Un Landais de 75 ans
est décédé en février, douze jours après avoir reçu une dose du vaccin
Pfizer. Ce retraité n'avait aucun problème de santé selon ses proches.
Sa famille s'interroge sur le lien de causalité et a décidé de déposer
plainte auprès du Parquet de Dax apprend on ce mardi.
Sa famille s'interroge sur les liens entre sa mort et l'injection du vaccin Pfizer. Un retraité du sud-ouest des Landes est décédé une douzaine de jours après avoir reçu une dose de ce vaccin. Une information de nos confrères du journal Le Parisien, confirmée par France Bleu Gascogne. Un retraité en bonne santé, sans problème particulier, confie l'avocat de la famille. Ses proches s'interrogent sur le lien de causalité, et décident alors de porter plainte contre X pour homicide involontaire auprès du parquet de Dax.
Aucun antécédent médical
Un retraité très dynamique, qui jardinait, faisait des travaux avec son fils, et venait d'acheter une nouvelle voiture, selon l'avocat de la famille. Le 15 février dernier, l'homme de 75 ans décède brutalement alors qu'il était en train de faire du jardinage. Le retraité est retrouvé inanimé par son voisin aux alentours de 9h30. Les pompiers et le Samu arrivent alors sur place, mais son décès est rapidement constaté.
La version donnée à ses proches est la suivante : le père de famille est mort d'un arrêt cardiaque respiratoire. "Sans avoir davantage d'information", souligne l'avocat de la famille, Me Paul Latouche. La femme du retraité précise, lors de l'intervention des secours, qu'il a reçu une dose de vaccin une douzaine de jours auparavant, sur accord de son médecin généraliste. Son conjoint s'était plaint de maux de ventre quelques jours avant sa mort.
Enterré sans expertise
Quatre jours après son décès, l'homme est enterré, sans aucune expertise médicale de son corps. Selon l'avocat de la famille, il ne s'agit pas de dénoncer un lien évident, mais plutôt de trouver une réponse aux questions de la famille. "Cette temporalité entre l'administration du vaccin et le décès amène forcément à se questionner," explique Me Paul Latouche. "On cherche des réponses. La famille n'est pas dans une démarche accusatrice, mais elle cherche à comprendre."
Selon l'avocat, ce retraité n'avait aucun antécédent médical particulier. "Plusieurs études d'autres pays européens démontrent des effets secondaires du vaccin Pfizer. Nous cherchons alors à comprendre", précise l'avocat parisien.
"L'idée est qu'il y ait exhumation du corps et une autopsie"
Quatre jours après son décès, l'homme est enterré, sans aucune expertise médicale de son corps. Selon l'avocat de la famille, il ne s'agit pas de dénoncer un lien évident, mais plutôt de trouver une réponse aux questions de la famille. "Cette temporalité entre l'administration du vaccin et le décès amène forcément à se questionner," explique Me Paul Latouche. "On cherche des réponses. La famille n'est pas dans une démarche accusatrice, mais elle cherche à comprendre."
Selon l'avocat, ce retraité n'avait aucun antécédent médical particulier. "Plusieurs études d'autres pays européens démontrent des effets secondaires du vaccin Pfizer. Nous cherchons alors à comprendre", précise l'avocat parisien.
"L'idée est qu'il y ait exhumation du corps et une autopsie"
- L'avocat de la famille
Une plainte a été déposée en fin de semaine dernière au parquet de Dax, le 16 avril. "L'idée est qu'il y ait, le plus rapidement possible, exhumation du corps et une autopsie pour apporter une explication sur l'origine du décès. C'est une démarche de quête de vérité de la famille", conclut l'avocat.
Une plainte a été déposée en fin de semaine dernière au parquet de Dax, le 16 avril. "L'idée est qu'il y ait, le plus rapidement possible, exhumation du corps et une autopsie pour apporter une explication sur l'origine du décès. C'est une démarche de quête de vérité de la famille", conclut l'avocat.
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