Cette année, la revue “The Economist” [233] a titré : “The World Ahead 2022” et je vais, donc, ricocher sur l’analyse récente, et fort intéressante, de la couverture de cette revue, par David Tellier, des Editions Fractales. [232] Ricocher et en corriger la cible même… sous tous mèmes.
L’impression, à première vue, que confère cette couverture est de l’agressivité – beaucoup d’agressivité. Il s’agit d’une cible avec deux axes, nettement configurés, en laquelle se mêlent des seringues, en forme d’épées, munies d’aiguilles; une fiole de vaccin; un prétendu coronavirus avec ses “spikes” encerclés d’un réseau polyédrique; des satellites pour espionner; des microscopes pour surveiller; des processeurs pour sous-cutaner; une flèche en forme de foudre ou de zig-zag, etc…. sans évoquer les visages de deux grands tortionnaires d’Etat.
Il est clair que, pour l’année 2022, les orchestrateurs de la lobotomisation et de la programmation neuro-linguistique des Peuples – à savoir les orchestrateurs de la fausse pandémie et de l’Holocauste vaccinal – ont surchargé la couverture, de l’Economist, de symboles pointant vers la dictature sanitaire et trans/humaine: des illustrations virtuelles de coronavirus, des microscopes, des seringues (blanches et rouges), une fiole de vaccin (en trois doses), des satellites de télé-communication, des processeurs, des formules chimiques – dont la formule du bicarbonate.
La formule du bicarbonate (HCO3) est illustrée par 3 points rouges, 1 point noir et 1 point blanc. Pourquoi, donc, le bicarbonate? Sans doute, parce qu’il est corrélé à l’équilibre du pH, dans l’organisme humain, et parce que les pathologies générées par le graphène sont des pathologies d’irradiation et d’oxydation.
De plus, il apparait 666 au cœur de la cible. En effet, David, l’auteur de cette analyse, souligne, à juste titre, que:
La présentation des 3 années, au coeur du cercle, est telle que: 2021 + 2022 + 2023 = 6066, à savoir 666 si on enlève le zéro comme valeur nulle… de par le fait que l’addition de 2021 (5) + 2022 (6) + 2023 (7) donne 18 – à savoir trois fois 6.
Alors que David évoque, sans coup férir, “la Bête” au coeur de la cible de la couverture de l’Economist, je vais décliner, et expliciter en fin d’essai, mon interprétation privilégiée de ce 666 – ma vision de Païen Gaïen, si je puis dire.
Le nombre 666 symbolise le Graphène en tant que forme allotropique la plus adulée du Carbone, aujourd’hui. Le Graphène est présent, mais invisible, dans la totalité de cette couverture. Il y est corrélé avec, quasiment, tous les éléments présentés.
Le Graphène se cache dans les fioles de vaccins, donc dans les seringues; le Graphène est au coeur de toutes les technologies de la communication – dont les satellites et les micro-processeurs; le Graphène est présent dans la nouvelle génération de batteries au lithium pour les éoliennes; le Graphène est présent dans les nouvelles technologies fondant les crypto-monnaies; le Graphène est en cours de révolutionner l’optique – dont les microscopes électroniques.
Et, finalement, le Graphène constitue le véritable CoqueVide/19, à savoir un complexe de pathologies d’irradiation.
Voir mon essai “Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” [268]
666, le CoqueVide et la Bête de l’Apocalypse
L’impression, à première vue, que confère cette couverture est de l’agressivité – beaucoup d’agressivité. Il s’agit d’une cible avec deux axes, nettement configurés, en laquelle se mêlent des seringues, en forme d’épées, munies d’aiguilles; une fiole de vaccin; un prétendu coronavirus avec ses “spikes” encerclés d’un réseau polyédrique; des satellites pour espionner; des microscopes pour surveiller; des processeurs pour sous-cutaner; une flèche en forme de foudre ou de zig-zag, etc…. sans évoquer les visages de deux grands tortionnaires d’Etat.
