On optimise les coûts d’équipage et salariaux en allant dans des pays sans charges et sans impôts comme l’Irlande.
On optimise les taxes d’aéroport en décollant de Beauvais et pas de Roissy.
On optimise le remplissage de ses avions, des lignes, des destinations et des rotations.
On supprime les services à bord en rendant tout payant ce qui transforme une hôtesse en serveuse volante de bar !
Au bout du compte, on obtient un modèle rentable et fragile.
Dans le contexte de pandémie actuel, EasyJet, pour la première fois de son existence, prévoit une perte annuelle avant impôt d’environ 900 millions d’euros conséquence de l’effondrement du nombre de passagers transporté qui a chuté de 50 %.
Le Directeur Général de la compagnie Johan Lundgren appelle le gouvernement anglais à l’aide. « Le secteur aérien continue de faire face à la menace la plus grave de son histoire et le gouvernement britannique doit de manière urgente intervenir avec un ensemble de mesures dédiées afin que les compagnies puissent aider à la reprise économique« .
C’est sans doute la fin d’un modèle, celui du low-cost, et du transport de masse par avion à pas cher !
Charles SANNAT
Source France Info ici
On optimise les taxes d’aéroport en décollant de Beauvais et pas de Roissy.
On optimise le remplissage de ses avions, des lignes, des destinations et des rotations.
On supprime les services à bord en rendant tout payant ce qui transforme une hôtesse en serveuse volante de bar !
Au bout du compte, on obtient un modèle rentable et fragile.
Dans le contexte de pandémie actuel, EasyJet, pour la première fois de son existence, prévoit une perte annuelle avant impôt d’environ 900 millions d’euros conséquence de l’effondrement du nombre de passagers transporté qui a chuté de 50 %.
Le Directeur Général de la compagnie Johan Lundgren appelle le gouvernement anglais à l’aide. « Le secteur aérien continue de faire face à la menace la plus grave de son histoire et le gouvernement britannique doit de manière urgente intervenir avec un ensemble de mesures dédiées afin que les compagnies puissent aider à la reprise économique« .
C’est sans doute la fin d’un modèle, celui du low-cost, et du transport de masse par avion à pas cher !
Charles SANNAT
Source France Info ici
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