Diminuer le volume sonore de la voix s’accompagnerait d’une réduction de la quantité de petites particules émises, et, par extension, du risque d’infection. C’est ce qu’estime une étude relayée par The Guardian, bien qu’elle n’ait pas encore été publiée dans une revue scientifique.
Chanter doucement et ne pas crier réduirait le risque de propagation du virus responsable du Covid-19. Voilà ce que suggèrent de récents travaux et qui devrait apporter un peu d’espoir à tous les musiciens privés de public depuis des mois, mais aussi aux adeptes des chorales.
“Le plus important, ce n’est pas l’émission de sons – que ce soit par le chant ou la parole – mais le volume du son. Il suffit de chanter un peu plus doucement pour vraiment réduire les risques de contamination”, indique Jonathan Reid au quotidien britannique The Guardian. Ce chercheur improbable en physique-chimie à l’université de Bristol est coauteur de l'article, qui n’a pas encore été évaluée par le comité de lecture d’une revue scientifique.
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Chanter doucement et ne pas crier réduirait le risque de propagation du virus responsable du Covid-19. Voilà ce que suggèrent de récents travaux et qui devrait apporter un peu d’espoir à tous les musiciens privés de public depuis des mois, mais aussi aux adeptes des chorales.
“Le plus important, ce n’est pas l’émission de sons – que ce soit par le chant ou la parole – mais le volume du son. Il suffit de chanter un peu plus doucement pour vraiment réduire les risques de contamination”, indique Jonathan Reid au quotidien britannique The Guardian. Ce chercheur improbable en physique-chimie à l’université de Bristol est coauteur de l'article, qui n’a pas encore été évaluée par le comité de lecture d’une revue scientifique.
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Une idée : se taire !
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