Un mois plus tard pourtant, il publiait une conclusion absolument contraire à la première. Pourquoi, pour qui, avec quelles conséquences pour les malades ?
Attention, cet article nous éclaire sur ce que l’avenir nous réserve inexorablement si le monde libre ne se rebelle pas avec la dernière vigueur contre la manière dont nous ne sommes ni gouvernés, encore moins protégés, par nos élites : il faut se rebeller de toutes nos forces, bonne lecture.
« Hill et ses partisans sont parmi les pires personnes de l’histoire de l’humanité. Ils sont responsables de la mort de millions de personnes. »
Dr Paul Kory, Front Line COVID-19 Critical Care Alliance
Introduction
Fin 2020. En tant que chercheur invité principal en pharmacologie à l’Université de Liverpool (senior visiting Research Fellow in Pharmacology at Liverpool University) et conseiller pour la Fondation Bill et Melinda Gates, Hill fut chargé par l’OMS d’une mission d’évaluation très attendue sur la pertinence éventuelle de l’ivermectine en traitement de la Covid. Ces conclusions initiales seront dithyrambiques pour la molécule avant qu’inexplicablement tout ne change. L’ensemble est relaté dans un ouvrage qui a fait sensation outre-Atlantique (1), signé par l’avocat Robert Kennedy, et dont nous citons quelques passages cruciaux ici, tirés des pages 137 à 143.
Des faits, rien que des faits
Dans un premier temps, les premiers résultats publiés par Hill et al. allègueront d’une possible diminution de mortalité sous ivermectine égale à 75% bien que quelques données douteuses aient pu s’inviter dans le pool d’études retenues pour cette méta-analyse. (2)
Ces conclusions seront encore défendues par l’auteur le 6 Janvier 2021 devant la commission du NIH COVID-19 Treatment Guidlelines Panel. On attendait de lui qu’il publie pour le mois de mars 2021 son rapport à l’OMS afin que le monde puisse se diriger rapidement vers la fin de cette crise sanitaire aussi atypique (3). Puis en peu de semaines, Hill change de registre, hésite puis se dédit : Non, l’ivermectine ne peut être considérée comme une thérapeutique fiable de la Covid au stade actuel de nos connaissances, de plus amples études nécessitent d’être menées à l’avenir.
C’en est trop pour le Dr Tess Lawrie (photo), médecin et entre autre fondatrice de l’Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) basée à Bath, au Royaume-Uni (4)(5) qui décide de pousser Hill à justifier sa volte-face.
L’accablant aveu (enregistré) de A. Hill par T. Lawrie
Quelques jours avant le dépôt des conclusions entièrement remaniées de Hill, Tess Lawrie se paye le luxe de l’appeler en visioconférence Zoom et d’enregistrer celle-ci (6), ayant largement subodoré que les atermoiements subits de son collègue ne présageaient rien de bon.
Spontanément Hill confirme qu’il a saboté ou laissé saboter la conclusion de sa méta-analyse afin de “gagner six semaines”, après quoi il aurait été prêt à soutenir son utilisation.
Hill se livre alors spontanément à un calcul d’une froideur inouïe :
Il part du postulat que le taux de mortalité par Covid à cette époque étant de 15 000 personnes par jour il reconnaît donc qu’avec un taux de guérison de 80 % induit par l’ivermectine, si l’on avait traité tous ces malades pendant cette période on aurait pu sauver plus de 500.000 vies.
La discussion roule ensuite autour des employeurs réels de Hill :
- Lawrie : « Je souhaite vraiment, vraiment, et vous m’avez expliqué très clairement, à la fois dans ce que vous avez dit et dans votre langage corporel, que vous n’êtes pas entièrement à l’aise avec vos conclusions, et que vous êtes dans une position délicate en raison de l’influence que les gens exercent sur vous, et notamment les personnes qui vous ont payé et qui ont essentiellement écrit cette conclusion pour vous« .
- Hill : « Vous devez comprendre que je suis dans une position difficile. J’essaie de trouver un juste milieu et c’est extrêmement difficile ».
- Lawrie : « Oui. Un terrain d’entente. Le juste milieu n’est pas un juste milieu… Vous avez pris une position extrême en appelant à de nouvelles études et cela va tuer des gens. Donc cela va sortir, et vous serez coupable ».
Puis, pressé par Lawrie il avoue le plus incroyable, à savoir qu’il a effectivement caché l’existence d’un auteur supplémentaire qu’il n’a pas cité dans son article, imposé par un de ses employeurs habituels, à savoir UNITAID.
