Voici venir à nouveau l’ Aïd El Kébir ! Belle fête s’il en est, sauf pour les moutons, évidemment…nous ne saurions toutefois reprocher à nos amis Muz l’abattage rituel et certes un peu barbare des pauvres ovins, quand on sait le sort que nous autres Chrétiens réservons aux braves cochons le jour où nous décidons souverainement de les transformer en saucissons et autre boudins; sans parler du massacre des dindes aux abords de Noël ! Chacun sa petite saloperie envers les malheureux animaux. Ils partagent nos existences avec la naïve conviction du couillon prêtant les meilleures intentions au salaud qui l’engraisse à des fins assassines. Surtout qu’ils ont l’excuse d’Ibrahim, les Mahométans. Ibrahim, enfin Abraham pour les intimes mais c’est pareil vu que ces copains-là ignorent les voyelles et se démerdent exclusivement avec un gros sac de consonnes bien rugueuses, parfaitement adaptées à leur parler rocailleux. Ibrahim, vous disais-je c’est le mec qui entendait égorger son propre fils sous prétexte que Dieu l’avait exigé! Il faut ignorer, bien sûr, le côté abominable de l’acte en question, cela remonte aux temps bibliques… autrement dit gobons sans arrière-pensée, vu que la soumission à l’Éternel primait alors sur toute autre considération. Vous me direz qu’à notre époque nous pourrions peut être voir les choses sous un angle un peu moins abject, mais je vous répondrai que les sacrifices humains ont laissé la place depuis belle lurette au zigouillage de pauvres bêtes. C’est d’autant moins idiot qu’ensuite on les bouffe, ce qui n’eût certainement pas été le cas du petit Ismaël si le souffle divin n’eût arrêté le bras du papa infanticide, juste avant qu’il ne s’abatte. Manquerait plus que ça, dites donc! Vous voyez Yaveh…oui enfin Allah, pour le coup, qui ordonne à Ibrahim: « En vérité Je te le dis, tu le zigouilles, tu le saignes, et puis tu le fais revenir dans l’huile d’olive, après-quoi, trois heures à feu doux et tu sers avec des pommes de terres cuites dans le jus! » Eh bien vous me croyez si vous voulez mais je vous fous mon billet qu’en pareille hypothèse Ismaël finissait au fond des estomacs de la tribu, sans parler de la suite! Voilà l’amour de Dieu, prenez-en de la graine !
Donc, l’Aîd c’est tout de même beaucoup mieux. Vous avez bien Brigitte Bardot qui dénonce la manière pas sympa du tout employée à l’encontre des myriades de bestiaux qu’on massacre à cette occasion, mais vous savez, je me souviens de ce que mon aïeul Nouratin 1er faisait aux lapins du clapier, c’est du kif, pour parler comme à l’époque et j’en suis d’autant moins fier que je me délectais du spectacle…d’accord j’avais huit ans, mais est-ce vraiment une excuse? Tout ça pour vous dire que s’il y a plein de trucs à reprocher à nos copains Muz, la dernière idée qui me viendrait serait d’aller les titiller sur leur fête à la con. On trouvera par ailleurs un assez large embarras du choix, sans problème !
Juste un détail et après je vous fous la paix avec ces histoires de moutons égorgés en l’honneur d’Allah et du plaisir convivial qui préside à leur consommation. Hier je passais par hasard dans le quartier des abattoirs…je ne vous dis pas le nombre de burnous entassés les uns contre les autres qui se pressaient devant l’entrée d’un boucher hallal…pas vu de masques ni de gestes barrière…on dirait que les recommandations du CFCM, les fidèles de base n’en ont pas grand chose à astiquer! Après, faut reconnaître que mektoub, hein ! La volonté du Tout Puissant Miséricordieux, les mesures prophylactiques et autres fadaises occidentalisées, elle s’en fout comme de l’an cinq-cent-trente…ben oui quoi, l’an quarante avant Mahomet, faut tout vous dire, flûte!
