Voilà 690 jours que le coup d’État planétaire organisé par les élites mondialistes est en cours, au titre d’une soi-disant pandémie qui dans les faits n’a pas tué plus qu’une grippe. Partout, les droits individuels ont été bafoués, et des lois iniques ont été publiées, en dehors de tout contrôle constitutionnel. C’est la politique du fait accompli qui prévaut, on prend des arrêtés liberticides, on les fait appliquer, et lorsque quelqu’un s’avise de les contester par voie de recours, la plupart du temps, ceux-ci sont rejetés par une justice à la botte de l’exécutif. Non seulement il est grand temps de se lever contre la tyrannie, mais il convient aussi de comprendre comment tout ceci a pu arriver.
Au-delà de la juste indignation que nous ressentons tous, peut-être est-il temps de commencer à cerner les véritables objectifs de ce qui est bel et bien une contre-révolution, que dis-je, une guerre menée par les élites contre les peuples. Il ne s’agit de rien moins que de nous ramener à l’époque féodale, dans laquelle les serfs, taillables et corvéables à merci étaient la propriété de leur seigneur.
Dans ce modèle les droits seront supplantés par les devoirs vis-à-vis de la société, et vos rares libertés seront toujours conditionnées à votre obéissance aveugle à l’autorité, et donc à leurs marionnettistes. Et ne nous berçons pas d’illusions, quand on parle de devoirs vis-à-vis de la société, il ne s’agit que revêtir la tyrannie des oripeaux de la solidarité.
Ce modèle, c’est le communisme pour les masses (le servage), et l’ultralibéralisme pour les élites ainsi que leurs meilleurs serviteurs.
Comment a-t-on pu en arriver là?
Je crois que ceci est finalement la question centrale, et je me propose de vous livrer ici une théorie, qui, si elle n’est pas entièrement prouvée, a le mérite de tenir rudement bien la route sous tous les aspects.
En préambule, je rappelle que le vieux rêve des élites financières d’instituer leur pouvoir absolu ne date pas d’hier, c’est juste que les tentatives précédentes ont échoué parce que leurs pions étaient imparfaitement contrôlés. Les hommes de pouvoir, passé un certain point, n’en faisaient qu’à leur tête, et sauf à les faire assassiner, ce qui fait toujours désordre, les projets de domination mondiale des marionnettistes restaient plus ou moins lettre morte.
Ces petits cercles d’élites, principalement basées aux USA et au Royaume-Uni ont donc conçu un système de cooptation des hommes de pouvoir en s’assurant de leur totale soumission. Comment? En usant d’un moyen vieux comme le monde, le chantage. Et si vous voyez Bill Gates comme un des marionnettistes, détrompez-vous, ce n’est qu’un pion à leur service, et il est tenu par le chantage (cfr. affaire Epstein). Pourquoi croyez-vous que la Reine d’Angleterre a pris la décision inouïe de retirer tous ses titres, honneurs et privilèges à son fils favori, Andrew? Tout simplement parce que la révélation du contenu du dossier aurait pu faire tomber la monarchie.
On pourrait continuer avec Justin Trudeau, qui avait pu échapper à des poursuites pour viol sur mineur au moment où il exerçait encore la profession d’enseignant. Tout ceci ne constitue qu’une toute petite partie de ce que je crois être un système mis en place patiemment au fil des années par les marionnettistes. Petit à petit, ils ont placé des pions à eux, des gens sur qui ils ont barre, recrutés via des officines comme le Forum Économique Mondial et les Young Leaders. Leur dépravation n’est pas la conséquence de leur pouvoir, mais bien la condition sine qua non pour y être élevé.
Ainsi vous comprenez l’obéissance aveugle de ces exécutants, qui pour la plupart d’entre eux, ont pris des décisions politiques qui ont causé la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes (cfr. arrêt « Rivotril »). Vous pouvez être bien sûr qu’ils ont agi à contrecoeur, et sous la menace; ceci transparaissait notamment dans certaines interventions d’Emmanuel Macron. Personne avec tous ses boulons n’irait prendre officiellement des décisions ayant pour conséquence la mort d’un certain nombre de citoyens, et pourtant, tous l’ont fait! Enfin, pas tous, certains dirigeants notamment africains n’ont pas suivi, ils ont été assassinés dès le début du coup d’État (Tanzanie, Haïti, Burundi), ou ont échappé de justesse, comme le président malgache à une tentative d’assassinat. Paradoxalement, les deux hommes soupçonnés d’avoir fomenté cet attentat étaient d’anciennes barbouzes françaises.
La mort n’a pas frappé que des présidents rétifs au discours des marionnettistes, elle a aussi fait des ravages parmi des chercheurs ayant travaillé sur le Sars-Cov2 et ceux qui vendaient des remèdes bon marché comme l’hydroxychloroquine. Je ne vais pas faire ici la recension de tous les morts, de toutes les explosions et incendies inexpliqués, pour cela je vous conseille la lecture du livre de Philippe Aimar,
Arrivé à ce point, vous devriez avoir compris que ces pions, accros au pouvoir et tenus par des crimes sordides ne reculeront devant rien, sauf en cas de péril mortel pour leur petite personne.
Comment en sortir?
Eh bien je crois qu’il est important de comprendre que de faire reculer le pouvoir ici où là ne changera strictement rien, les marionnettistes peaufineront leurs plans, et après avoir été virés par la porte, ils reviendront par la cheminée. Les marionnettistes ne sont pas le plus grand péril, ce sont leurs créatures qui représentent un danger : elles sont leurs bras armé et sont en position de pouvoir. Tant que le ver n’aura pas été retiré du fruit, il n’y aura aucune issue durable.
D’un autre côté, on ne peut que constater un certain amateurisme, et aussi une précipitation dans le chef des marionnettistes qui tend à montrer qu’ils savent que leur entreprise est fragile. Pourquoi n’ont-ils pas pris la peine de bétonner correctement leur stratégie? Tout simplement parce qu’ils sont dans l’urgence absolue, l’économie mondiale est au bord de l’effondrement complet.
Il y avait donc urgence à installer un contrôle social fort, puisque le but c’est de faire subir toutes les conséquences de l’effondrement au peuple, tout en gardant fermement sa position de domination absolue.
Un autre élément qui pourrait bien être le grain de sable fatal à leur projet mégalomaniaque est que dans les faits, c’est presque 20% de la population qui ne marche plus, soit qu’ils étaient éveillés de longue date, soit qu’ils commencent à réaliser qu’on les a manipulés. Et si l’on voit assez fréquemment des gens s’éveiller, ceux qui décident de leur propre chef de revenir dans la caverne de Platon sont plus rares que le merle blanc.
Si nous n’étions pas si nombreux, il y a longtemps que nous serions déjà enfermés dans les camps de concentration que nos bons maîtres avaient fait construire à cette fin.
Je ne suis pas optimiste, mais disons qu’on commence à voir des failles un peu partout dans ce projet dystopique, c’est à nous, le peuple, qu’il reviendra de remettre la démocratie sur la bonne voie, et puis d’imaginer une société plus respectueuse des gens, plus économe, aussi, basée sur l’entente et la solidarité, parce que les débuts promettent d’être compliqués, attendu que l’effondrement, lui, est inéluctable. Cela passera probablement par un moratoire sur la dette, toute la dette. Mais me direz-vous, comment financerez-vous les pensions et les services publics? Eh bien déjà, il n’y aura plus de dette, donc plus d’intérêts sur la dette. C’est bien ce modèle qui flanque la jaunisse aux marionnettistes, parce que c’est via la dette que l’on tient les peuples en esclavage.
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