14 juillet 2021

Certains croient qu’il s’agit seulement d’un mauvais moment à passer...


 
Pourquoi sommes-nous aussi inquiets alors que certains croient qu’il s’agit seulement d’un mauvais moment à passer et que les choses reviendront à la normale « lorsque nous en aurons fini » avec ce vilain virus ?

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Tout d’abord parce que les mesures restrictives mises en place lors des périodes de crises ne sont jamais retirées complètement par la suite . D’ailleurs, le gouvernement a déjà tenté de faire entrer dans le droit commun un grand nombre de ces mesures et de les muer ainsi en instruments banals de contrôle et de répression que le pouvoir exécutif pourra actionner à sa discrétion ;

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Parce que, dans un contexte d’évolution constante du virus et de la très faible mortalité qui lui est attachée (0,15 % en moyenne — y compris les très nombreux décès « avec COVID ») — bien loin des 3,4 % estimés initialement par l’OMS , nous croyons qu’il est extravagant de prétendre vouloir « éradiquer » un organisme désormais dans notre écosystème, aux côtés de centaines de milliers d’autres, sous le seul prétexte qu’il est nouveau. Cela nous conduira immanquablement à d’autres scenarios excessifs comme celui que nous vivons actuellement. L’OMS et l’industrie pharmaceutique ont d’ailleurs annoncé il y a des mois que ce coronavirus allait devenir endémique sur toute la planète et que nous allions devoir vivre avec lui « pour toujours » ;

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Ensuite, parce que le lot de mesures incroyablement liberticides qui accompagne les annonces contradictoires et singulièrement arbitraires de l’exécutif nous est imposé sans le moindre respect du processus démocratique , dans un contexte de destitution du Parlement et d’abus sans précédent des habilitations à légiférer par ordonnances ;

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Parce que la stratégie gouvernementale de lutte contre la “pandémie” s’appuie sur les opinions technico-médicales exprimées par une poignées de personnalités scientifiques, non dépourvues de conflits d’intérêts, dont les décisions impactent dramatiquement tous les domaines de la vie sociale et économique du pays. Ainsi, les médecins sont loin d’être les seuls concernés et ne devraient donc pas être les seuls consultés;

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Parce que les fondements statistiques et scientifiques des décisions qui sont prises, s’ils étaient maigres et incertains au début de la crise, sont aujourd’hui très largement contestés par la communauté scientifique


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Parce que malgré cela les mesures les plus infantilisantes, dégradantes, voire délétères sont maintenues et même durcies : le port du masque toute la journée et dans tous les lieux de vie, y compris pour nos enfants de plus de 12 ans puis de seulement 6 ans, les « bulles » de fréquentations privées, les couvre-feux, les interdictions de visites de nos aînés, les attestations auto-remplies pour nos déplacements essentiels ou encore les rayons de déplacement tolérés, à des distances parfaitement arbitraires de 20 km, 2 km, 1  km… ;

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Parce qu’il est aujourd’hui évident que la pléthore de mesures autoritaires prises par l’exécutif n’a eu aucun effet sur l’augmentation ou la diminution des contaminations, voire aurait provoqué l’inverse des effets attendus (ce qu’à encore confirmé une étude publiée par l’université de Stanford, sous la direction du très renommé Prof. d’épidémiologie John Ioannidis) ; et ce alors qu’elle a effectivement eu des conséquences dramatiques sur les moyens de subsistance et les conditions de vie de millions de personnes dans notre pays ;

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Parce que la mauvaise foi du gouvernement est évidente lorsqu’il est question d’éviter l’implosion des hôpitaux, alors que dans le même temps le nombre de lits et les ressources disponibles sont encore et toujours diminués ;

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Parce que toute la communication gouvernementale et médiatique vise manifestement à alimenter la peur et à conditionner la population en vue de lui faire accepter les vexations qui lui sont imposées, de même que le vaccin, comme seule solution à la crise ;

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Parce qu’au contraire, des traitements existent et que nous en avons été tenus soigneusement éloignés, y compris par le biais d’articles scientifiques scandaleusement frauduleux ou d’interdiction pure et simple de prescrire ; 

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Parce que nous avons été très choqués par la cabale organisée contre les promoteurs de ces traitements, allant des menaces de mort aux procédures disciplinaires en Conseil national de l’Ordre des médecins, en passant par le lynchage médiatique, les procédures judiciaires et la privation des médicaments utilisés par le blocage des livraisons attendues ;

