieurs projets eugénistes orchestrés par des puissants ? Application du plan du Nouvel ordre des barbares ? Du Pacte secret ? Pourquoi pas.

Les choses commencent à s’éclaircir lorsque que vous apprenez que la candidate démocrate à l’élection présidentielle Hillary Clinton à obtenue le prix « Margaret Sanger » en 2009. Celle-ci a récemment décrit les ventes de pré-commandes de parties de fœtus avortés du planning familial comme une «bonne chose» et son directeur de campagne, Warren Buffet, a été reconnu comme le plus gros donateur de cette entreprise à but non-lucratif, appelée Société Eugénique Américaine avant de s’appeler Planning Familial Américain.

Alors entrons dans le vif du sujet :

Au fil de cette enquête nous accompagnerons le chemin d’une femme enceinte qui tombe dans les griffes du PFA. Celle-ci vérifie l’état de santé son bébé, pense à l’avortement, doute, et finalement avorte en omettant :

  • de vérifier si ses données privées sont bien soumises au secret médical,
  • et de se battre pour vérifier que le Respect et l‘Étique vont bien être la priorité des personnes qui l’ont opérée. Ces personnes qui sont censées être à son service pour autopsier et lui rendre les cendres ou inhumer son bébé avorté.

Qu’en est-il ?

En termes de charge de travail le planning familial semble être complètement dépassé; ou alors il y a un os, car d’après plusieurs témoignages, il existe des quotas d’avortements à l’année, par mois, et même par jour, avec une prime pour les avorteurs qui atteignent les quotas. On pourrait en conclure que l’avortement tend vers l’industrie…

La procédure normale pour un avortement est de provoquer une insuffisance cardiaque du fœtus avec un médicament appelé Digoxine, de le couper dans l’utérus et de l’extraire : la réalité des choses est bien plus terrible que cela.

Après visionnage de nombreuses vidéos, tournées en caméra cachée, et des témoignages sur le sujet, voilà ce que l’on peut retenir :

Les démarches normales d’avortement ne sont pas réalisées. L’avortement peut être provoqué par la création de fausses complications qui mènent à un avortement recommandé pour remplir les quotas. Des produits tels que le Misoprostal, à haute dose, provoque un accouchement forcé et le Misoprostol, un autre produit, ramollit le col de l’utérus comme pour une grossesse à terme. Des naissances partielles sont réalisées sur des bébés vivants et tardifs. Sous prétexte d’échographies de contrôle celles-ci peuvent être utilisées comme occasion pour visualiser et retourner le bébé à avorter avec des forceps !

On en vient à se poser la question : le PFA oriente-t-il les mères vers des procédures illégales de façon à préserver l’intégrité des fœtus, voire de tenter d’obtenir des fœtus encore vivant ? La réponse est oui, et principalement pour du trafic d’organes. Une sale affaire qui commence par de la revente d’organes prélevés sur des fœtus, le plus souvent vivants, le cœur encore battant, torturés et découpés vivants ou du moins viables et laissés pour mort s’il n’y a pas de « pré-commande ». Des témoignages sous serment rapportent des crimes contre les femmes et les nourrissons par des avorteurs du PFA. 

Revenons sur les origines de l’avortement

Si l’on se questionne sur ce qu’il est dit dans le Pacte Secret : « pour toutes ces raisons, leurs enfants seront morts nés, et nous occulterons cette information », que l’on s’intéresse au passage : « L’avortement financé par l’impôt en tant que contrôle de la population » (1969), écrit dans le nouvel ordre des barbares, que l’on prenne en compte que plusieurs « modèles de stérilisation  » ont été réalisés dès 1890, et les pressions qui ont été exercées pour rendre l’avortement légal et facile au niveau des démarches, quelque chose commence à se dessiner.

L’avortement est simplement voulu, organisé, nécessaire pour ceux qui en ont fait l’éloge, avec une finalité : le Planning Familial. Il est effectivement financé pour la majeure partie par les contribuables. Cette régularisation des naissances (les plannings familiaux sont très régulièrement situés au plus près des quartiers défavorisés) et les raisons occultées qui multiplient les fausses couches, tout cela ne pourrait être qu’une application de plans purement eugéniques.

