Du côté de la Culture aussi, ça sent le clash, avec la nomination de Rima Abdul Malak, ancienne conseillère de Bertrand Delanoë, et louée par Jack Lang. BFM TV nous donne un aperçu de son réseau, pardon, de son CV :
C’est elle qui, en 2020, initie la réunion en visioconférence avec des artistes, pour tenter de désamorcer la colère du monde de la culture en pleine pandémie. Emmanuel Macron et Franck Riester, alors ministre de la Culture, y échangent avec des artistes et des intellectuels tels que la chorégraphe Mathilde Monnier, le metteur en scène Stanislas Nordey, la comédienne Sandrine Kiberlain, la chanteuse Catherine Ringer ou encore le rappeur et metteur en scène Abd al Malik. À l’issue de cette rencontre, le président annonce un « plan pour la culture », avec notamment l’« année blanche » pour les intermittents.
Que du beau linge à moitié subventionné !
Beaucoup de ministres de la Transition...
Du côté des Outre-mer, qui ont voté Mélenchon puis Marine en masse, on doit faire la gueule : on hérite de Yaël Braun-Pivet, qu’on a portraitée en Financement associatif. C’est bien lourd aussi, en termes de réseaux. Et Agnès Pannier-Runacher, cette autre réseautaire, à la Transition énergétique, qui va devoir expliquer aux Français que c’est à cause de Poutine que la note de gaz et d’électricité va être multipliée par deux... Quant à la Montchalin, aussi froide que méprisante, on la colle à la Transition écologique... Le petit Attal, cette tête à claques nationale, hérite des Comptes publics. L’endive Riester passe au Commerce extérieur, une catastrophe sous Macron 1 avec un déficit record. Normal, quand on flingue l’industrie avec l’aide intéressée de la haute banque...
Quand on parle de réseaux, on parle du réseau sioniste, mais aussi LGBT. Que les nouveaux ministres se rassurent, on ne donnera pas de noms. On remarque que personne n’est vraiment viré, même Véran, pourtant un des pires ministres de la Macronie en charge de l’arnaque covidiste, récupère un portefeuille à la con.
Dans le haut du panier, Le Maire (le nul en économie qui voulait détruire la Russie), Darmanin (l’homme qui fait trembler la délinquance) et Dupond (le gros apoplectique avec plein de montres et une Maserati) gardent leur fauteuil. Donc rien ne change, la farce démocratique continue. Nous, on quitte le perron de l’Élysée, on a autre chose à faire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.