Il est clair que, pour l’année 2022, les orchestrateurs de la lobotomisation et de la programmation neuro-linguistique des Peuples – à savoir les orchestrateurs de la fausse pandémie et de l’Holocauste vaccinal – ont surchargé la couverture, de l’Economist, de symboles pointant vers la dictature sanitaire et trans/humaine: des illustrations virtuelles de coronavirus, des microscopes, des seringues (blanches et rouges), une fiole de vaccin (en trois doses), des satellites de télé-communication, des processeurs, des formules chimiques – dont la formule du bicarbonate.
La formule du bicarbonate (HCO3) est illustrée par 3 points rouges, 1 point noir et 1 point blanc. Pourquoi, donc, le bicarbonate? Sans doute, parce qu’il est corrélé à l’équilibre du pH, dans l’organisme humain, et parce que les pathologies générées par le graphène sont des pathologies d’irradiation et d’oxydation.
De plus, il apparait 666 au cœur de la cible. En effet, David, l’auteur de cette analyse, souligne, à juste titre, que:
La présentation des 3 années, au coeur du cercle, est telle que: 2021 + 2022 + 2023 = 6066, à savoir 666 si on enlève le zéro comme valeur nulle… de par le fait que l’addition de 2021 (5) + 2022 (6) + 2023 (7) donne 18 – à savoir trois fois 6.
Alors que David évoque, sans coup férir, “la Bête” au coeur de la cible de la couverture de l’Economist, je vais décliner, et expliciter en fin d’essai, mon interprétation privilégiée de ce 666 – ma vision de Païen Gaïen, si je puis dire.
Le nombre 666 symbolise le Graphène en tant que forme allotropique la plus adulée du Carbone, aujourd’hui. Le Graphène est présent, mais invisible, dans la totalité de cette couverture. Il y est corrélé avec, quasiment, tous les éléments présentés.
Le Graphène se cache dans les fioles de vaccins, donc dans les seringues; le Graphène est au coeur de toutes les technologies de la communication – dont les satellites et les micro-processeurs; le Graphène est présent dans la nouvelle génération de batteries au lithium pour les éoliennes; le Graphène est présent dans les nouvelles technologies fondant les crypto-monnaies; le Graphène est en cours de révolutionner l’optique – dont les microscopes électroniques.
Et, finalement, le Graphène constitue le véritable CoqueVide/19, à savoir un complexe de pathologies d’irradiation.
Voir mon essai “Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” [268]
666, le CoqueVide et la Bête de l’Apocalypse
Il est notoire que, depuis le début de l’hystérie collective du CoqueVide/19, ce nombre 666 s’est manifesté, déjà, un certain nombre de fois et ce, en corrélation directe avec l’opération psychologique spéciale CoqueVide – au prétexte d’un Sars-CoV-2 inexistant… mais, nonobstant, pandémique.
Le terme “Pandémie” signifie, tout simplement, “le peuple entier”, “tout le peuple”, “l’intégralité du peuple”. Des termes Grecs: “πᾶν, pân” et “δῆμος, dễmos” signifiant “tout” et “peuple”.
Par exemple. Certains Chrétiens intégristes et observateurs, ont souligné que CORONA = 3.15.18.15.14.1 = 66 et lorsque ces chiffres sont mis en colonne avec le 6, des six lettres de ce terme, nous avons, effectivement, 666, de nouveau.
En 2006, la CIA publia un rapport, intitulé “Comment sera le monde en 2020”, selon lequel une “pandémie respiratoire” (de type H5N1) partant de Chine, et s’étendant à toute la planète, met tous les Peuples dans l’impossibilité légale de se déplacer. Ce rapport fut préfacé, aux Editions Laffont [134], par Alexandre Adler qui déclara, en mars 2020, sur le site Public Sénat, que: «le terme “CORONA” apparaît dans ce texte écrit dès 2005. “CORONA est un terme codé qui était utilisé par les épidémiologistes en Amérique pour nommer ce qu’ils considéraient comme la pandémie ultime. De pandémie en pandémie, nous allions avoir une pandémie qui allait véritablement s’étendre à la Terre entière».
