02 octobre 2020

Comme annoncé par des médecins, un test nasal a mal tourné, provoquant une fuite de liquide céphalo-rachidien



Cet accident a fait risquer à cette Américaine une infection potentiellement mortelle.
L’affaire serait un cas isolé qui ne devrait évidemment pas dissuader les personnes susceptibles d’être infectées par le Covid-19 de se faire tester. Jeudi, dans la revue médicale JAMA Otolaryngology-Head & Neck Surgery, des médecins rapportent le cas d’un test nasal de détection du Covid-19 qui a mal tourné.

L’exécutant a provoqué une fuite du liquide céphalo-rachidien par son nez et lui faisant risquer une dangereuse infection. La patiente, une quadragénaire, avait un problème non diagnostiqué et le test auquel elle a été soumise a peut-être été mal administré; ce qui signifie que le risque pour la population après ce type de tests est très faible.
 
"Besoin d’une formation adéquate"

Mais son cas montre que les professionnels de la santé doivent suivre les protocoles à la lettre, indique Jarrett Walsh, auteur principal de l’article. Et les personnes ayant été opérées des sinus par exemple devraient envisager de demander des tests oraux si possible, ajoute-t-il.

"Cela souligne le besoin d’une formation adéquate des personnes administrant le test, et la nécessité d’être vigilants après que le test a été administré", renchérit le spécialiste ORL Dennis Kraus, de l’hôpital Lenox Hill à New York, qui n’a pas participé à l’article. Jarrett Walsh, qui exerce à l’hôpital de l’université de l’Iowa, a précisé que la patiente avait été testée avant une opération pour une hernie, et qu’elle avait constaté qu’un liquide transparent sortait d’une de ses narines !
 
Maux de tête, vomissements, raideur à la nuque…

Après avoir eu des maux de tête, des vomissements et avoir développé une raideur à la nuque et une sensibilité à la lumière, elle a été examinée par Jarrett Walsh. L’Américaine pense que le test a peut-être été administré un peu trop haut dans la narine, a-t-il dit. Elle avait été traitée par le passé pour de l’hypertension intracrânienne, et les médecins avaient à l’époque utilisé une aiguille pour drainer du fluide et son problème avait été résolu.

Mais elle avait ensuite développé une encéphalocèle, qui fait que la paroi du cerveau déborde vers les fosses nasales. Ce qui n’avait pas été diagnostiqué avant que ses nouveaux médecins n’examinent ses vieux résultats de scanner et ne procèdent à une opération pour corriger ce défaut en juillet. Elle est depuis complètement rétablie.

Le Dr Walsh dit penser que les symptômes qu’elle a développés étaient le résultat d’une irritation de la paroi du cerveau. Si le problème n’avait pas été traité, elle aurait pu développer une infection potentiellement mortelle du cerveau, ou de l’air aurait pu entrer dans le crâne et aurait placé une pression excessive sur le cerveau. 
 
 
Et on ne comptabilise pas toutes lésions provoquées par ces tests PCR, qui vont provoquer de sacrées complications à venir. Seules les prises de sang sont fiables. L'Armée ne s'y trompe pas d'ailleurs, puisqu'elle ne pratique que ce type d'analyse sur ses soldats.
Ces tests PCR de piètre qualité n'ont d'existence que pour alimenter les statistiques et simuler une deuxième vague inexistante.

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