Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien
- visionné à ce jour près de 500.000 fois - avec un jeune mathématicien
et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward
Snowden allemand. Nous l'appelerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons
évidentes, il souhaite rester anonyme).
Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.de, Apolut.net),
Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions
de documents grâce à des logiciels spécialisés. Cela a permis de mettre à
jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite
"anticovid", de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et
chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population
mondiale à se soumettre au dictat d'intérêts privés sous prétexte de
“santé publique.
Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.
Le vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages)
d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la
présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant
de consultation peu aisée par des non-spécialistes.
L’analyse se divise ainsi :
- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;
- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;
- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est
fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles
transitent les fonds.
Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L'attention des
analystes a été attirée - pour ne donner qu'un exemple - par un petit
pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte
postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.
- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.
Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les
logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par
des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à
l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte
d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard
Schneeten. Les ouï-dire ou signalements d'initiés ont été rigoureusement
écartés. Toutes de source originale, les données n'ont pas été
retouchées.
Faut-il s'étonner qu'aucun journal, émission ou publication
en-ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la
BBC, Le Monde et al. - n'a souhaité entreprendre de près ou de loin des
recherches telles celles de Schneeten et Röper ?
Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six
mois, constatent en s'appuyant sur des données factuelles que la
manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment
où l'on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons
bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se
multiplient et se resserrent. De même, la majorité des ONG impliquées
dans la manoeuvre ont été fondées en 2017.
Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016,
quoique Heidi Larson, l'une des figures-clefs identifiées, épouse du
Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project,
aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission
européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l'OMS, ou encore le
Robert-Koch Institut et l'Hôpital de la Charité de Christian Drosten en
sont partenaires, entre autre.
Le Dr Larson, professeur d'anthropologie et de “science des risques
et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical
Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des
risques depuis les essais cliniques jusqu'à la mise sur marché, et
l'instillation de la confiance dans les populations” (sic).
Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne
spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins
occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine
d'expertise et au factuel, considérant d'ailleurs que l'on eût pu
déclencher la même campagne hystérique au sujet de n'importe quelle
maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences.
Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre
ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des
ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la
vaccination” avec comme objectif d'injecter 70% de la population
mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six
semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l'électorat
(alors que c'est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et
annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de
vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme
représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d'intérêts
majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil
d'Administration de Pfizer.
Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve
l'époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de
Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical
Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis
2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la
London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143
fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d'au moins $US 185
millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du
Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en
matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en
matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de
l'Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de
Conseil de Novartis, membre de l'Académie française de médecine.
Pour saisir la structure du réseau, commencez par éplucher le rapport Netzwerkanalyse Corona Komplex,
en langue anglaise, qui représente le premier volet des travaux de
Schneeten et Röper. Ces derniers font œuvre de salut public. Il ne reste
qu'à espérer que le public s'y intéressera de près puisqu'il y va de
notre survie.
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