Erdogan, on peut en penser ce qu’on veut, surtout du mal car, il faut bien l’avouer, le personnage ne saurait attirer la moindre sympathie en dehors du monde musulman, et encore pas partout, loin s’en faut. Toutefois, reconnaissons-le honnêtement, ce type peut parfois se révéler de bon conseil, même quand il fourre son sale nez dans les affaires qui ne le regardent pas. Ainsi vient-il de nous inviter, nous autres franchouilles, à nous débarrasser le plus vite possible de Présipède ! C’est-y pas une bonne idée, ça ? Ben oui, que voulez vous, il collectionne les conneries, ce petit rigolo, si vous y réfléchissez deux secondes, vous vous apercevrez qu’il a fait bien pire, en trois ans et demi de magistrature suprême, comme on dit, que son prédécesseur en cinq ans! L’autre pignouf de Hollandouille, finalement, n’avait provoqué que des dégâts mineurs par l’accumulation de couillonnades tenant pour beaucoup à sa personnalité de comique-né, et pour le reste à sa qualité de socialo bon teint. Toutefois cela ne pissait pas bien loin et nous aurions pu nous en tirer sans trop de casse si un président digne de ce nom lui avait succédé, je ne vise personne mais bon, n’oubliions pas l’intervention providentielle des juges, toujours prompts à marquer contre le camp de la France et dont l’action, prompte autant que déterminée, permit l’élimination du seul candidat capable, peut-être, de remettre un peu d’ordre dans le bouzbir. Du coup Macrounette l’emporta et tout espoir de remettre le vieux train, poussif et brinquebalant, sur de meilleurs rails, s’envola simultanément. Bien sûr, toute la bien-pensance, réjouie de l’arrivée du blanc-bec sur le devant de la scène, applaudit à tout rompre, soutenue en cela par les media, convaincus pour d’excellentes raisons, principalement alimentaires, que nous venions de toucher le quintet dans l’ordre. Et depuis qu’il trône à Élysée, il les collectionne au point qu’on ne reconnaît même plus le pays, lequel s’en va en quenouille dans tous les compartiments du jeu. Alors, même si l’abominable Erdogan répond à des considérations qui sont à l’opposé des nôtres, je propose tout de même, pour cette fois, qu’on prenne son idée en considération. Macrouille est un nocif, un dangereux, un toxique et un irresponsable. Ce jeune présomptueux borné, confronté à des difficultés qu’il ne pouvait même pas soupçonner et ne comprenant absolument rien à l’essentiel d’un environnement au sein duquel il se trouve brinquebalé comme un lot de slips sales dans le tambour de la machine à laver, nous entraîne irrésistiblement vers le désastre. Nous n’en sommes pas loin, vous savez, du désastre, entre les « mesures covid » qui ruinent l’économie de toutes les manières possibles, et l’autorité de l’Etat, battue en brèche par l’action conjuguée des gauchiards de tout poil, des « jeunes » de banlieue, des musulmans fanatiques, des trafiquants de drogue, des « migrants » envahisseurs et d’une coterie internationale vivement intéressée à notre dégringolante décadence, je vois mal comment, barrés comme nous le sommes par un petit merdeux mal voyant, nous parviendrions à y échapper. Nous fonçons droit sur les récifs, la barre bloquée et la machine sur full speed, en général ce genre de plaisanterie se termine en grosse cagade genre Titanic.
Vous vous souvenez, pour les plus grisonnants d’entre nous, du vieux temps de « Giscard à la barre »? Certes nous étions déjà à l’époque plutôt mal barrés, cependant le bien nommé Raymond Barre la tenait tout de même et arrivait à garder un cap susceptible de nous conduire plus ou moins à bon port. Le Président s’employait à amuser la galerie, à caresser les gauchiards de l’époque dans le sens du poil (on sait combien ça lui a réussi), pendant que le Premier Ministre faisait son boulot autant que possible, en dépit des crachats, des lazzi et des critiques imbéciles d’une presse toute dévouée à la promotion de Tonton, triomphateur souhaité de la présidentielle suivante. En ces temps déjà fort anciens, ce qui ne nous rajeunit pas, la raison l’emportait encore à peu près, au sommet de l’État, en tout cas sur l’essentiel. L’économie se trouvait préservée, les finances restaient parfaitement saines, le pays ne progressait plus, certes, mais il n’avait pas encore commencé à reculer, cela viendrait, bien sûr, dès l’arrivée au pouvoir du successeur précité, lequel se fit élire en lâchant à la grande famille de gauche un lest précieux, définitivement perdu en dépit d’un changement de cap survenu après deux ans de dilapidation et de déconnages en tout genre. Le Tonton flingueur fut à ce titre le premier fossoyeur de la France sous la cinquième répupu, alors que son prédécesseur n’en fut que le premier président-clown, un précurseur, tout de même, reconnaissons-le, car nous connûmes par la suite trois de ses disciples qui parvinrent, chacun avec son talent propre, à faire encore mieux que lui: le defunessien Sarko, le bourvillesque Hollandouille et le palmadoïde Macreux, lesquels demeureront sûrement dans l’histoire au même titre que leurs modèles du show-biz, sauf que, bien entendu, ils nous aurons coûté infiniment plus cher. Quant à Giscard, il restera à jamais l’homme de l’avortement en vente libre et celui du regroupement familial; celui qui permit à nos femmes de cesser d’enfanter, tout en favorisant l’éclosion d’une population nouvelle, française par la grâce du droit du sol et grassement financée par nos cotisations sociales. Un chouette bilan, certes, que Giscard regretta amèrement par la suite mais le mal était fait et devait être lourdement aggravé par ses successeurs de gauche, ceux dits « de droite » s’étant contentés de gérer le truc tant bien que mal, plutôt mal d’ailleurs si l’on en juge par l’évolution avant-après. Aussi bien les douze ans de Chirac que les cinq de Sarko, se sont-ils soldés par la progression constante et immaîtrisée de l’invasion. Ce n’est pas le Président qui est en cause, c’est bel et bien la Répupu, elle est comme ça, elle nous drosse tranquillement sur les récifs par la grâce de ses Valeurs, de ses substrats jacobins et de ses rigidités obtuses.
