13 janvier 2022

Depuis quand le Deep State savait-il que l’épidémie allait éclater ?

Dans le tumulte du passe vaccinal, des informations cruciales sur le Deep State passent inaperçues, qui sont pourtant essentielles pour dérouler le fil de la pelote covidienne. Par exemple, les démissions en cascade pour conflits d'intérêts et soupçons d'initiés à la tête de la Réserve Fédérale américaine soulèvent de véritables questions sur les journées qui ont précédé la pandémie proprement dites, au point qu'on peut se demander s'il n'y a pas... anguille sous roche.

Le Deep State, et en particulier le Deep State américain, savait-il “avant” ce qui allait se passer durant la pandémie ?

Il est encore beaucoup trop tôt pour savoir précisément le détail des événements. Mais il est sûr que le “narratif” officiel sur un pangolin mordeur de chinois qui a pris le monde par surprise prend de plus en plus l’eau. 

Les révélations récentes sur les transactions financières secrètes (et juteuses) de quelques dirigeants de la FED avant le début de l’épidémie aux Etats-Unis interrogent sur la conscience que le Deep State américain pouvait avoir sur ce qui se tramait en coulisses. 

Comment le Deep State américain a gagné de l’argent grâce au COVID

Officiellement, c’est le 2 mars 2020 que la Réserve Fédérale a pris la finance mondiale par surprise en baissant brutalement ses taux directeurs de 0,5 point. La mesure était destinée à soutenir l’activité à un moment où le tourbillon covidien se rapprochait de l’Occident. 

Pour mémoire, des mesures d’assouplissement ne seront prises en Europe que le 12 mars

Rétrospectivement, on peut tirer de ce calendrier la conviction intime que, dès le tout début du mois de mars, le Deep State américain anticipait une crise longue et profonde qui se répandrait largement aux Etats-Unis et en Europe. Rappelons que le confinement débute en France le 13 mars. 

Mais, ce qu’on découvre rétrospectivement (en l’espèce par un article du Wall Street Journal de septembre 2021), c’est que des présidents régionaux de la Réserve Fédérale américaine étaient informés encore plus tôt des décisions que le directoire de la Réserve s’apprêtait à prendre pour soutenir l’économie. 

Selon la presse américaine, en effet, Robert Kaplan, président de la FED de Dallas, et Eric Rosengren, président de la FED de Boston, ont boursicoté et fait de juteuses opérations spéculatives dès le début 2020, grâce aux informations dont ils disposaient. 

Ces opérations semblent s’être poursuivies tout au long de 2020 et même avoir eu lieu en 2021. Visiblement, ils anticipaient les décisions de la FED par des placements savamment calculés, et au besoin orientaient les décisions de la FED pour soutenir leurs investissements. 

Quand ces opérations ont-elles commencé ?

La presse américaine affirme que ni Kaplan ni Rosengren n’ont spéculé en mars et en avril 2020, au plus fort de la crise. Les premières transactions d’initiés ont donc eu lieu au moins dès février 2020, mais la discrétion est de mise sur le calendrier exact de ces transactions qui relèvent du délit d’initié. 

On comprend l’intérêt majeur qu’il y a à cacher les détails de tout cela : l’historique de ces transactions éclaire la connaissance que le Deep State américain avait de la situation… et du programme politique qui allait suivre. 

Pour éclairer notre lanterne, une information parue cette semaine apporte d’utiles précisions. Le vice-président de la Réserve Fédérale est passé à des aveux supplémentaires. Ce Richard Clarida avait admis des transactions contestables (pour un montant allant de 1 à 5 millions $ tout de même), en date du 27 février 2020. 

Il vient finalement d’avouer une autre transaction contestable en date du 24 février. 

On progresse et on n’est peut-être pas au bout de ce que l’on va découvrir. 

Ce qu’on apprend peu à peu sur le début de la crise du COVID…

Ceux qui s’en tiennent au fait savent désormais que, dès le 24 février 2020, le Deep State américain se tenait sur ses gardes, et s’attendait à des mesures brutales qui auraient un fort impact sur l’économie américaine, et sans doute mondiale. 

