Mieux pénétrer l’espace. Si vous vous demandez pourquoi l’Agence Spatiale Européenne devrait considérer l’œuvre de Wer Braucht Feminismus?, voici une explication. Selon Lucia Hartmann, scientifique, directrice de « WBF Aeronautics » et inventrice de cette fusée, « la forme de ce vaisseau spatial est étonnamment aérodynamique, créant beaucoup moins de traînée lorsque la fusée traverse l’atmosphère terrestre. Cette forme en V optimisée garantit un rendement énergétique maximal ». Contrairement aux formes phalliques, les fusées-vulves seraient donc plus efficaces et plus écologiques. Des arguments qui devraient plaire à l’Agence Spatiale Européenne.
Mais le problème se trouve, pour l’instant, au niveau des signatures : moins de 300 personnes ont apporté leur soutien à la « Vulva Spaceship ». Ce n’est donc pas encore la fin des fusées phalliques, mais au moins il existe une alternative qui mérite, à minima, d’être prise en considération. […]
Mais le problème se trouve, pour l’instant, au niveau des signatures : moins de 300 personnes ont apporté leur soutien à la « Vulva Spaceship ». Ce n’est donc pas encore la fin des fusées phalliques, mais au moins il existe une alternative qui mérite, à minima, d’être prise en considération. […]
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