Le vieux Tom Petty a bien raison : l’attente est la partie la plus difficile. Les lignes sont tracées : les vaccinés d’un côté et les non-vaccinés de l’autre. Se peut-il que les non-vaccinés sachent précisément quels sont les dangers du vaccin ? Qu’ils prennent une décision rationnelle, qu’ils prennent position, contre un piratage toxique de leur système immunitaire et des dommages systémiques à leurs organes ? Ce n’est pas si difficile à comprendre, après tout. Ces protéines de pointe peuvent vous tuer, si ce n’est pas tout de suite, mais de façon régulière, au fil des semaines et des mois. Donc, maintenant nous devons attendre alors que la lumière décline et que nous glissons dans une obscurité inquiétante.
Et se peut-il que les vaccinés soient si dépourvus d’indices qu’ils n’aient pas vu la nouvelle ? Bien sûr, l’information a été étroitement cachée pendant les deux années qui ont suivi le début de cette folie, mais il s’avère que les médias sont aussi peu fiables que les vaccins à ARNm. Si vous étiez même modérément conscient, vous pourriez découvrir que les vaccins créent des ravages dans votre circulation sanguine. C’est juste « là », documenté et réel. Mais maintenant, si vous avez été vacciné et que vous avez eu un indice depuis, vous avez une puissante incitation à nier que vous avez pu faire une erreur et acquérir un problème sérieux. Et vous avez un groupe de soutien d’environ la moitié de la nation pour renforcer ce déni et même diaboliser les non-vaccinés qui continuent à vous harceler avec des théories du complot. Difficile de comprendre à quel point vous les détestez pour cela.
On dirait que tous les fantasmes de zombies d’Hollywood vont se réaliser : une guerre civile entre les morts-vivants et le reste d’entre nous, qui, avouons-le, ne peuvent pas être blâmés pour avoir le sentiment effrayant d’être maintenant pourchassés. C’est assez grave quand on est privé de ses revenus, mais aussi de l’accès à toutes les activités courantes de la vie quotidienne. Pourtant, ce week-end, nous avons assisté à ce qui pourrait être l’escarmouche d’ouverture, le Bull Run, de cette nouvelle guerre civile : la « révolte » des pilotes de Southwest Airlines et d’autres employés que la compagnie tente de contraindre à se faire vacciner. Ces rebelles de Southwest Airlines ont jeté un sacré pavé dans la mare. Le pays comprendra-t-il seulement ce qui s’est passé ? D’autres cohortes d’employés endoloris et opposés au vaccin suivront-elles dans d’autres entreprises ? Attendons …
Pendant ce temps, nous avons l’arrivée sur la scène d’un autre joker : Le nouveau médicament anti-Covid-19 de Merck, le molnupiravir, qui réduirait de 50 % le risque d’hospitalisation et de décès lié au Covid. Merck et son partenaire, Ridgeback Biotherapeutics, ont demandé à la FDA une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour ce nouveau médicament, la même échappatoire juridique que Pfizer et Moderna ont obtenue pour leurs vaccins à ARNm. « Joe Biden » a promis de dépenser 1,2 milliard de dollars pour se procurer un lot important de ce nouveau médicament.
Le hic, c’est que le molnupiravir fait partie du même ordre de médicaments analogues aux nucléosides que le remdesivir, un échec cliniquement prouvé dans le traitement de la Covid-19. Ce produit a tué des patients par-ci par-là. Le mécanisme mutagène du molnupiravir est censé perturber l’ARN des virus de la Covid-19, en les désactivant progressivement et en les tuant. Le problème, c’est que les médicaments mutagènes sont connus pour leur large spectre d’action. Le molnupiravir pourrait donc faire la même chose aux différentes cellules de votre corps : un cancer instantané. Je suppose que nous devrons attendre et voir comment cela se passe. Il est bon de se rappeler, cependant, que l’EUA n’a pas si bien fonctionné pour les vaccins Covid-19, n’est-ce pas ? L’attente est la partie la plus difficile.
Le Molnupiravir a été poussé sur la scène après deux ans pendant lesquels les autorités de santé publique (Drs Fauci, Collins, et al.) et les médias d’information ont jeté des sorts à la série existante de médicaments bon marché qui se sont avérés cliniquement efficaces dans le traitement précoce de la Covid-19, à savoir l’ivermectine (alias « remède de cheval »), l’hydroxychloroquine, la fluvoxamine, la prednisone, etc. Si vous étiez paranoïaque, vous pourriez soupçonner qu’il y a quelque chose de louche dans cette tentative de bloquer des traitements bon marché, sûrs et efficaces au profit de nouveautés non testées qui se trouvent être une nouvelle aubaine de plusieurs milliards de dollars pour les compagnies pharmaceutiques.
La question qui se pose, bien sûr, est la suivante : qui sont exactement les autorités à l’origine de tous ces méfaits de la Covid-19 ? Je pense que si vous découvrez qui a installé « Joe Biden » à la Maison Blanche, et qui le dirige, vous aurez quelques indices. On dirait qu’ils ont l’intention de tuer beaucoup de gens. Bientôt, nous saurons si cela a fonctionné ou non, au fur et à mesure que les micro-caillots de sang s’accumuleront dans le corps des 100 millions de rats de laboratoire humains ici en Amérique et dans celui de millions d’autres dans le monde.
Ils ont également versé suffisamment de sable dans les moteurs de l’économie mondiale pour la mettre hors d’état de nuire – et, bien sûr, l’économie américaine est en tête de tout cela. Pas de chauffage pour vous cet hiver, alors que vous attendez d’être payé et de passer à la caisse. Les non-vaccinés regardent ce qui se passe et sont horrifiés par la crédulité fantastique des condamnés, les légions de zombies qui se sont stupidement alliés aux forces du mal. Ils se sont mis à genoux pour vénérer le Dr Fauci, le FBI, la CIA, « Joe Biden », Rachel Maddow et tous les autres qui leur brandissaient des aiguillons à bétail de coercition et de propagande. Ils ont suivi docilement leurs ordres, comme de bons petits garçons et filles, et ont encaissé leurs coups. Les lignes sont tracées. Pousser les non-vaccinés plus loin ne servira à rien (sauf peut-être à une puissante riposte). Mulder avait raison : la vérité est là quelque part. Il faut l’attendre. (Oui, l’attente est la partie la plus difficile).
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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