A propos de termes codés, “CORONA” désigne, également, le premier programme d’espionnage planétaire US, et ses satellites photographieurs “CORONA” – entre 1960 et 1972. [178] [179]
Par exemple. Certains Chrétiens intégristes, et observateurs, ont souligné qu’il s’écoula, très exactement, 666 jours entre la simulation pandémique Clade X, du 15 mai 2018 – qui fut organisée par l’allié de Bill Gates, le Centre John Hopkins pour la Sécurité Sanitaire [162] – et l’annonce officielle, par l’OMS, de l’entrée de l’Humanité dans une nouvelle pandémie dénommée “Covid/19”, le 11 mars 2020. [142]
Soit dit en passant, le 11 mars 2020 est le neuvième anniversaire de la pandémie de contamination radioactive générée par l’explosion des réacteurs nucléaires de Fukushima – et la disparition subséquente de leurs coeurs d’uranium embrasé dans les entrailles de la Terre.
Par exemple, Bill Gates, et Microsoft, ont déposé une demande pour un brevet [730], dont le n° est US20200097951A1, avec comme intitulé “Cryptocurrency system using body activity data”, le 21 septembre 2018, et pour un second brevet [731], dont le n° est WO 2020/060606, avec comme intitulé “Cryptocurrency system using body activity data”, le 20 juin 2019. L’application pour le premier brevet fut abandonnée. Ainsi que son intitulé l’indique, il s’agit de brevets de type “cyborg” portant sur un système de cryptomonnaie connecté aux données émanant du corps physique de l’utilisateur – que je suppose être un être humain.
Avec un tel intitulé, WO 2020/060606, il n’en fallait pas plus pour que les Chrétiens Intégristes et Traditionnalistes sautent, à pleines jambes de bois, dans le énième traquenard, sous mode “666”, que leur tendaient les Xenosh.
Le traquenard du “666” émerge, parfois, lorsque certains psychopathes ont envie de générer de la distraction – à savoir lorsqu’ils se distraient fortement à semer des zizanies et des distractions… afin d’éviter que quiconque s’enquière de leurs propres traces et origines.
Les brevets de type “cyborg”, sous la houlette de Bill Gates l’eugéniste, ne peuvent que déclencher de fortes alertes chez les résistants… d’autant plus, également, que d’aucuns signalent ce que pourrait vouloir manifester, comme déclarations et intentions sous-jacentes, le mème “COVID/19”, en langue Anglaise – qui est, très manifestement, la langue la plus usitée par les orchestrateurs de la fausse pandémie.
En effet, “COVID/19” pourrait, très symboliquement, signifier “Certificate Of Vaccinal IDentity/AI”. Pourquoi AI? Parce que “AI” signifie, en Anglais, “Artificial Intelligence”…. et à cause de 19 car A est la première lettre de l’alphabet et I la neuvième.
En vérité, sinon, pourquoi le “19” dans Cov? Alors que la fausse pandémie est, résolument, une orchestration en cours d’année 2020… dont la première phase, en Chine, en décembre 2019, passa inaperçue. Auriez-vous une réponse logique et de sens commun?
Pour continuer à surfer sur le mème du 666, en corrélation avec la fausse “pandémie”, c’est en 1666 qu’apparait, pour la première fois, le terme “Pandemic” dans l’ouvrage du médecin Anglais, Gideon Harvey (le père), intitulé “Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions”.
N’est-il pas surprenant, sur le plan des synchronicités pandémiques, que c’est, également, en cette année 1666, qu’apparut, ex judaismo, Sabbatai Zevi, un nouveau Messie qui prenait sa tête de Turc pour une incarnation divine… et qui déclencha une nouvelle pandémie messianique.
Il est à noter, également, que ce terme “Pandemic” a émergé au coeur du Grand Minimum Solaire de Maunder – qui a duré de 1618 à 1715 – d’autant plus que cette décennie de 1660 a vu les froids les plus extrêmes. Pour rappel, durant cette période du dernier très long Grand Minimum Solaire, l’Europe a perdu 60% de sa population. Je renvoie le lectorat vers mon essai “2020-2055: un Nouveau Cycle de Pandémies Planétaires?” [244]
Par conséquent, la mise en exergue de ces nombres – au coeur de la cible de la couverture de l’Economist – n’est, donc, pas sans faire vibrer certains segments de la population car, du moins selon le mythos chrétien, 666 est le nombre attribué à la Bête dans l’Apocalypse du psychotique Jean de Patmos qui fut rédigée vers l’an 95.
