25 juillet 2020

Covid : Lettre ouverte du Dr Christian Zürcher aux parlementaires fédéraux


Cela faisait un moment que j'attendais une réaction de la société civile et en particulier de médecin(s) face à la dérive sanitaire dans laquelle nous nous enfonçons toujours plus. Si des initiatives salutaires de cet ordre ont déjà eu lieu en France (avec le collectif de médecins pour la liberté de prescrire) et en Allemagne (avec la commission d'enquête extra-parlementaire qui s'est auto-constituée, réunissant d'excellents experts), notre "si démocratique" Helvétie faisait grise mine entre un Parlement un peu sonné et une population amorphe.

C'est donc peu dire que l'initiative du Dr Zürcher me paraît essentielle.

Il y fait part de son point de vue de médecin et de citoyen, passant en revue les grandes scories de l'époque (comme les conflits d'intérêts au sein des comités d'experts, le rôle problématique de la presse ou la déformation des faits dans le discours des autorités). Bref, des interpellations aussi saines que possibles si l'on est (encore) capable d'un débat d'idées et inconditionnellement attaché aux processus de décision démocratique.

Valeurs certes quelque peu mises à mal par la triade autorités/pouvoir médical/médias qui s'est substituée sans grands scrupules aux principes de bonne gouvernance devant prévaloir en la matière.

Les médecins ayant été pris en otage d'une manière sans précédent dans cette dérive, il est plus qu'heureux qu'ils sonnent le signal d'une contestation et réclament l'inventaire intellectuel, scientifique et politique urgent des décision qui ont été imposées à la population en violation de nombre de ses droits fondamentaux et constitutionnels.

Espérons que la démarche du Dr Zürcher trouvera des oreilles attentives auprès des parlementaires des deux chambres fédérales !


Lettre ouverte adressée au Parlement suisse


Ce que vous devez encore savoir MAINTENANT – aides actualisées pour la prise de décision

Projet de loi fédérale sur le Coronavirus mis en consultation par le Conseil fédéral

Lettre adressée aux Parlementaires fédéraux – Conseillères et Conseillers nationaux et aux États

Berne, le 22 juillet 2020

Avec le début de la session d’automne, il se pourrait bien que soit prise par le Parlement fédéral une décision lourde de conséquences pour le futur du peuple suisse.

Entre autres, le Conseil fédéral souhaite, pour le moment du moins, prolonger jusqu’en 2022 les mesures imposées par la loi d’urgence. Il est important de savoir que la période de consultation, normalement fixée à 3 mois, a été raccourcie à 3 semaines et cela dans une situation générale de peur, de doutes et d’inquiétude.

Notre monde a été complètement chamboulé en très peu de temps.

Nous nous sommes vus confrontés à une situation effectivement très difficile, pour vous aussi sans aucun doute.

Nous formons un groupe de médecins avisés et engagés ainsi que des personnes n’appartenant pas au milieu médical. Nous sommes extrêmement préoccupés et tenons par ce document à vous fournir en résumé, des informations pas encore ou insuffisamment connues provenant du domaine de la médecine et de la science, pour vous aider dans votre processus de prise de décision.

Au vu des conditions uniques auxquelles nous nous voyons actuellement confrontés, nous nous permettons de vous solliciter et de partager avec vous nos préoccupations, des informations importantes et questions y relatives.

Un grand merci pour le temps que vous voudrez bien prendre pour lire notre lettre ouverte !

1. Coronavirus en 2020 – une interprétation erronée ?

1.1 Le coronavirus 2020 n’est pas un nouveau phénomène, même si certaines séquences de l’ARN (à mutation rapide) sont nouvelles. Chaque hiver, des coronavirus provoquant des maladies infectieuses respiratoires affectent environs 15% de la population, cela sans que cela n’entraîne habituellement de bouleversements majeurs.

1.2 Les raisons pour lesquels les virus causant des refroidissements ne doivent pas nous effrayer sont les suivantes : d’une part nous disposons d’une immunité collective naturelle (ce qui est également le cas pour ce coronavirus); d’autre part nous avons à disposition des mesures de protection plus efficaces, plus rapides et plus simples que l’option du vaccin communément connue (voir aussi sous 1.12) ; des options rapidement applicables tant au niveau médical que thérapeutique, non spécifiques aux virus, mais également efficaces pour les malades souffrant de maladies virales.

1.3. Ensuite, au niveau médical, il y a des maladies de refroidissement virales bien plus significatives que les coronavirus – par exemple le virus de la grippe qui a lui a seul a causé en 2015 la mort de 2’500 patients en Suisse. Comment se portait la population suisse en 2015 et comment se trouve-t-elle aujourd’hui par rapport à 2015 ?

1.4. La science – a-t-elle été ici un combat perdu d’avance ? En 2020, la science s’est vue confrontée à beaucoup de difficultés en Suisse (réponses sans instruments de mesure adaptées – une situation sans précédent dans le secteur de la médecine en Suisse. Connaissances décontextualisées, affirmations sans vrai débat ou même : un savoir-faire sous censure ? Des résultats académiques anticipés et décrétés en mode top-down, depuis en-haut ?)

