Sacha Houlié, c’est celui qui participe à la psychose en faisant croire que les hôpitaux antillais sont blindés de mourants du covid, alors que nos îles subissent l’épidémie saisonnière de dengue. Il s’agit d’une grippe tropicale qui se teste aussi par un PCR, donc la confusion permet au pouvoir de pousser à la vaccination. Et si les territoires d’Outre-mer sont particulièrement visés par la répression du pouvoir de la métropole, c’est parce que la méfiance est grande, d’une part contre le pouvoir central, d’autre part contre un vaccin dangereux et inutile.
Sacha Houlié, c’est donc le député godillot qui ne fera pas de vagues, sauf la 4e ou la 5e, histoire d’aller dans le sens de la légende qui sert l’oligarchie. Sans y voir un rapport, dans la nuit du 19 au 20 août 2021, sa permanence a été incendiée, et ce n’est pas un effet du réchauffement climatique, l’autre fake news gouvernementale qui servira à détruire notre économie productive au profit d’une économie de services fondée sur la numérisation. On pourrait dire, à la limite, qu’il s’agit d’un dommage collatéral ou d’un effet secondaire du réchauffement social, celui qui est parti du mouvement des Gilets jaunes opposés au néolibéralisme bancaire de Macron à la fin 2018 et qui se prolonge aujourd’hui avec le mouvement des anti-pass, cette lutte contre l’apartheid français.
Naturellement, comme l’écrit RT, les personnels parlementaires de tout bord ont soutenu le malheureux, ce qui permet de dire que la solidarité des députés prime la solidarité envers le peuple français. Guillaume Larrivé des Républicains (LR), défiant les frontières politiques, a écrit avec un courage indicible : « Honte aux crétins malfaisants qui s’en prennent ainsi à la démocratie parlementaire ».
À gauche, c’est Mélenchon qui s’est dévoué pour dénoncer cet acte d’horreur :
« mettre le feu à une permanence parlementaire est un double crime d’incendiaire et d’antiparlementarisme. La démocratie c’est le droit à la contradiction pacifique. Solidarité ».
Il faut savoir que depuis les actes des Gilets jaunes et la terrible répression de la police politique, sur ordre de l’Intérieur qui est lui-même aux ordres de puissances occultes, les députés LREM sont sur la liste des Français outragés. Ils ont été vilipendés, poursuivis dans les rues, encerclés chez eux et « victimes » de chansons, mais jamais tabassés, énucléés, mutilés.
Pour exemple, en décembre 2019, la permanence de Sacha Houlié, décidément très populaire, avait été envahie par des manifestants. À l’époque, France 3 s’était étranglé devant une telle audace antidémocratique :
Fin avril 2018 déjà, sa permanence avait été la cible d’antimacronistes primaires :
Un peu plus tard, en janvier 2019, sa permanence était vandalisée par des Gilets jaunes plus ou moins insoumis. Sacha avait été traité de « vendu », on se demande bien à qui.
Et au mois d’août 2019, rebelote ! Ce coup-ci, c’est BFM TV qui tapait du poing sur la table.
Pire, début avril 2021, c’est son domicile qui était vandalisé par un tag très désobligeant.
Imaginez un instant, si un député LREM qui crache en permanence (sans jeu de mot) sur les Gilets jaunes, les Français amoureux de leur pays et de leurs libertés, avait été tabassé, énucléé, mutilé par des Gilets jaunes ?
Là, le pouvoir visible et ses médias larbins nous sortaient le grand jeu, la totale : appels à manifester (sans succès) dans toute la France, hurlements au « fascisme qui ne passera pas », JT saturés du matin au soir d’injonctions à « sauver la République », bref, un fatras d’inversions accusatoires sur la réalité de la démocratie et de la violence politique, une violence qui va objectivement du haut vers le bas, et pas du bas vers le haut. Enfin, pas encore.
Disons que nous sommes en présence de petites bulles, et que ces petites bulles sont en train à la fois de grossir, et de se rapprocher, ce qui finira par produire de plus grandes bulles, puis une bulle finale géante qui fera tout déborder. Mais nous n’y sommes pas encore, Dieu soit loué, Macron et sa bande peuvent encore démissionner pour sauver le pays et se faire remplacer par un gouvernement de salut public composé de personnalités qui ne sont pas entre les mains de la Banque, du Big Pharma et des forces occultes.
On peut rêver, non ? L’utopie, c’est pour l’instant la seule arme contre la dystopie.
Bonus : Sacha pour la restriction des libertés
« Y a pas de flicage, par contre il faut assumer qu’il y ait des restrictions de libertés »
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