D’autant plus que, selon certains chercheurs à l’imagination mieux déployée, les lettres “c, o, v , i et d” mises à l’envers, en écriture Hébraïque, correspondraient au terme “Dybbuk” qui évoquerait la possession, la vampirisation. [889] C’est une hypothèse intéressante car comme le CoqueVide/19 est, en fait, le Graphène (sous toutes ses formes), l’étymologie du terme Graphène que j’évoque ci-dessous n’en que plus éclairante – en terme de Marque… pour ne pas dire de “TradeMark”, à savoir en termes de “Marque déposée de possession”.
666, le Carbone et le Graphène
Il existe une autre interprétation, beaucoup plus sensée, du nombre 666. En effet, 666 est, véritablement, le nombre du Carbone: 6 électrons, 6 protons et 6 neutrons – dans la table périodique des éléments.
Le Carbone est, fondamentalement, la base structurante de la Vie et le dioxyde de carbone serait l’antique “Prana” des anciens au coeur de l’Atmosphère vivante – à savoir, au coeur de la sphère de l’Atmos.
Et quel serait donc le rapport entre le CoqueVide, le Carbone – sous forme de 666 – et les vaccins… au coeur de la cible de la couverture 2022 de l’Economist?
C’est très simple. Premièrement, le Graphène est l’allotrope, par excellence, du Carbone pour toutes les technologies présentes… et surtout à venir. Le graphène est considéré comme LA substance miraculeuse.
Secondement, le graphène est représenté, symboliquement, le plus souvent, par trois hexagrammes, à savoir par 3 fois 6, par 666.
Pourquoi trois hexagones, et pas cinq, d’ailleurs, pour le graphène? Serait-ce une déclaration de guerre aux Peuples de la Terre? Et à la Mère?
Nonobstant, ce mème du 666 n’est que partiellement adapté au graphène d’un point de vue de la forme car trois hexagrammes fusionnés ne présentent que 13 faces… et non point 18. Par contre, du point de vue du fond, le graphène est, indubitablement, un représentant du 666 dans la table périodique des éléments – car il s’agit d’une forme de carbone.
Pourquoi trois hexagones? L’invention de ce matériau synthétique, en 2004, à base de carbone, ne serait-elle pas une attaque directe, de simulation, à l’encontre de la Mère – et de sa création? Ne serait-elle pas un acte de guerre graphénisante… car, aujourd’hui, on retrouve le graphène dans: les injections, les sérums, les masques faciaux, les tests PCR, les vaccins nasaux, les aliments, les vecteurs de médication, les cosmétiques, l’épuration des eaux, etc, etc
Le graphène est un matériau bidimensionnel, constitué d’atomes de carbone arrangés en hexagones – sur un seul plan à savoir avec une épaisseur d’un dixième de nanomètre – qui a été isolé et produit synthétiquement, en 2004, à partir du graphite tridimensionnel.
Son épaisseur est d’un dixième de nanomètre – à savoir, d’un dixième de millionième de millimètre.
Cela ne s’invente pas. Le terme “graphène” est dérivé du terme “graphite” et du Grec ancien “γράφω/graphô” – qui serait dérivé du PIE “gerbʰ” signifiant “égratigner”. Quant au Grec “graphô”, il signifie égratigner mais, aussi, tracer des signes ou des lignes pour écrire, peindre, graver, inscrire ou bien, encore, attaquer ou assigner en justice. L’oxyde de graphène constitue la marque synthétique de la Marque – par l’antenne magnétisante.