Cela dit, pour en revenir à notre petit Présipède actuel, comme je vous le disais c’est une véritable calamité. Ce type nous a trouvé la « guerre » contre le covid, le « quoi qu’il en coûte » (quoi qu’il vous en coûte, parce que lui, il s’en sortira), le virus dépourvu de passeport et je ne sais plus quelles autres âneries, vu qu’il en produit comme qui la jette, un vrai bonheur. Mais désormais, il a décidé d’aller encore plus loin dans la forfaiture crétinifère. Le mec vient en effet de donner une interview à Brut… Ah? Ça ne vous dis rien ça, Brut? Mais non, pas comme le Champagne, ça n’a rigoureusement rien à voir. Brut (sans e final mais ça pourrait), apparaît comme un medium « jeune », un truc à base de vidéos, vu qu’aux jeunes il faut des images, sans quoi ils lâchent de suite, incapables de capter ce que l’école de la Répupu a cessé depuis belle lurette de leur apprendre. De petits malins plus ou moins issus de Canal+, si ça se trouve des potes de notre joli président, ont mis au point en 2016 ce bidule destiné à bourrer le mou, par réseaux sociaux interposés, aux petits merdeux utilisateurs de smartphones… et accessoirement de se faire un max de pognon. L’histoire ne dit pas si le machin fonctionne, ce n’est pas parce que jamais auparavant nous n’en entendîmes parler qu’il faut en déduire le contraire, mais en tout cas, pour Présipède la question ne se posait pas, Brut serait le vecteur de sa pensée profonde à destination des générations bi-milléniales… et aussi bisexuelles, oui, pourquoi pas?
Et donc, j’y viens, qu’est-ce qu’il leur a raconté, aux merdeux, pendant deux bonnes heures? Eh bien écoutez, d’abord je vous sors la plus belle (mais non, voyons, je ne dis pas cela, sans compter que ce serait prétentieux de ma part), figurez vous qu’il a déclaré, s’adressant aux jeunes issus de l’immigration trimballant la nationalité franchouille « vous êtes une chance pour la République »! Ça vous la coupe, non? Voilà bien longtemps que personne n’avait osé la proférer, celle-là, eh bien lui oui! Quand je vous le dis qu’il ne recule devant aucune énormité! Notez qu’il a adapté la formule, n’est-ce pas, « chance pour la France » devient avec lui « chance pour la République », vous saisissez la nuance? Oui, évidemment ce n’est pas la même chose, la Répupu a des intérêts propres et ils sont la plupart du temps contraires aux intérêts du pays, donc, ce qui constitue une chance pour la première peut très bien apparaître comme une malédiction pour le second, il y a de la logique là dedans, ça tient la route si on regarde bien.
Et après, il a dit essentiellement deux choses, Présipède, sur les ondes Brutales, la première c’est que les contrôles au faciès sont une réalité incontestable et la seconde qu’il se propose de mettre en place une plateforme téléphonique pour offrir aux « jeunes », malheureuses victimes desdits contrôles, l’opportunité de dénoncer les sales flics qui les ont pratiqués. Et pendant qu’on y est, on pourra aussi s’en servir pour signaler tous les salauds d’employeurs et de propriétaires présumés discriminateurs… Nous allons connaître les joies du totalitarisme fasciste à la sauce République en Marche (ou crève)! S’ajoute à cela que Macrouille évalue à environ cinq pour cent des Forces de l’Ordre, les effectifs de policiers racistes et violents, l’idée émise étant « 95% des poulets sont à peu près corrects »…sauf qu’ils contrôlent quand même au faciès! Et après cela vous voudriez qu’ils matent les manifs de gentlemen de gauche encagoulés, vous, ces pauvres condés? Voilà donc en substance ce que la plus haute autorité de l’État s’est permis d’aller proférer sur une proto-chaîne d’info douteuse autant que probablement séditieuse. Ce type parvient à nous faire regretter tous ses prédécesseurs, feu Giscard, bien sûr et même -pas-encore-feu- Hollandouille! Avouez qu’il fallait le faire!