Comme promis, je passe donc à autre chose, l’invasion du pays par les affidés du Prophète reste un sujet, certes passionnant, mais son côté insensiblement génocidaire n’apparaît pas de nature à nous remonter le moral. Les vraies victimes de l’avancée de l’Islam, les moutons blancs bipèdes, appartiennent à deux catégories, ceux qui adorent se faire virtuellement égorger et les autres. Nous, qui relevons manifestement de la seconde, trouvons notre plaisir dans de petites choses moins désagréables, les fleurs, les oiseaux qui gazouillent, la petite culotte de Pompy, les politicards évincés, comme Castapiane, les politicardes enterrées, comme Ségo La Pintade, bref les joies modestes d’une vie qui l’est tout autant. On se contente de peu, n’est-ce pas, et on a raison parce qu’on n’aura rien de plus, tout le reste n’est que déplaisant, désagréable, démoralisant, déprimant, déroutant…enfin tout ce qui commence par dé…sauf Dédé La Merguez, quand même, le charcutier Pied-Noir de la Place! Celui-là quand il apporte sa production DERRIERE NAPOLEON comme pas plus tard que ce matin, c’est carrément la fête. Encore convient-il de préciser que s’il a débarqué chez nous un beau jour de 62, Dédé, vu qu’il avait dix ans à l’époque on peut le considérer lui aussi comme une victime expiatoire de nos voisins d’en face, nos amis d’Algérie. Mais c’est tout de même aussi grâce à ces derniers qu’on se tape soubressade, boutiflard, blanquico, mouna et autres marcillas ! Faut reconnaître, y a pas que du mauvais dans la colonisation quand elle cesse, rendez vous compte, c’est même à cela que nous devons Darmanin (1) ! Alors !
Tout ça pour vous dire que ça fonctionne à bloc, chez Thérèse, un vrai paradis pour rescapés provisoires du coronavirus…et tout aussi provisoirement, bien sûr, du Coranovirus. Le rosé frais coule à flots car, nul n’en ignore, la canicule exige, encore plus que d’ordinaire, l’absorption de liquide en grande quantité, surtout chez le sujet-âgé, voyez vous, faut s’humecter de partout, surtout dans le corgnolon. Indispensable! Question de vie ou de mort! Sans compter que les salaisons de Dédé, vous n’imaginez pas à quel point ça donne soif !
Nous voilà donc attablés, en ce beau Dimanche de 32° à l’ombre, à boulotter des cochonnailles arrosées au Côte de Provence. La pénombre propice du bistrot et la fraîcheur induite, poussent à la consommation. A la conversation aussi, avec un sujet tout trouvé, cette pandémie à la con de virus chinetoque qui n’en finit plus de durer, de repartir, de nous assommer de clusters, de deuxième vague, d’obligation de se masquer la gueule sous peine d’amende, de déclarations d’experts patentés par BFM TV et d’annonces plus ou moins contradictoires émanant d’innombrables autorités sanitaires qui profèrent tout un monceau de conneries depuis le début de cette infection. La dernière en date venant de l’Organisation Mondiale de la Santé, noble institution dont nous avons pu apprécier tout l’intérêt. Cela ne sert manifestement à rien, sauf à entretenir un tas de fonctionnaires internationaux grassement payés et exonérés d’impôts. Ce n’est évidemment pas négligeable, sauf pour ce salaud de Trump, encore une fois, qui leur a retiré les subsides U.S. au motif qu’un machin inutile on ne voit aucune raison valable de se le payer. Vous réalisez la mentalité de ce type, hein! Or donc l’OMS en question vient de nous déclarer, par la voix de son Directeur Général, M. Ghébréjésus (ghébréamen) et avec la tranquille assurance de ceux qui savent et s’adressent à un vulgum pecus ignare: « Ce sera très long. Cette pandémie est une crise sanitaire comme on n’en voit qu’une par siècle et ses effets seront ressentis pour les décennies à venir. La plupart des habitants de la planète peuvent être touchés, même ceux qui n’habitent pas dans les zones durement affectées«. Putain d’adèle! Vous réalisez ? On n’en verra pas la fin quoi ! A nos âges va falloir se l’encaper jusqu’au bout, le virus, jusqu’à ce que la mort nous sépare ! Mince alors, il en a de bonne, le monsieur Machinjésus ! Sans compter qu’au fond il n’en sait absolument que dalle, pas plus que vous et moi ou n’importe qui… Oui mais bon, n’oublions surtout pas ces centaines de laboratoires qui cherchent le vaccin, les remèdes, tout ça… Vous le voyez Ghébréjésus qui viendrait nous sortir ex-abrupto: « ho ben la pandémie c’est du peu au jus, d’ici deux-trois mois on n’en parlera même plus… » comme l’avançait le camarade Didier, le savant de Marseille, avant qu’on ne le cloue au pilori du médiatiquement intolérable. Vous réalisez le souk qu’il foutrait dans le bizness des gens qui le financent, le Ghébréchose ? Ne nous étonnons pas, en conséquence, qu’il nous la prédise longue et dure … mais oui, enfin, la pandémie voyons ! Qu’allez vous encore imaginer!
