Le ministre délégué aux petites et moyennes entreprises Alain Griset a fait savoir sur Europe 1 qu’il lui «paraît peu probable» que les restaurants puissent rouvrir le 20 janvier. Selon lui, les nouveaux cas quotidiens de Covid-19 sont actuellement trop importants et le seront toujours à cette date.
Emmanuel Macron l’avait évoqué lors de son allocution télévisée du 24 novembre: «les restaurants pourront rouvrir le 20 janvier en France, à condition que la situation sanitaire le permette». Il avait alors fixé la limite des contaminations à 5.000 par jour. Invité dimanche 3 janvier sur Europe 1, le ministre chargé des petites et moyennes entreprises Alain Griset s’est montré pessimiste quant à cet objectif.
«Au regard des éléments chiffrés que nous avons aujourd'hui, nous sommes loin des chiffres que nous avions prévus», a-t-il indiqué. En effet, la France a enregistré plus de 12.000 nouveaux testés positifs en 24 heures dimanche, tandis que le nombre d’hospitalisations est de 322 de plus que la veille.
Des chiffres qui ne prennent pas encore en compte les effets des fêtes de fin d’année, précise le ministre. «C'est ensuite, au regard de ces éléments, vers le 10 janvier, qu'on pourra prendre une décision définitive», ajoute-t-il avant de conclure: «aujourd'hui, au regard du nombre de cas, il paraît peu probable qu'on puisse ouvrir le 20 janvier».
Vers une faillite massive dans le secteur
Souvent désignés comme les lieux les plus contaminateurs, comme l’indiquait par exemple une étude de l’Institut Pasteur de mi-décembre, les bars et les restaurants sont de plus en plus menacés par les faillites, avec des charges et des frais qui continuent de s’accumuler alors que leurs salles sont vides.
D’après Jean Terlon, vice-président de l’Union des métiers des industries de l’hôtellerie (UMIH), le secteur pourrait faire face à une faillite massive de «20 à 30% des établissements» dans les prochains mois. Seule solution selon lui, de vraies indemnités de l’État. «Vous nous fermez et vous nous interdisez de travailler? Il faut payer!», a-t-il résumé.
Les "testés positifs" sont un leurre, les gens ne sont pas malades et les hospitalisations correspondent à celles observées chaque année en cette saison, la mortalité aussi. Les cliniques sont vides.
Pandémie purement politique, basée sur sur des tests PCR truffés de faux positifs. Le niveau de corruption est tel dans notre pays que la vaccination est devenue l'idée fixe des gouvernants et des médias, au service des laboratoires.
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