C’est bien le pire de tous, non, vous ne croyez pas?
Allez, faites vous bien gras et portez vous comme des charmes…et méfiez vous surtout du Coranovirus !
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
Cela dit, pour en revenir à notre petit Présipède actuel, comme je vous le disais c’est une véritable calamité. Ce type nous a trouvé la « guerre » contre le covid, le « quoi qu’il en coûte » (quoi qu’il vous en coûte, parce que lui, il s’en sortira), le virus dépourvu de passeport et je ne sais plus quelles autres âneries, vu qu’il en produit comme qui la jette, un vrai bonheur. Mais désormais, il a décidé d’aller encore plus loin dans la forfaiture crétinifère. Le mec vient en effet de donner une interview à Brut… Ah? Ça ne vous dis rien ça, Brut? Mais non, pas comme le Champagne, ça n’a rigoureusement rien à voir. Brut (sans e final mais ça pourrait), apparaît comme un medium « jeune », un truc à base de vidéos, vu qu’aux jeunes il faut des images, sans quoi ils lâchent de suite, incapables de capter ce que l’école de la Répupu a cessé depuis belle lurette de leur apprendre. De petits malins plus ou moins issus de Canal+, si ça se trouve des potes de notre joli président, ont mis au point en 2016 ce bidule destiné à bourrer le mou, par réseaux sociaux interposés, aux petits merdeux utilisateurs de smartphones… et accessoirement de se faire un max de pognon. L’histoire ne dit pas si le machin fonctionne, ce n’est pas parce que jamais auparavant nous n’en entendîmes parler qu’il faut en déduire le contraire, mais en tout cas, pour Présipède la question ne se posait pas, Brut serait le vecteur de sa pensée profonde à destination des générations bi-milléniales… et aussi bisexuelles, oui, pourquoi pas?
Et donc, j’y viens, qu’est-ce qu’il leur a raconté, aux merdeux, pendant deux bonnes heures? Eh bien écoutez, d’abord je vous sors la plus belle (mais non, voyons, je ne dis pas cela, sans compter que ce serait prétentieux de ma part), figurez vous qu’il a déclaré, s’adressant aux jeunes issus de l’immigration trimballant la nationalité franchouille « vous êtes une chance pour la République »! Ça vous la coupe, non? Voilà bien longtemps que personne n’avait osé la proférer, celle-là, eh bien lui oui! Quand je vous le dis qu’il ne recule devant aucune énormité! Notez qu’il a adapté la formule, n’est-ce pas, « chance pour la France » devient avec lui « chance pour la République », vous saisissez la nuance? Oui, évidemment ce n’est pas la même chose, la Répupu a des intérêts propres et ils sont la plupart du temps contraires aux intérêts du pays, donc, ce qui constitue une chance pour la première peut très bien apparaître comme une malédiction pour le second, il y a de la logique là dedans, ça tient la route si on regarde bien.
Et après, il a dit essentiellement deux choses, Présipède, sur les ondes Brutales, la première c’est que les contrôles au faciès sont une réalité incontestable et la seconde qu’il se propose de mettre en place une plateforme téléphonique pour offrir aux « jeunes », malheureuses victimes desdits contrôles, l’opportunité de dénoncer les sales flics qui les ont pratiqués. Et pendant qu’on y est, on pourra aussi s’en servir pour signaler tous les salauds d’employeurs et de propriétaires présumés discriminateurs… Nous allons connaître les joies du totalitarisme fasciste à la sauce République en Marche (ou crève)! S’ajoute à cela que Macrouille évalue à environ cinq pour cent des Forces de l’Ordre, les effectifs de policiers racistes et violents, l’idée émise étant « 95% des poulets sont à peu près corrects »…sauf qu’ils contrôlent quand même au faciès! Et après cela vous voudriez qu’ils matent les manifs de gentlemen de gauche encagoulés, vous, ces pauvres condés? Voilà donc en substance ce que la plus haute autorité de l’État s’est permis d’aller proférer sur une proto-chaîne d’info douteuse autant que probablement séditieuse. Ce type parvient à nous faire regretter tous ses prédécesseurs, feu Giscard, bien sûr et même -pas-encore-feu- Hollandouille! Avouez qu’il fallait le faire!
C’est bien le pire de tous, non, vous ne croyez pas?
Allez, faites vous bien gras et portez vous comme des charmes…et méfiez vous surtout du Coranovirus !
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.