Jacquadit, tout le monde le connaît, c’est cet Isaac Abravanel contemporain qui éclaire depuis 40 ans la vie politique française de ses illuminations socialo-sionistes, qui se résument toutes, au final, à cette double injonction : enrichir les riches et appauvrir les pauvres. On est banquier ou on ne l’est pas.
Nous, c’est pareil chez Axa : on se fait piller en frais parce qu’on est du mauvais côté des barbelés (un « conseiller » nous a menacés), qui ont changé de côté en 80 ans. Mais n’entrons pas dans la polémique, et écoutons la vieille chouette qui nous révèle le futur. Ceux qui n’aiment pas Jacquadit diront que c’est de la prophétie autoréalisatrice, mais on ne peut pas croire une chose pareille, parce que ce serait mal, parce que Jacquadit serait juge et partie.
Et le futur, c’est 2022.
Merde, Jako, tu nous avais dit que c’était le tour d’Audrey, la fille Tcherkoff, la beauté féministe resplendissante qui dit que la crise du covid c’est le moment de changer de paradigme, comme on l’a écrit en 2020 ! Qu’est-ce que c’est que ce changement de pouliche, t’es pas une girouette, quand même ?
Audrey à 0’45 : « Et nous avons là une opportunité extraordinaire de transformer cette crise, sanitaire, qui a mené à une crise économique terrible, en une réelle opportunité de changement de paradigme et de proposition d’un nouveau modèle de société »
Tiens, c’est bizarre, on aurait pourtant cru que l’objectif de la « crise » du covid c’était justement cette crise économique qui a enrichi les riches et appauvri les pauvres, soit la ligne Attali ? C’est peut-être pour ça qu’Audrey a du mal à enchaîner « crise » et « sanitaire »...
Bon, tant pis, Audrey, ce sera pour 2027, pas pour 2022. Jacquadit a dit, point à la ligne Bar-Lev.
Mais qu’est-ce qu’on fout dans la guerre du Kippour ? Revenons à la politique française, qui n’a rien à voir avec Israël.
Jacquadit prévoit donc non seulement la réélection du Macron, mais celle de la Tcherkoff. En attendant, il nous prépare au pire (on croyait y être déjà) :
Et pour savoir précisément ce qu’est le pire, parce que Jacquadit n’est pas très concret sur ce coup-là, il faut aller à la pêche du côté de cette vieille baderne de Schwab, qui lui, est d’une précision faurissonnienne (mais tout le monde peut se tromper, hein) :
Ce qui n’empêche pas le Fantomas du Grand Reset de voter (on a failli écrire voler) lui aussi Macron en 2022, alors qu’il n’est pas citoyen français. Mais là, autant vous rappeler la nouvelle loi électorale en dictature démocratique post-covid : la voix d’un Jacquadit ou la voix d’un Schwab, autorisé exceptionnellement à voter en France grâce à son statut de mégalodon de l’hyperclasse, eh bien cette voix elle ne compte pas double, ni triple, comme au scrabble, mais six-millionuple !
Quand Jacquadit va mettre son bulletin dans l’urne, s’il est encore vivant l’année prochaine, sa voix pèsera six millions de voix, soit autant que le cinquième des Français votants (31 millions de votants le 7 mai 2017). Il faudra donc une exceptionnelle mobilisation des pauvres pour contrebalancer la puissance de l’Axe Attali-Schwab qui pèsera alors 12 millions de voix.
Mais avec un peu de chance, la grande cyberattaque pronostiquée par Schwab aura eu lieu entre-temps, et on ne se posera plus ces questions arithmétiques à la con, de toute façon le vote électronique s’imposera sournoisement pour faire gagner Macron, à la Biden, et après lui Audrey. Les fatalistes diront qu’il ne reste plus que le survivalisme, mais le survivalisme n’est pas un désengagement politique, bien au contraire : on peut cultiver son jardin et lutter contre le jacquadisme.
Qu’on se le dise !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.