Vous trouverez joint à cet article un schéma complet avec des liens cliquables qui mènent aux sources. Ce schéma part du début de la création du Planning Familial Américain, explique les dérives des avortements, ainsi que ce qu’il peut advenir des fœtus avortés et précise les rouages des laboratoires qui sont en première ligne du trafic d’organes. Ces laboratoires ont, par exemple, une incidence considérable sur l’industrie des cosmétiques, les vaccins, les médicaments et même sur la nourriture.

De tous ces trafics, surtout localisés aux États-Unis, je le précise, nous pouvons tout de même retenir quelques rares combats qui ont réussi : après que le procureur du comité d’Orange ait dénoncé des laboratoires accusés de vendre illégalement des parties de fœtus avortés (DaVinci Biosciences et DV Biologics) ceux-ci ont accepté de fermer définitivement et de payer 8 millions de dollars en dédommagement.

Qu’en est-il en France ?

Question que l’on pourrait se poser : Y-a-t-il des fœtus avortés dans l’industrie alimentaire ? Tout ce qui concerne le sujet du trafic de fœtus en France est complètement opaque, tabou, très peu documenté. Les deux seules affaires dévoilées par les médias en 2006 sont celles des hôpitaux parisiens de Saint-Vincent-de-Paul et de Saint-Antoine. On y trouve : des retards fréquents dans les comptes rendus d’autopsies des bébés avortés (parfois plus de quatre ans !), du stockage de 1.367 fœtus dans des chambres mortuaires, parfois éviscérés, dans des sacs remplis de formol ou conservés dans des conditions indignes…

Même si cela ne confirme pas les pratiques désastreuses du Planning Familial Américain, vous comprendrez que les chances que de tels trafics existent aussi en France soient fortes.

Nous finirons cette enquête avec un lien très fort entre l’idéologie eugéniste et l’avortement : la loi Bio-Éthique (en réalité ni Bio, ni Éthique) passée ce 31 juillet 2020 dans la plus grande discrétion à 3h du matin, véritable loi toute puissante qui veut généraliser un fait pourtant fort ancien qui veut étendre ce procédé monstrueux à tout âge de gestation : en 1966 comme vous le verrez dans le schéma joint, des lignées cellulaires ont été réalisées par des laboratoires. Pour réaliser ces lignées ils leurs a fallu réaliser des avortements normalement illégaux, mais autorisés par dérogation pour des cas exceptionnels : l’infanticide ayant pour cause une « raison psychiatrique ». Un concept fallacieux qui permet des dérives appropriées pour développer sans limites les trafics cités plus haut.

Difficile en France d’imaginer que de telles dérives soient possibles. Elles sont pourtant suffisamment documentées aux USA pour que l’on ne puisse plus douter de la véracité des faits. À vous de méditer sur tout cela, peut être, ressentirez-vous l’envie de percer le secret du pays dans lequel vous êtes, de faire les liens nécessaires avec les États-Unis et de dévoiler au grand jour ces trafics cachés qui poussent chaque jour notre monde vers l’abîme. 

Âmes sensible s’abstenir

Le Dr Bernard Nathanson explique la procédure d’avortement par aspiration, puis montre un véritable avortement au premier trimestre de la grossesse à l’aide d’une échographie. Le spectateur peut voir les tentatives pathétiques de l’enfant pour échapper à la curette aspirante, son rythme cardiaque double, et le fœtus ouvre la bouche dans ce que Nathanson appelle un « cri silencieux » alors que son corps est déchiré.

Une petite fille bouge dans l’utérus de sa mère, son rythme cardiaque est de 140 battements par minute. Lorsque l’extrémité du dispositif commence à pénétrer dans l’utérus, le bébé se lève et bouge violemment, essayant d’éviter l’instrument. Les battements du cœur du fœtus augmentent brusquement pour atteindre 200 battements par minute. Le gynécologue commence à arracher les membres de l’enfant de son corps. En conséquence, seule la tête reste dans l’utérus (trop grosse pour être retirée entièrement), il faut donc écraser la tête avec des forceps.

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