Ce n’est pas la Bête, la Mère Animale Planétaire, qui “marque” les animaux humains – car tous lui sont connectés par l’Etincelle de Vie… qu’ils en soient conscients ou non. Ce sont les Xenosh qui veulent “marquer” les animaux humains, les Peuples de la Terre, d’une antenne de graphène qui en fera d’eux des cyborgs connectés au réseau informatique. N’est-ce pas ce qu’a annoncé le dément bio-terroriste, et Transhumaniste, Klaus Schwab?… qui prend ses rêves, et nos cauchemars, pour des réalités: «Ce à quoi la quatrième révolution industrielle va conduire, c’est à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique». [224]
En Marque, En Marque… vers la Grande Hommelette Finale! [266]
666 et la Mère Animale Planétaire
“Apocalypse” signifie “Révélation” et, dans le sens antique Grec, cela signifie “DéMasquage”, ou “DéVoilement” – “ἀποκάλυψις”/“apokálupsis”. Le terme “kalúptō” vient du Proto Indo Européen “kel”, signifiant “couvrir”… et qui a donné aussi les termes occultes, cleptomanie, hell, etc.
Si 666, dans l’Apocalypse, représente le Carbone, que représentent, donc, les autres chiffres cités dans les divagations de Jean de Patmos? Dans la table des éléments périodiques, 7 est l’azote; 12 est le magnésium et ne peut-on par imaginer que 18 (1+8) représente l’hydrogène et l’oxygène.
A savoir, C+H+O+N+Mg. Ce qui nous convie aux orgies permanentes, au coeur de la Biosphère, de la photosynthèse et du processus de production de chlorophylle – C55H72O5N4Mg.
D’un point de vue magique, et de la révélation en tant que lever de voile, le nombre de la Bête est bien 666 – mais dans le sens de 3 fois 6, dans le sens de 18. C’est, néanmoins, un tout autre sujet qui dépasse le cadre, très restreint, de ce présent essai. Les très passionnés, par ce sujet, sont invités à partir en quête au coeur de l’aventure du Tantra Planétaire – et du Nexus des Shaktis. [267]
Les Chrétiens intégristes n’ont pas encore compris que “666” (dans le sens de 3 fois 6) n’est pas le nombre de Satan, l’une de leurs inventions fantasmagoriques, mais bien celui de la Bête – à savoir de la Mère Animale Planétaire. D’ailleurs, les globalistes qui jonglent avec ce nombre 666, pour exciter/effrayer les bigots Chrétiens, ne savent pas qu’il jouent un jeu dangereux avec le Feu Planétaire.
Lorsque les Banksters, donc, annoncent par la bouche d’un de leur laquais, le petit PharMacron, que «la Bête de l’évènement est là, elle arrive…» [739], peut-être ne croient-ils pas si bien dire?
En effet, la “Bête” de l’Apocalypse, ne serait-ce pas Gaïa dans toute sa splendeur de Mère Animale Planétaire. L’Apocalypse, ne serait-ce pas la Correction de Gaïa-Sophia en cours d’émergence orgasmique? Et qui chevauche, donc, la “Bête”?
La Bête, la Mère Animale Planétaire, ne serait-elle pas en cours de démasquage correctif de toutes les déviations mortifères Sionistes, et Néo-Sionistes, de la Vie – sous toutes guises de Masques et de Mascarades?
D’ailleurs, n’est ce pas une forme d’Apocalypse que l’on peut noter dans les dernières scènes du film de Cameron, Avatar – à savoir une manifestation, une Révélation de la Mère, Eywa, par l’entremise de ses animaux de pouvoir… afin d’annihiler les psychopathes? [740]
Malgré que j’ai traduit l’équivalent d’une bonne quinzaine de gros ouvrages de l’oeuvre de l’érudit (et Nagual) John Lash, je n’ai pas eu le temps de traduire ses deux cycles d’audios sur le cooptage/piratage des Divagations du dément Jean de Patmos. J’ai néanmoins traduit l’un de ses essais, eu égard à cette problématique, qui est intitulé “Sabotage Gnostique en cours: le Retour de l’Innocence” [666].
John Lash, en effet, a émis l’hypothèse selon laquelle des Initiés antiques – très experts en psychologie humaine – de passage à Patmos, auraient complètement orienté les interprétations, par Jean de Patmos lui-même, des hallucinations dont il souffrait en permanence. Etait-ce de par l’abus de substances enthéogéniques par lesquelles son psychisme, déjà très fragile, ne pouvait pas se laisser accompagner?
