06 février 2022

Fake news : quand les médias (et l’AFP) s’en donnent à cœur joie !

Les duperies des médias de grand chemin paraissent sans limites. Dans un numéro d’hypocrisie digne de rester dans les annales, Patrick Monay, rédacteur en chef adjoint de la Tribune de Genève larmoie sur les accusations de « propagande » adressés aux médias tels que le sien. Se drapant dans une dignité outragée un peu comme une vieille courtisane dont on questionnerait la vertu, le rédacteur se fait grandiloquent : « L’accusation de propagande est une insulte faite aux médias ! » tonne-t-il. Ce serait amusant si ce n’était aussi grave…

Réagissant à une critique au demeurant mesurée d’un parlementaire fédéral, le gratte-papier frôle l’apoplexie avec une mauvaise foi à laquelle ce qu’il reste de sa profession nous a hélas habitués :

Cette analyse est une insulte à notre profession. C’est une injure à la liberté de la presse, une gifle à la Suisse que ce politicien prétend défendre. C’est aussi et surtout du mépris envers le travail abattu jour après jour par les rédactions des quatre coins du pays.

Nous n’avons eu de cesse d’interroger les décideurs et les experts qui les conseillent. Nous avons examiné le bien-fondé des mesures sanitaires, nous sommes allés voir leur impact sur le terrain et avons tenté d’en mesurer les effets réels. Nous avons décortiqué les courbes, les chiffres, les scénarios les plus divers. Nous avons recueilli les témoignages de malades, de soignants, de militants antivax…

Je venais d’adresser à son rédacteur en chef et quelques autres la méta-analyse récemment publiée par le prestigieux Institut Johns Hopkins, référence en matière d’analyse sanitaire aux États-Unis. Laquelle concluait, évidemment :

« Si (…) les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »

J’ai donc demandé aux rédacteurs de différents canards quand et comment ils comptaient informer (enfin!) la population de ce constat. En substance :

J’écris « évidemment » au sujet de l’inefficacité des mesures de contrainte parce que nous le savions de longue date, qu’à peu près deux cents études l’ont confirmé depuis deux ans (dont celle produite en janvier 2021 par la meilleure équipe d’épidémiologistes au monde, celle des Pr Ioannidis et Bhattacharya à Stanford) et que des « séditieux » accessoirement compétents comme ma modeste personne n’ont cessé, clamans in deserto, d’essayer de le faire savoir pendant que ceux dont c’est le métier d’informer honnêtement la population faisaient la sourde oreille.

D’où la question que je me permets de vous adresser de manière directe : quand et comment allez-vous en informer vos lecteurs ? Ou allez-vous convoquer Samia Hurst ou Didier Pittet ou quelque autre lampiste de la « Task Force » pour continuer à prétendre envers toute évidence le contraire ?

Vous rendez-vous seulement compte que ce dogme imbécile, auquel vous avez donné une caisse de résonance inconditionnelle, a détruit des dizaines de milliers de vies sans le moindre bénéfice ?!

Pour le reste, l’effondrement du narratif que vous avez défendu contre toute science depuis deux ans devrait commencer à vous faire réfléchir. Je joins également l’interview du Dr Laurent Toubiana, directeur de l’IRSAN (un vrai épidémiologiste sans conflits d’intérêts) sur CNews pour que vous puissiez mesurer l’étendue de la désinformation à laquelle vous avez participé : http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/176-30-janv.-2022-Cnews-les-point-sur-les-i-Rioufol

La faillite de surcroît de la stratégie basée sur un faux-vaccin (ce que le Pr Delfraissy vient de reconnaître en France), inefficace et dangereux, et que vous avez couverte de manière totalitaire (étouffant tout débat notamment scientifique) comme « unique solution possible à la crise » fera tôt ou tard boomerang.

Rendez-vous compte : cette expérimentation génique qui n’immunise pas et ne ralentit aucunement l’épidémie (caractéristiques à ce que l’on sache des vrais vaccins) protège au mieux des formes graves (et encore, pour trois à quatre mois avec une déficience immunitaire durable ensuite semble-t-il). Quel est le sens d’injecter les 80% de la population qui ne sont pas à risque de faire des formes graves, les enfants et les jeunes en particulier, avec les risques réels que cela comporte ?

On vous demandera des comptes de votre agglutinement à la publicité mensongère des Pharmas (toutes les études Pfizer ont été falsifiées comme l’a souligné le British Medical Journal) et des politiques publiques qu’elles instrumentalisent -comme le constat en a lui aussi été posé de longue date. Si vous m’aviez lu, vous le sauriez.

Vous deviez informer la population, vous n’aurez été que les propagandistes dogmatiques d’industries crapuleuses. Il faudra affronter tôt ou tard le constat vertigineux de cette trahison – ou bien sûr garder la tête dans le sable.