Allez, bonne semaine à tous et veillez bien à passer à l’ombre.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) Petit-fils d’un harki rescapé du massacre post-décolonisation.
Donc, l’Aîd c’est tout de même beaucoup mieux. Vous avez bien Brigitte Bardot qui dénonce la manière pas sympa du tout employée à l’encontre des myriades de bestiaux qu’on massacre à cette occasion, mais vous savez, je me souviens de ce que mon aïeul Nouratin 1er faisait aux lapins du clapier, c’est du kif, pour parler comme à l’époque et j’en suis d’autant moins fier que je me délectais du spectacle…d’accord j’avais huit ans, mais est-ce vraiment une excuse? Tout ça pour vous dire que s’il y a plein de trucs à reprocher à nos copains Muz, la dernière idée qui me viendrait serait d’aller les titiller sur leur fête à la con. On trouvera par ailleurs un assez large embarras du choix, sans problème !
Juste un détail et après je vous fous la paix avec ces histoires de moutons égorgés en l’honneur d’Allah et du plaisir convivial qui préside à leur consommation. Hier je passais par hasard dans le quartier des abattoirs…je ne vous dis pas le nombre de burnous entassés les uns contre les autres qui se pressaient devant l’entrée d’un boucher hallal…pas vu de masques ni de gestes barrière…on dirait que les recommandations du CFCM, les fidèles de base n’en ont pas grand chose à astiquer! Après, faut reconnaître que mektoub, hein ! La volonté du Tout Puissant Miséricordieux, les mesures prophylactiques et autres fadaises occidentalisées, elle s’en fout comme de l’an cinq-cent-trente…ben oui quoi, l’an quarante avant Mahomet, faut tout vous dire, flûte!
Comme promis, je passe donc à autre chose, l’invasion du pays par les affidés du Prophète reste un sujet, certes passionnant, mais son côté insensiblement génocidaire n’apparaît pas de nature à nous remonter le moral. Les vraies victimes de l’avancée de l’Islam, les moutons blancs bipèdes, appartiennent à deux catégories, ceux qui adorent se faire virtuellement égorger et les autres. Nous, qui relevons manifestement de la seconde, trouvons notre plaisir dans de petites choses moins désagréables, les fleurs, les oiseaux qui gazouillent, la petite culotte de Pompy, les politicards évincés, comme Castapiane, les politicardes enterrées, comme Ségo La Pintade, bref les joies modestes d’une vie qui l’est tout autant. On se contente de peu, n’est-ce pas, et on a raison parce qu’on n’aura rien de plus, tout le reste n’est que déplaisant, désagréable, démoralisant, déprimant, déroutant…enfin tout ce qui commence par dé…sauf Dédé La Merguez, quand même, le charcutier Pied-Noir de la Place! Celui-là quand il apporte sa production DERRIERE NAPOLEON comme pas plus tard que ce matin, c’est carrément la fête. Encore convient-il de préciser que s’il a débarqué chez nous un beau jour de 62, Dédé, vu qu’il avait dix ans à l’époque on peut le considérer lui aussi comme une victime expiatoire de nos voisins d’en face, nos amis d’Algérie. Mais c’est tout de même aussi grâce à ces derniers qu’on se tape soubressade, boutiflard, blanquico, mouna et autres marcillas ! Faut reconnaître, y a pas que du mauvais dans la colonisation quand elle cesse, rendez vous compte, c’est même à cela que nous devons Darmanin (1) ! Alors !