UNITAID, mode d’emploi
Que vient faire UNITAID dans ce consternant thriller scientifico-maffieux (7)? Initialement créé en 2006 à l’initiative des présidents Chirac (France) et Lula (Brésil), cette organisation internationale a vu le jour dans le but de proposer des médicaments anti-tuberculeux, anti-SIDA et antipalustres à tarifs ultra-réduits aux pays en voie de développement. Le financement intégral devait être levé par une taxe apposée sur les billets d’avions mais d’après R. Kennedy la fondation Bill et Mélinda Gates (BMF) y a largement pris la main dans le but d’orienter les dépenses de l’institution vers certaines multinationales pharmaceutiques (8).
UNITAID se pique évidemment d’aider le monde émergeant à gérer la crise de la Covid (9) en se félicitant par exemple que Merck et UNITAID aient pu trouver un terrain d’entente pour diffuser dans le monde entier des traitements comme le Molnupiravir (10) bien que celui-ci non seulement n’ait jamais fait la preuve de son efficacité mais ait démontré de plus toute l’étendue de sa toxicité (11).
A noter d’ailleurs que hasard ou conséquence, quelques jours après la rédaction de notre article sur les qualités thérapeutiques lamentables du Molnupiravir la HAS Française refusait la mise sur le marché du produit sur son sol (12). Un peu tard pour les finances nationales car la France venait inopportunément d’en commander 50.000 doses à 700$ l’unité (13), dans un silence médiatique absolu.
Il n’est pas difficile d’imaginer que la BMF représente l’autorité prépondérante à UNITAID comme elle l’est de manière à peine dissimulée au niveau de l’OMS (14), encore faudrait-il que cette fondation ait barre sur sa directrice générale…
Celle-ci n’est autre que Madame Marisol Touraine depuis 2019, ancienne Ministre de la Santé Française de 2012 à 2017, auparavant extrêmement liée aux multinationales du médicament et du groupe GSK en particulier à travers son appartenance au « Club Avenir de la Santé » et très probablement aussi au « Club Hippocrate » bien que les noms de certains membres gênants aient été nettoyés des fichiers Wikipedia par les ordinateurs du Sénat. (15)
Compte tenu de l’existence avouée par Hill d’un auteur caché on peut comprendre que celui-ci ne soit autre que cette épidémiologiste française de l’INSERM, farouche opposante à l’usage de l’ivermectine et opportunément appelée à la rescousse par Marisol Touraine car celles-ci se connaissent évidemment de longue date :
Pourquoi et comment Hill a-t-il accepté de se laisser corrompre ? Evidemment pour l’argent, worldtribune.com nous apprend ainsi que pas moins de 40M$ ont été transférés des comptes de UNITAID vers sa faculté d’origine, l’Université de Liverpool, quelques jours avant la sortie de la publication de son étude caviardée.
L’ivermectine en trois illustrations définitives
1- Oublions Hill quelques secondes et visualisons un premier histogramme qui se passe de commentaire quant au niveau de preuve écrasant constitué par l’apport thérapeutique de ce produit dès lors qu’il est administré à dose correcte et de manière suffisamment précoce dans l’évolution de la maladie Covid (16).
2- Quittons l’Europe et réalisons l’incroyable déséquilibre nord-sud qui règne autour de l’appréhension de la problématique Covid et de l’utilisation planétaire de l’ivermectine:
3- Poursuivons enfin par les courbes juxtaposées de l’évolution des contaminations par Covid dans huit pays absolument pas sélectionnés au hasard, à la charge du lecteur de retrouver les trois qui utilisent pas ou peu l’hyper-vaccination mais l’ivermectine de manière régulière voire systématique, attention il n’y a pas de piège…
De la nécessité absolue de devenir très complotiste à l’avenir
La liste des anomalies grossières qui a émaillé la crise de la Covid depuis deux ans ne laisse plus aucune place au doute, on ne peut plus imaginer une simple incompétence généralisée de l’ensemble des dirigeants occidentaux pour expliquer cette gestion sanitaire absolument catastrophique :
Toutes les mauvaises décisions ont été prises, tous les médicaments efficaces sont systématiquement rejetés, tous les produits toxiques et inefficaces sont privilégiés, toutes les mesures coercitives les plus liberticides et inutiles sont votées, toutes les atteintes au droit à l’information contradictoire sont écrasées. Nous vivons donc bien dans un nouvel état de dictature sanitaire dont les buts ne sont pas connus des populations ainsi gérées.
Attaquer en justice pour ne plus subir sans agir
Il n’y a plus de droit valide en France, l’ensemble des traités internationaux de protection des personnes a totalement disparu de manière volontaire afin d’imposer une vision autoritaire et totalement improductive à la gestion de cette crise.