Vous souhaitant bonne réception de ces éléments, je vous adresse mes meilleures salutations,

Jean-Dominique Michel

La Tribune de Genève, contrairement à ce qu’en proteste M.  Monay n’a rien fait d’autre qu’un travail systématique et profondément malhonnête de désinformation, comme j’en ai donné de nombreux exemples dans une présentation faite au Conseil scientifique indépendant sur le thème « Éthique, manipulation et propagande ».

Avant de jouer au donneur de leçons et au paragon de vertu, Patrick Monay ferait mieux d’inviter sa rédaction à  se regarder dans le miroir et avoir la décence de présenter leurs excuses à la population genevoise, comme certain quotidien danois a eu le courage tardif de le faire. Les retours de manivelle seront inévitables face à tant de malhonnêteté, et autant prendre les devants.

Le 7 janvier, un des plus forts tirages de la presse danoise, Ekstrabladet a présenté des excuses à son lectorat: nous avons «absorbés de façon presque hypnotique» par le discours officiel sur le Covid, a avoué la rédaction. Le quotidien tabloïd reconnaît avoir manqué de vigilance et d’esprit critique.

Dans leur inlassable travail de résistance intellectuelle et scientifique, les Dr Nicole et Gérard Delépine ne cessent de publier dans l’indifférence médiatique la plus totale des analyses de données pertinentes. Par exemple sur l’inutilité complète (y compris pour « éviter les formes graves » selon les dernières données israéliennes) de l’expérimentation génique présentée abusivement comme un vaccin. Dans un texte factuel et documenté, comme il convient, que je re-publie avec son aimable autorisation, le Dr Gérard Delépine montre ici comment l’AFP produit des « fake news » à la pelle tout en prétendant lutter contre les « fake news ». Comme le vertueux M. Monay et l’ensemble de la presse subventionnée.

Au moins le peuple suisse aura-t-il l’occasion de se prononcer sur le soutien étatique à la presse. A priori, c’est mal barré pour icelle mais on voit mal comment le regretter : subventionner une presse (soyons poli) de connivence, qui ne respecte plus rien de ses devoirs éthiques et déontologiques (charte de Münich) est-il de la moindre manière défendable? Avec ses dénis outrés à la mesure de sa dérive, la profession aura creusé sa propre tombe. C’est bien bête, mais ma foi…

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L‘AFP, c’est 8 Fake news en une seule dépêche[1] contre le Pr Perronne

Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews ».

Actuellement l’AFP, financée largement par l’état met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » à disposition !

Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins! L’AFP ment en le prétendant

Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d‘un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament ». L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France, ne sont plus au stade expérimental »

Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques mais ne montre aucun fait probant.

Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

Par définition tant que l’essai phase 3 n’est pas terminé le médicament est expérimental. D’ailleurs l’autorisation de mise sur le marché qui lui a été accordée est conditionnelle rappelant qu’elle n’est que provisoire en attendant la fin des essais.

Mais peut-être que les « fact checkers »de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie.   Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales « il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95% (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50%) car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant les plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque d’un point de vue sociétal de se révéler plus dangereux qu’utile car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés aux comportements à risques; cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site[2] : « Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/sida). »

Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi[3].

Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

Mais l’AFP fait semblant de d’ignorer ces informations indiscutables.

5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles) mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

Surtout les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

6°) Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’état et permettent une appréciation plus objective.

Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1.200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la santé, au 30 janvier 2022, sur les 1.099 cas graves recensés dans le pays, 47 % sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

Grande-Bretagne

Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

25% (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6% (49) une dose, 43% (352) deux doses et 23% (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

7°) Oui, Il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par million de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

8°)  L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu pourtant clairement condamnée lors de ces procès.

Rappelons les faits historiques.

Après la 2ème guerre mondiale les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration[4] [5]. La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg[6] [7].

Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki[8] de l’Association Médicale Mondiale[9] et de la convention d’Oviedo[10] [11]. Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

Article 1 :« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. 

Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort, ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012[12].

D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

En affirmant le contraire l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’état et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

Y-a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’état nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.

[1] « AFP Factuel Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois 27 01 2022 »

[2] https://vaccination-info-service.fr/Generalites-sur-les-vaccinations/Qualite-securite-et-efficacite-des-vaccins/Securite-et-qualite-des-vaccins/Recherche-et-essais-cliniques-sur-les-vaccins

[3] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2015/2015-12-09-16-30-00

[4] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne Vuibert, 2007

[5] https://www.memoiresdeguerre.com/article-proces-des-medecins-nazis-42235659.html

[6]Philippe Amiel, François Vialla Le “code de Nuremberg”, une jurisprudence pénale inaugurale en droit international de la santé https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01248128/document

[7] Amiel P., « “Code de Nuremberg” : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in

Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011, appendice électronique http://descobayesetdeshommes.fr/Docs/NurembergTrad

[8] ttps://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf

[9] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/

[10] http://www.preventionvaccin.org/post/La-convention-d-Oviedo

[11] http://www.espace-ethique-poitoucharentes.org/obj/original_115108-oviedo-original_111432-convention-d-oviedo.pdf

[12] portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo.

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