Voici le témoignage d’Ernest Ramirez, cet habitant d’Edinburg (Texas). Il est venu raconter à la table ronde qui s’est tenue au Capitol Hill à Washington le 2 novembre 2021 organisé par le sénateur Ron Johnson, l’histoire tragique de son fils décédé après le vaccin Pfizer. Un père détruit d’avoir fait confiance aux autorités de santé et au gouvernement américain qui annonçaient qu’il n’y a pas de danger à faire vacciner les adolescents.
Ernesto Jr., 16 ans, a reçu le vaccin Pfizer en avril, peu de temps après l’autorisation du vaccin pour les adolescents. Mais cinq jours seulement après l’injection, le jeune homme est décédé subitement de complications cardiaques soudaines. Le cœur du jeune garçon avait doublé de volume. L’autopsie a révélé une hypertrophie cardiaque.
« J’étais père d’un fils de 16 ans, un parent célibataire. J’ai élevé mon garçon depuis qu’il était tout bébé. Il était tout pour moi. Il était mon meilleur ami. Nous avons reçu le vaccin Pfizer parce que je pensais que cela le protégerait. Je pensais que c’était la bonne chose à faire. En mars-avril, ils annonçaient que c’était sans danger pour les adolescents. Je pensais que c’était la bonne chose à faire, mais c’était comme jouer à la roulette russe. Mon gouvernement m’a menti. Ils ont dit que c’était sûr, et maintenant… Je rentre chez moi dans une maison vide. C’était mon petit garçon. »
En pleurs, Ernest Ramirez se remémore ce qui lui manque : « Au réveil je lui faisais un câlin, un bisou. Quand je rentrais du travail, je savais qu’il viendrait en courant pour me faire un câlin. C’était mon petit garçon, nous étions toujours ensemble. La semaine prochaine ce sera son anniversaire, je vais aller au cimetière. À Noël aussi, au cimetière. J’ai perdu mon fils, je dois protéger les autres. Ils essaient de vacciner les cinq à douze ans, il va y avoir encore plus de morts. Ils ont tout planifié et disent que ça vaut de coup de prendre le risque. Ça ne le valait pas pour moi. Ne faites pas la même erreur que moi. Je l’ai fait parce que je pensais que c’était la bonne chose à faire. Ça ne l’était pas. Je ne fais plus confiance à mon gouvernement. Je suis ici, car je suis la voix d’Ernesto Jr., je le fais en l’honneur de mon fils et si je peux protéger un ou deux enfants cela sera beaucoup pour moi. Nous devons protéger nos enfants ! »
Le Média en 4-4-2
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