On rappellera ici que, le 23 février, la veille, Agnès Buzyn, qui avait quitté le ministère de la Santé le 16 février, exposait son programme dans le Journal du Dimanche. Voilà qui éclaire d’un jour nouveau les propos de l’ex-ministre de la Santé, tenus un mois plus tard :

« Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »

On a ici tout lieu de penser que le Deep State français comme le Deep State américain savait au moins dès le 15 février (puisqu’Agnès Buzyn a démissionné le 16) qu’un “tsunami” se préparait, et qu’il en tirait déjà les conséquences. 

Tout le problème est de savoir ce que le Deep State savait exactement : s’agissait-il seulement de l’ampleur de la crise sanitaire ? ou bien les scénarios de confinement et d’interruption brutale de l’activité économique étaient-ils déjà prévus ? 

La phrase d’Agnès Buzyn suggère fortement que le confinement était connu plusieurs semaines à l’avance. 

Macron a-t-il mis en scène la surprise ?

On se souvient tous que, le 6 mars 2020, c’est-à-dire quelques jours après la décision “surprise” de la FED et quelques jours avant le confinement, Emmanuel et Brigitte Macron avaient commis une bruyante et tonitruante sortie dans un théâtre parisien.  

Là encore, les éléments de contexte qui apparaissent rétrospectivement éclairent d’un jour nouveau les circonstances de cet événement.

Beaucoup avaient conclu à une irresponsabilité du Président, ce jour-là, alors que le mot d’ordre était déjà de limiter les contacts entre les individus. 

On peut se demander si, ce jour-là, Macron n’a pas simulé l’insouciance devant l’épidémie, alors qu’il savait pertinemment qu’un plan de confinement allait se mettre en place, et qu’une dramatisation à outrance de la maladie se préparait. 

Il n’existe aucun élément objectif et historique indiscutable à l’appui de notre hypothèse, mais nous considérons que, compte tenu des indices qui commencent à se recouper, le Président a surjoué la surprise du confinement alors que le scénario était écrit depuis plusieurs semaines, et qu’il était parfaitement conscient qu’un choc allait intervenir. 

L’intérêt politique de cette mise en scène était de crédibiliser la “déclaration de guerre” qui s’en est suivie, destinée à maquiller un plan préparé minutieusement, un plan dont l’objectif n’était pas de soigner (on se souvient ici des ratés dans la commande de masques FFP2), mais de plonger les populations dans un état de sidération permettant d’accélérer l’adoption de mesures impossibles à imaginer jusque-là (comme le passe vaccinal). 

Comment Trump a résisté à l’opération 

Dans ce puzzle que l’histoire permettra de reconstituer petit à petit (et qui démentira peut-être nos hypothèses, mais l’essentiel est de penser, et d’oser penser, et non d’avoir raison), une vraie question se pose (la seule, peut-être, qui vaille dans ce dossier) sur la nature des relations entre Donald Trump et le Deep State américain. 

On voit en tout cas que, le 24 février 2020, le Deep State avait une conscience au moins globale du coup qui se préparait. Le scénario qui était écrit comportait-il un passage obligé par un confinement immédiat que Donald trump a refusé ?

En tout cas, le 10 mars, c’est-à-dire trois semaines au moins après la décision de “réagir” au virus, Trump attaquait publiquement la FED sur la lenteur de ses réaction

Là encore, rétrospectivement, tout ceci plaide pour l’existence d’un “plan de crise” arrêté avant le mois de mars. Entre les lignes, les affirmations publiques de Trump suggèrent que le bouillonnant Président américain a refusé de s’y plier, et que la Réserve Fédérale a tout fait (selon les suggestions de Trump, en tout cas) pour laisser la crise s’installer. 

Nous avons eu l’occasion d’expliquer comment, selon nous, la crise du COVID a profité aux adversaires de Trump, au point de nous interroger sur l’heureuse conjonction astrale qui a peris à cette crise d’intervenir quelques semaines seulement avant le début de la campagne électorale américaine. 

Il nous semble que, dans le faisceau d’hypothèses plausibles pour expliquer ce qui s’est passé en 2019 puis en 2020, l’une d’elles peut tourner autour de l’idée que la crise du COVID était préparée, qu’il existait en tout cas un plan clair pour réagir de façon mondiale à une épidémie afin d’en tirer un parti rentable en termes politiques, et que Trump a refusé de jouer le jeu. 

Cette hypothèse reste bien entendu à démontrer. Mais, pour l’instant, rien ne permet réellement de la discréditer. 

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