Tout ça pour vous dire que ça fonctionne à bloc, chez Thérèse, un vrai paradis pour rescapés provisoires du coronavirus…et tout aussi provisoirement, bien sûr, du Coranovirus. Le rosé frais coule à flots car, nul n’en ignore, la canicule exige, encore plus que d’ordinaire, l’absorption de liquide en grande quantité, surtout chez le sujet-âgé, voyez vous, faut s’humecter de partout, surtout dans le corgnolon. Indispensable! Question de vie ou de mort! Sans compter que les salaisons de Dédé, vous n’imaginez pas à quel point ça donne soif !
Nous voilà donc attablés, en ce beau Dimanche de 32° à l’ombre, à boulotter des cochonnailles arrosées au Côte de Provence. La pénombre propice du bistrot et la fraîcheur induite, poussent à la consommation. A la conversation aussi, avec un sujet tout trouvé, cette pandémie à la con de virus chinetoque qui n’en finit plus de durer, de repartir, de nous assommer de clusters, de deuxième vague, d’obligation de se masquer la gueule sous peine d’amende, de déclarations d’experts patentés par BFM TV et d’annonces plus ou moins contradictoires émanant d’innombrables autorités sanitaires qui profèrent tout un monceau de conneries depuis le début de cette infection. La dernière en date venant de l’Organisation Mondiale de la Santé, noble institution dont nous avons pu apprécier tout l’intérêt. Cela ne sert manifestement à rien, sauf à entretenir un tas de fonctionnaires internationaux grassement payés et exonérés d’impôts. Ce n’est évidemment pas négligeable, sauf pour ce salaud de Trump, encore une fois, qui leur a retiré les subsides U.S. au motif qu’un machin inutile on ne voit aucune raison valable de se le payer. Vous réalisez la mentalité de ce type, hein! Or donc l’OMS en question vient de nous déclarer, par la voix de son Directeur Général, M. Ghébréjésus (ghébréamen) et avec la tranquille assurance de ceux qui savent et s’adressent à un vulgum pecus ignare: « Ce sera très long. Cette pandémie est une crise sanitaire comme on n’en voit qu’une par siècle et ses effets seront ressentis pour les décennies à venir. La plupart des habitants de la planète peuvent être touchés, même ceux qui n’habitent pas dans les zones durement affectées«. Putain d’adèle! Vous réalisez ? On n’en verra pas la fin quoi ! A nos âges va falloir se l’encaper jusqu’au bout, le virus, jusqu’à ce que la mort nous sépare ! Mince alors, il en a de bonne, le monsieur Machinjésus ! Sans compter qu’au fond il n’en sait absolument que dalle, pas plus que vous et moi ou n’importe qui… Oui mais bon, n’oublions surtout pas ces centaines de laboratoires qui cherchent le vaccin, les remèdes, tout ça… Vous le voyez Ghébréjésus qui viendrait nous sortir ex-abrupto: « ho ben la pandémie c’est du peu au jus, d’ici deux-trois mois on n’en parlera même plus… » comme l’avançait le camarade Didier, le savant de Marseille, avant qu’on ne le cloue au pilori du médiatiquement intolérable. Vous réalisez le souk qu’il foutrait dans le bizness des gens qui le financent, le Ghébréchose ? Ne nous étonnons pas, en conséquence, qu’il nous la prédise longue et dure … mais oui, enfin, la pandémie voyons ! Qu’allez vous encore imaginer!
Allez, bonne semaine à tous et veillez bien à passer à l’ombre.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) Petit-fils d’un harki rescapé du massacre post-décolonisation.
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