Le professeur canadien Denis Rancourt associé aux chercheurs Jérémie Mercier et Marine Baudin vient de publier une nouvelle étude sur ResearchGate.net, qui examine la mortalité en France ces derniers mois avec une approche historique de la mortalité toutes causes confondues depuis 1946. Cliquez ici pour télécharger l’étude complète (en anglais). Extraits et vidéo ci-dessous.
Nous avons analysé les données historiques et récentes de mortalité toutes causes confondues pour la France et d’autres juridictions à des fins de comparaison, en lissant une courbe théorique pour quantifier les décès dus à la charge hivernale et les décès dus à des événements exceptionnels. De cette façon, on peut observer le Covid-19 avec une perspective historique. Ainsi, nous prouvons que le « pic COVID » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris la France, ne peut pas être un événement épidémiologique naturel ayant survenu de façon naturelle, en l’absence d’une grande perturbation non pathogène. Nous sommes convaincus que le « pic COVID » est artificiel car :
1. il s’est produit brusquement (largeur d’un mois) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin mars),
2. il est absent dans de nombreuses juridictions (34 des États américains n’ont pas de « pic COVID »), et
3. l’ampleur de ce pic varie considérablement d’une juridiction à l’autre.
Nous suggérons que :
la quarantaine de masse et l’isolement strict sans précédent des personnes âgées malades et en bonne santé, ensemble et séparément, a tué beaucoup d’entre eux,
que cette quarantaine et cet isolement sont la cause de l’événement « pic- COVID » que nous avons quantifié,
et que le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress psychologique et l’isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur santé.
Selon nos calculs, ces mesures ont provoqué quelques 30,2 K décès en France en mars et avril 2020. Cependant, même en incluant le « pic COVID », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui nous amène à affirmer que le SARS-CoV-2 n’est pas un virus responsable de maladies respiratoires inhabituellement virulent.
En analysant les données de mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020, nous avons également identifié une augmentation importante et régulière de la mortalité toutes causes confondues qui a commencé vers 2008, trop importante pour être expliquée par la croissance de la population étant donné la pyramide des âges, mais qui pourrait être liée à la crise économique de 2008 et à ses conséquences sociétales sur le long terme.
Vidéo explicative :
Nous avons analysé les données historiques et récentes de mortalité toutes causes confondues pour la France et d’autres juridictions à des fins de comparaison, en lissant une courbe théorique pour quantifier les décès dus à la charge hivernale et les décès dus à des événements exceptionnels. De cette façon, on peut observer le Covid-19 avec une perspective historique. Ainsi, nous prouvons que le « pic COVID » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris la France, ne peut pas être un événement épidémiologique naturel ayant survenu de façon naturelle, en l’absence d’une grande perturbation non pathogène. Nous sommes convaincus que le « pic COVID » est artificiel car :
1. il s’est produit brusquement (largeur d’un mois) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin mars),
2. il est absent dans de nombreuses juridictions (34 des États américains n’ont pas de « pic COVID »), et
3. l’ampleur de ce pic varie considérablement d’une juridiction à l’autre.
Nous suggérons que :
la quarantaine de masse et l’isolement strict sans précédent des personnes âgées malades et en bonne santé, ensemble et séparément, a tué beaucoup d’entre eux,
que cette quarantaine et cet isolement sont la cause de l’événement « pic- COVID » que nous avons quantifié,
et que le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress psychologique et l’isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur santé.
Selon nos calculs, ces mesures ont provoqué quelques 30,2 K décès en France en mars et avril 2020. Cependant, même en incluant le « pic COVID », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui nous amène à affirmer que le SARS-CoV-2 n’est pas un virus responsable de maladies respiratoires inhabituellement virulent.
En analysant les données de mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020, nous avons également identifié une augmentation importante et régulière de la mortalité toutes causes confondues qui a commencé vers 2008, trop importante pour être expliquée par la croissance de la population étant donné la pyramide des âges, mais qui pourrait être liée à la crise économique de 2008 et à ses conséquences sociétales sur le long terme.
Vidéo explicative :
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