Avec toutes les manipulations de
chiffres qui sortent au grand jour, l'implication des grands labo dans
les cabinets d'experts "conseillant" les décideurs, l'emprise de l'OMS
sur les politiques nationales, l'on a l'impression que les êtres humains
ont été transformés en populations géantes de souris de laboratoire,
soumises depuis plus d'un à une expérimentation sociale assez
terrifiante. A tel point que la désobéissance civile s'invite dans les
réseaux sociaux, parfois dans les rues et de temps en temps dans les
esprits. C'est inconfortable, donc c'est rare. Quelle étrange maladie,
tellement dangereuse, que les gens manifestent pour qu'on les laisse
tranquilles, que les Etats doivent prendre des mesures de rétorsion pour
les "sauver malgré eux", que les vaccins s'accompagnent d'un chantage
de moins en moins discret ...
Nous
avons certainement oublié que la vie réelle se différencie passablement
du monde merveilleux des dessins animés. Nous avons tellement aseptisé
notre environnement social, que nous nous sommes sérieusement affaiblis.
Même notre instinct de survie est généralement réduit à la soumission
et l'obéissance - pour éviter les coups, les conflits. En toute
circonstance. Sans même plus se cacher la face. En restant enfermés,
sans contact avec les autres, sans vie sociale. Ecrasés.
Pourtant, beaucoup de questions se posent quant à la dangerosité réelle du coronavirus. Un intéressant article publié dans France Soir
démontre parfaitement la manipulation à la hausse des chiffres, suite
aux modifications de critères permettant, notamment, de compter les
décès en milieu hospitalier (non plus en raison du Covid, mais avec
Covid), le recours à des estimations fondées sur des algorithmes et non
pas sur des cas avérés, le regroupement des données concernant les lits
de réanimation, de soins intensifs et de surveillance continue, etc.
Surtout, le recours massif aux tests PCR pour identifier, sans
symptômes, une personne dite contaminée par le Covid.
Cela, surtout que l'OMS met
soudainement en janvier en garde contre des tests PCR beaucoup trop
sensibles, qui ne permettent pas à eux seuls de diagnostiquer avec
certitude un Covid.
Et
dans toute cette cacophonie, le Gouvernement français cherche comment
il pourrait encore punir une population, qui n'a plus vraiment la force
de réagir. Confinement or not confinement, effet oeuf de Pâques et
goûter de 4h, variant comorien transgenré, les interrogations sont à la
hauteur des dangers.
Au milieu de cette docilité collective, la tentation de la désobéissance civile fait timidement son apparition. Des restaurateurs restent ouverts au-delà des couvre-feux ou ouvrent malgré l'interdiction (en Suisse
par exemple), des maires en France refusent d'adopter des arrêtés
municipaux liberticides, certains osent sortir sans porter de masque et,
summum de la résistance, l'on fait un bisou démasqué à ses enfants -
pour les grands-parents, il faudra encore attendre, leur enterrement.
Un
certain mouvement s'est mis en place et appelle le 1er février à une
journée de désobéissance civile. Pourquoi le 1er février ? Il faut bien
une date. Il serait bien que ce ne soit pas une journée, avec quelques
selfies, mais peut-on réellement espérer plus, lorsqu'aucune force
politique n'est capable d'aider la population ?
Certains ont tenté, en Belgique, la distribution de tracts,
les méthodes utilisées lors des périodes d'occupation reprend ses
droits puisque nous sommes foncièrement dans la même situation, et les
autorités ont évidemment été choquées. Qu'en attendre de plus ? Des
manifestations, en France, en Espagne, aux Pays-Bas et ailleurs, ont
lieu contre le couvre-feu et les autres mesures liberticides adoptées au
nom du Covid, elles sont violemment réprimées dans le silence total et
aucune force politique n'est capable, ni n'a la volonté, d'organiser une
résistance. Toute réaction est individuelle, locale, atomisée.
Les
réactions de rébellion sont diminuées, appelées "coronofatigue",
indiscipline sanitaire ... Autrement dit, il ne s'agirait pas d'un
profond mouvement de rejet, volontaire, conscient et réfléchi, mais d'un
égoïsme. Et ainsi, si le nombre de cas augmente, ce n'est pas en raison
du caractère saisonnier du virus, ni de l'absence de recherche d'un
traitement, ni de la manipulation des chiffres, mais en raison de
l'égoïsme de ceux qui se révoltent.
Notre
faiblesse est leur force, tant qu'aucune organisation politique ne
pourra coordonner ces poussées de désobéissance civile, rien ne
changera, car aucune force ne pourra être opposée à cette machine
globale qui engloutit nos sociétés, nos modes de vie ... nos vies.
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