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Parce que nous sommes atterrés par la censure qui sévit dans la Presse et sur les réseaux sociaux à l’encontre de toute pensée dissidente, de tout esprit critique et de toute tentative de démêler le vrai du faux et de comprendre ou donner à comprendre, en dehors des sentiers balisés par le gouvernement et les médias mainstream, les tenants et les aboutissants de la crise ;

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Parce que, fondamentalement, nous craignons que les gigantesques intérêts commerciaux liés à cette « pandémie » aient fortement influencé les décisions prises par le gouvernement, comme c’est manifestement le cas concernant le Remdesivir, pourtant non recommandé par l’OMS, et comme il est probable que ce soit le cas concernant les vaccins et les contrats de vente aux montants colossaux passés avec leurs fabricants. Tout cela au plus grand détriment de notre santé, de notre système de santé et de son budget ainsi que de la dette colossale que nous devrons payer pendant les prochaines décennies ;

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Parce que ces vaccins fabriqués en 10 mois et testés en 3 mois et demi seulement — en lieu et place des 7 à 10 années minimum — sont déjà à l’origine d’un nombre très inquiétant de morts soudaines (24h post-vaccination) ou suspectes (délai plus long), qui touchent l’ensemble des classes d’âge et sont entre 60 (Pfizer, AstraZeneca) et 400 fois (Moderna) supérieures à celles qui suivent le vaccin contre la grippe, sans parler des effets indésirables graves qui ont également explosé dans des proportions jamais atteintes par ce même vaccin contre la grippe ;

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Parce qu’il résulte de ces constatations précoces qu’il est autant probable, pour les 18-44 ans, de décéder du vaccin Covid-19 que du virus lui-même, lorsqu’il s’agit des vaccins Pfizer et AstraZeneca, et 7 fois plus probable de mourir du vaccin Moderna que du Covid-19 , et que malgré cela les autorités sanitaires semblent vouloir, à tout prix, vacciner tout le monde ;

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Parce que ces signaux alarmants ont conduit 57 scientifiques et médecins de premier plan à demander l’arrêt immédiat de tous les programmes de vaccination Covid-19 ;

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Parce qu’au contraire des déclarations du gouvernement et de nos agences de santé, qui prétendent à l’envi que les vaccins seraient efficaces et sûrs, les contrats signés avec les fabricants de vaccins prévoient expressément que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccins ne sont garanties et qu’il ne pourra en découler pour ces fabricants aucune responsabilité ;

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Parce que nous ne sommes pas amnésiques et que nous nous rappelons des dégâts causés par le vaccin contre la grippe H1N1 largement promu par les autorités, mais terriblement délétère pour un grand nombre d’Européens, désormais condamnés à vivre avec les symptômes invalidants de la narcolepsie ;

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Parce que, comme l’ont déjà dit certains : « bien pire qu’un méchant virus, ce serait un mauvais vaccin », injecté à des millions, voire des milliards de personnes en parfaite santé, et qui pourrait causer des dommages majeurs et irréversibles dans la population, à une échelle jamais atteinte jusqu’à présent ;

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Parce que nous refusons fermement ce passeport sanitaire, imposé par le gouvernement, qui nous conduira vers une société d’apartheid où les personnes non vaccinées n’auront plus aucun droit et feront l’objet, partout, d’une ségrégation inadmissible ;

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Parce que c’est bien la liberté qui est au cœur de notre mission, qu’il s’agisse de liberté de semer ou de liberté de circuler, de liberté d’entreprendre ou de travailler, de liberté de manifester ou de se réunir, de liberté d’expression ou de conscience, etc. ; en somme, de toutes les libertés qui sont inscrites dans nos constitutions depuis la Révolution française et même avant, et qui sont actuellement réduites à néant ;

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Parce que nous sommes bien décidés à faire fonctionner notre outil de travail, malgré les mesures insensées qui nous sont imposées, afin de poursuivre la distribution, le plus largement possible, de nos semences d’émancipation et de dissidence, et ainsi défendre nos valeurs et nos idéaux.


Pour toutes ces raisons, nous appelons à l’insoumission, dans les esprits et dans les cœurs, par le refus collectif de se soumettre aux folles injonctions de ceux qui croient être nos maîtres, et par la proclamation de notre droit à l’autodétermination.

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