Il est d’ailleurs intéressant de souligner que 666 est factorisé dans le nombre 4320 à cause du cube de 6 – à savoir 6X6X6 = 216, la moitié de 432. 4320 millions d’années, dans la cosmogonie Hindoue, représente un jour de Brahma – et nous ne sommes pas loin du nombre, officiel, de millions d’années attribuées à l’âge de la Terre. Si l’on raisonne en miles, et non pas en kilomètres, le diamètre de la lune est de 2160 miles – la moitié de 4320. Si l’on raisonne en miles, de nouveau, la vélocité de la Terre, autour du Soleil, est de 66 600 miles à l’heure.
De plus, 66 600 miles = 108 000 km, 108 étant le quart de 432 – et un nombre dit “sacré” dans des mythos et traditions asiatiques.
Au coeur de la couverture de l’Economiste, le nombre 666 symbolise le Graphène en tant que forme allotropique la plus adulée du Carbone, aujourd’hui
Le nombre 666 symbolise le Graphène en tant que forme allotropique la plus adulée du Carbone, aujourd’hui. En effet, dans cette couverture, le graphène est omniprésent. Il est caché au coeur des fioles et, donc, des seringues de vaccins CoqueVide – sous forme d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, de points quantiques de graphène, de nano-sphères de graphène, etc.
Il est clair que les Pandémistes vaccinalistes, et autres Covidistes de toutes purulences idéologiques, ont placé, plus particulièrement, la fausse pandémie coronavirale sous le haut patronnage du graphène. Le graphène, sous de multiples formes – mais surtout d’oxyde de graphène – est, en effet, présent comme contaminant, et toxique, dans les injections CoqueVide, dans les injections anti-grippales, dans les masques faciaux, dans les tests PCR… et, bien sûr, dans tous les transistors et autres bio-senseurs… aux prétextes médicaux.
De plus, le graphène constitue le matériau qui va révolutionner l’énergie éolienne. Ainsi, par exemple, le 10 janvier 2022, un article a été publié, par l’université de Wollongong, en Australie, intitulé “UOW graphene discovery to fast-track the new energy revolution”. Il s’agit de la découverte d’une nouvelle forme de graphène [260] [261] dénommée en anglais “Edge Functionalised Graphene”, à savoir “Graphène fonctionnalisé par le bord”. Cette forme de graphène va révolutionner les batteries au lithium car elle est, extrêmement, conductible – et aisément processable.
Le graphène constitue, également, le matériau qui va révolutionner les crypto-monnaies – de par les blockchain au graphène.
«La blockchain Graphene est une architecture de blockchain révolutionnaire qui utilise la technologie sharding et le protocole de consensus CASPER pour traiter plus de 10 000 transactions par seconde. L’architecture a été construite en utilisant le « Go », un langage informatique récent. Grâce à sa capacité à prendre en charge l’exécution très performante de contrats intelligents complets de Turing, Graphene peut permettre la mise en place d’un plus grand nombre d’applications décentralisées (dApps), de stratégies commerciales et la création de shards personnalisables qui sont optimisés pour différents cas d’utilisation tout en permettant une connectivité totale entre les shards. Les possibilités d’application du graphène sont infinies… Aucune autre blockchain n’est en mesure de rivaliser avec Graphene en termes de capacité de traitement des transactions.» [263]
À l’heure actuelle, Graphene est capable d’effectuer plus de 3 000 transactions par seconde, contre environ 25 pour l’Ethereum. Cela signifie environ 190 000 transactions par minute. Et ce n’est pas dans le futur, c’est maintenant ! [264]
Le graphène va révolutionner les télécommunications – dont les satellites et les micro-processeurs – car il constitue le matériau idéal sur le plan thermique, conducteur et électrique… tout autant que de la dureté.
Je renvoie les lecteurs à tous articles, traduits en Français, de Mik Andersen, présentés dans trois dossiers, sur Xochipelli. fr, dénommés Traductions Françaises du “Blog C0r0n@ 2 Inspect”.