La corruption systémique de nos autorités n’est plus à redouter puisqu’elle s’affiche tous les jours jusqu’à gangréner des organismes internationaux aussi capitaux que l’UE, l’OMS et même UNITAID. De ce fait,
Les associations BonSens et AIMSIB se sont associées pour déposer une plainte auprès de la Cour de Justice de la République (CJR)
CONTRE :
Monsieur Jean CASTEX, Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN, Ministre des Solidarités et de la Santé
Monsieur Jean-Michel BLANQUER, Ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des SportsDes chefs :
• D’ABUS FRAUDULEUX DE L’ÉTAT D’IGNORANCE ET DE LA SITUATION DE FAIBLESSE (ARTICLE 223-15-2 DU CODE PÉNAL)
• D’EXTORSION ET DE TENTATIVE D’EXTORSION (ARTICLES 312-1 ET 312-9 DU CODE PÉNAL)
• D’EMPOISONNEMENT ET DE TENTATIVE D’EMPOISONNEMENT (ARTICLE 221-5 DU CODE PÉNAL)
• DE TROMPERIE AGGRAVÉE ET DE TENTATIVE DE TROMPERIE AGGRAVÉE COMMISE EN BANDE ORGANISÉE (ARTICLES L441-1 ET L454-1 DU CODE DE LA CONSOMMATION ET ARTICLE 132-71 DU CODE PÉNAL)
• D’ESCROQUERIE ET DE TENTATIVE D’ESCROQUERIE COMMISE EN BANDE ORGANISÉE (ARTICLES 313-1 ET 132-71 DU CODE PÉNAL) • DE GÉNOCIDE (ARTICLE 211-1 DU CODE PÉNAL)
• DE GÉNOCIDE (ARTICLE 211-1 DU CODE PÉNAL)
L’avocate représentant les deux associations est Me Virginie Araujo Recchia et nous ne manquerons pas de vous tenir informer des suites de cette affaire.
Vous pouvez lire l’intégralité de la plainte en cliquant ici
Conclusion, souvenons-nous…
La corruption avérée de nos élites ne représente plus qu’une
option de la pensée, l’affaire Hill-Lawrie-Ivermectine nous en donne une
énième illustration.
– Souvenons-nous de l’étude Surgisphère-Mehra autour
des effets secondaires inventés de l’hydroxychloroquine et qui a permis
de geler définitivement toute recherche ultérieure indépendante sur les
qualités de cette molécule (17). Personne n’a été condamné, ni même
poursuivi.
– Souvenons-nous que toute la presse indépendante a disparu à cause de la promulgation de la Trusted News Initiative de 2020 (18).
– Souvenons-nous que tous les médecins et chercheurs occidentaux
qui ne partagent pas l’opinion dominante sont systématiquement attaqués
par leurs gouvernements.
– Souvenons-nous des milliards d’euros dépensés par l’UE en achat de Remdesivir quelques heures avant que l’OMS n’en reconnaissent son inefficacité.
– Souvenons-nous du passe sanitaire qui accentue la diffusion des virus par l’ensemble des vaccinés contaminés et qu’on laisse délibérément sans tests, n’oubliez pas sa transformation en passe vaccinal pour masquer l’idée que la vaccination obligatoire généralisé est totalement illégale.
– Souvenons-nous du Bamlanivimab (19).
– Souvenons-nous du Molnupiravir.
– Souvenons-nous du personnel soignant non vacciné qui a été mis à la porte de ses structures de soins pendant qu’on impose toujours aux soignants vaccinés infectés à rester en place dans leurs services (20).
– Souvenons-nous de l’obligation vaccinale imposée à certains d’entre nous et pour une justification sanitaire absolument nulle.
– Souvenons-nous du risque abyssal encouru par nos enfants, exposés à une vaccination répétée qui n’a jamais été testée, ni dans la durée, ni sur le plan de la géno-mutagénicité de ces produits.
– Souvenons-nous des millions d’effets indésirables graves et des milliers de décès directement liés au vaccin.
– Souvenez-vous que le cartel maffieux composé des labos pharmaceutiques
est multinational. Entre 2003 et 2016, Pfizer a été condamné 18 fois
pour un total de 2,9 milliards. Johnson&Johnson 15 fois pour 2,6
milliards. Mais que le champion reste GSK : 27 fois pour 9,7 milliards !
Les raisons : versement de pots de vin, refus de transmission de
données, falsification des data (21) …
Souhaitons que l’ensemble de nos juristes réussissent là où quasiment l’ensemble de nos médecins et politiciens ont échoué, sans quoi…
La rédaction de l’AIMSIB
Décembre 2021
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