Je souhaite préciser, également, que le graphène va être incorporé aux bétons de construction soit disant pour les fortifier mais en fait pour imprégner de graphène l’intégralité des éléments des villes à venir afin d’en faire des “smart cities” – des “villes intelligentes”… ce qui est une expression absurde. L’incorporation universelle de graphène dans les bétons permettrait, sans doute aussi, de faciliter la pénétration, en tout volume d’habitat humain, des ondes afférentes aux bandes de fréquence de la 5G.
De même, le graphène va révolutionner le monde de l’optique, des microscopes, etc. [262] J’en profite pour souligner que microscope signifie surveillance, analyse de sang, etc. Et sur cette couverture, les microscopes prennent beaucoup d’importance. Ces microscopes pourraient laisser entendre que la Science (tous aux abris!) – à savoir la fausse science des pasteuriens, des virologistes et autres néo-darwinistes – est là, omni-veillante et omni-présente pour protéger les Peuples… alors qu’elle est, bien plus souvent, très mal-veillante.
Cependant, avec un peu d’imagination, le microscope (ou toute autre technique proche) symbolise, également, le système universel de surveillance que le Forum Economique Mondial – le petit gang Transhumaniste animé par le dément Klaus Schwab – vient de présenter, en octobre 2021, dans une vidéo portant sur ce qu’ils ont dénommé un “Passeport Covid”. [136]
*
Le Forum Economique Mondial, qui s’est auto-proclamé en contrôle du Tikun Olam mondial – sur mode transhumaniste/cyborg au parfum de graphène – prend, manifestement, ses rêves pour des réalités. Le Forum Economique Mondial – the World Economic Forum – a, pour acronyme, WEF qui donne FEW, à l’envers. Et c’est bien cela leur programme: une dépopulation débridée.
Selon la vidéo du Santa Klaus des Transhumanistes: «Les utilisateurs auront leur sang analysé, par un laboratoire CovidPass agréé, avant de recevoir un QR code sécurisé de visa sanitaire par le biais de leur téléphone qu’ils pourront présenter dans les aéroports, aux frontières ou à des événements publics.» La vidéo continue son bla bla en affirmant qu’il n’existe aucune technologie de traçabilité, dans ce passeport, et que son usage ne sert qu’à exclure toute personne infectieuse de certains types d’activités… qui auront été déterminés par les psychopathes au pouvoir.
C’est, ainsi, clairement un aveu, de la part de ces criminels déments, qu’ils possèdent un moyen de vérifier le statut vaccinal de toute personne par une simple analyse de sang
Puisqu’ils savent que le coronavirus n’existe pas, il leur suffit, en effet, de s’assurer de la présence de graphène dans le sang de l’analysé. Pas de graphène, pas de QR code et, donc, plus de vie sociale.
En tant que substance miraculeuse, le graphène est considéré comme cent fois plus rapide que le silicium: il va, ainsi, remplacer ce dernier comme matériau de base de la réalité virtuelle, des technologies de l’information (qui sont censurantes, le plus souvent) et de l’intelligence dite “artificielle” – car il n’existe aucune intelligence authentique dans l’intelligence artificielle, juste une prétention.
En fait, et en vérité, l’Intelligence Artificielle – en abrégé IA – devrait être dénommée, adéquatement, “l’Intelligence Archontique”. [1055] Le graphène va, ainsi, se transformer en vecteur du Grand Jeu Archontique – dont l’objectif fondamental est de vider la planète de sa présence humaine par l’intermédiaire de ses proxies, les Xenosh et leurs complices.
Pour conclure sur les éléments composant cette couverture de l’Economist, les spikes du coronavirus ne constituent qu’une invention virtuelle… car le Sars-CoV-2 n’existe pas. La véritable Spike, c’est la Spike de Graphène, c’est la couronne nécro-moléculaire de Graphène issue de la fusion, de type cyborg, entre le biologique et le nano-métallique – et source de multiples décès et pathologies.
Je renvoie les lecteurs vers mon essai intitulé “La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène”. [265]
Au lieu d’évoquer une Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène, j’aurais pu, tout aussi bien, diverger le mème de la Couronne bio-moléculaire d’oxyde de graphène – extrêmement bien décrite par de très nombreuses publications scientifiques, depuis une douzaine d’années – en Spike Moléculaire d’Oxyde de Graphène… à savoir, en SMOG.
Qu’il s’agisse de nano-particules de graphène, d’argent, de cobalt, de titane, de bore, etc, la couronne nécro-moléculaire est, résolument, une couronne de spikes, de spicules, de pointes, de lames de rasoirs qui déchiquettent les cellules sanguines, les cellules neuronales… et qui s’y greffent – lorsqu’elles survivent
La Spike Moléculaire d’Oxyde de Graphène génère un SMOG dans le cerveau humain. Le graphène brouille la donne, intrinsèquement; il brouille ce qui a été donné à chaque animal humain depuis l’Aube des Temps; il brouille, ainsi, les données fondamentales – tant sur le plan de l’information que sur le plan de la génétique. La Spike Moléculaire d’Oxyde de Graphène est un vecteur de contamination, de parasitage, de vampirisation, vers la métamorphose – la Grande Réinitialisation – du corps organique en corps organico-métallique… tout en sachant que le graphène est un composé à demi-métallique et à demi-minéral. Le graphène constitue, ainsi, une chimère à bien des égards.
Et pour ne pas oublier les portraits de deux psychopathes avérés, les présidents Bolchéviques des USA et de la Chine, il est extrêmement clair que le graphène va, également, se situer au coeur d’une bataille commerciale et monopolistique. En effet, au jour d’aujourd’hui, c’est la Chine qui, quasiment exclusivement, contrôle le marché du graphène – et ce, depuis une bonne dizaine d’années.
En effet, ce n’est que récemment que James Tour – l’un des 5 chimistes, et nano-technologistes, les plus réputés de la planète qui possède plus de 600 brevets et qui, de plus, est Yahvéiste et totalement anti-néo-darwiniste – a mis au point, à l’université de Rice, au Texas, une méthode révolutionnaire, et peu coûteuse, permettant, instantanément, de métamorphoser n’importe quelle bio-masse, à base de carbone, en graphène. [271]
En conclusion bréve, l’objectif des Globalistes déments et eugénistes, en plaçant 666, au coeur de leur couverture Economist 2022, est avant tout de placer le graphène au coeur d’une révolution technologique – et, bien évidemment, au coeur du génocide vaccinal au parfum de CoqueVide.
Si tant est que ces Globalistes aient factorisé le mème de la Bête de l’Apocalypse, dans ce 666, c’est en passant, pour prendre un peu de plaisir à se moquer des chrétiens intégristes.
C’est, résolument, le Graphène qui siège, caché, dans les fibres idéologiques de la trame de la couverture 2022 de l’Economist.
Mais, en vérité, il ne s’agit que de menaces provenant des mêmes – à savoir du gang criminel de Klaus Schwab et du Forum Economique Mondial. Quelles menaces? Celles des crypto-monnaies obligatoires d’Etat; celles des vaccinations toxiques modifiant l’ADN de l’organisme humain; celles de la surveillance généralisée au travers des satellites; celles de l’esclavagisme au travers de l’intégration de micro-processeurs; celles des pseudo-énergies renouvelables qui sont des gouffres d’énergie et qui ne fonctionnent pas en cas d’extrêmes climatiques – de plus en plus communs… de par l’émergence d’un Grand Minimum Solaire.
Avez-vous vu l’une des dernières éruptions magnificentes du volcan Geldingadalur le 15 mai 2021? [108] Les grandes quantités de soufre expulsées, dans l’Atmosphère, de par la très intense activité volcanique de ces derniers temps, le sont-elles pour, épigénétiquement, modifier le psychisme des Peuples afin de faire face à la menace ultime du Virus très visible?
Quel virus? L’unique virus pathogène actif sur la planète Terre: le Virus Archontique. Et il est fort possible que les Xenosh, et leurs complices, aient mis le grappin sur un nano-matériau, mi-métallique, mi-minéral, le Graphène, dont tous les attributs en font le véhicule parfait, et optimal, de la démence Archontique – une démence terminale et létale.
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