1.5. Défense contre les infections accrue – nous connaissons parfaitement les moyens efficaces et déterminants à disposition pour nous protéger (en autres une durée de sommeil suffisante (8,5 heures), la réduction du stress, la prise de vitamine C et D3). Ces informations n’ont, ni avant ni après l’apparition du coronavirus 2020, été mises en exergue ou appliquées.

1.6. Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles.

1.7. Comment est-il possible qu’il n’y ait pas d’autopsies en 2020 ni en Suisse, ni en Europe ? Cela crée des statistiques falsifiées sur les causes des décès, qui ne sont plus ni crédibles ni sérieuses. Même des victimes de la route, pour autant qu’elles soient reconnues positives, viennent à être comptées comme des décès suite à la Covid !

1.8. Il y a une somme de contradictions évidentes dans les mesures imposées comme : l’urgence du port du masque en termes de durée et la distance sociale en théorie et en pratique. On voit aussi l’utilisation erronée de certains termes techniques (par exemple le mot « pandémie »).

1.9. La vaccination -dont le principe est propagé dans les médias traditionnels- n’a pas encore été testée et sous la forme prévue restera durablement inscrite dans le génome de la personne vaccinée. Elle se retransmettra d’une génération à l’autre de façon permanente. Nous disposons de rapports sur des expériences faites avec cette nouvelle technologie qui datent du temps de la grippe porcine – enregistrant un nombre de décès nettement plus élevés.

Pouvons-nous accepter ce risque pour nos familles et pour la population ? Des possibilités moins couteuses et des alternatives réelles au vaccin telles que l’appliquent de nos jours déjà la Chine et la Russie (vaccin inactivé sans impact sur le génome) sont restées sans attention.

1.10. Le soi-disant « nombre de cas » constitue un exemple révélateur du manque de sérieux récemment apparu (p.ex. validation de tests, spécificité des tests et sensibilité, indications concernant la fréquence de tests réalisés, saisie et répartition entre malades et non-malades, répartition selon gravité des malades).

1.11. La 2ème vague : mise en scène par les médias et les autorités ? En tant que phénomène, la deuxième vague n’existe pas. Ce fait est connu par tous les médecins et scientifiques qui se basent sur les faits. La meilleure des solutions serait que nous nous préparions à affronter une vague continue – tel que cela a toujours été le cas durant les dernières années (justification voir sous 1.1) sans bouleversement particulier.

1.12. Une vaccination ne protège pas complètement. Tous les essais à ce jour, même ceux de longue date pour trouver un vaccin contre les virus de refroidissements ont démontré une protection lacunaire.

1.13. Les virus ne peuvent être éliminés – même avec un grand effort. Nous devons plutôt nous demander : de quel effort avons-nous besoin pour rester dans une proportion coûts-bénéfices raisonnable ?

2. Droit et démocratie

2.1. Nous pouvons en effet aisément mettre en évidence que le Conseil fédéral avait dès le début de la crise connaissance d’informations indépendantes de sources spécialisées qui non seulement ont clairement dédramatisé la situation au sujet de la Covid, mais également conseillé de suivre une procédure des petits pas ou attiré l’attention sur des thérapies efficaces pour les malades du Sars-CoV-2. Il est révélateur que toutes ces informations viennent de faire surface ces derniers jours, ce qui va conduire à une relativisation sérieuse de la « crise sanitaire ».

2.2. Au deuxième plan – et non en première place au niveau médical – une crise globale s’est formée causant dans un temps record d’énormes dommages.

2.3. Les principes du droit constitutionnel du peuple suisse ont été violentés de façon massive et cela tout à fait inutilement.

2.4. De façon discrète, il a été révélé publiquement que, justement durant la crise du Covid, le Conseil fédéral a conclu des accords de relations commerciales avec la Fondation Bill Gates.

2.5. Une résistance est en train de se former et de prendre de la force contre la politique « Covid » officiellement menée (voir point 4 « État de la nation, volonté populaire »).

2.6. Il est juridiquement controversé que certains cantons usent de la possibilité de dépasser les mesures d‘urgence imposées à tous les Cantons (juin 2020), ceci constituant certainement une violation supplémentaire de la loi fédérale.

3. Médias - liberté d’expression en temps de paix


3.1. Un déclin évident des médias a été observé durant la dernière décennie pour cause de difficultés financières – avec le coronavirus, une manne pour la presse devient soudainement disponible. Quelles en sont les raisons et les répercussions possibles ?

3.2. Censure 2020 : entre autres, les hôpitaux en Suisse n’ont pas eu la permission d’informer librement la population.

3.3. On a observé une abondance de reportages provoquant panique et excès d’angoisse - sans possibilité de se soustraire ou de prendre du recul face à cette influence et ceci sur plusieurs mois. Ce qui constitue une nouveauté dans notre paysage sociétal. Nous avons vu une influence massive déployée avec l’appui des médias ainsi que des nouvelles technologies.

3.4. Combines journalistiques : fidélité aux bailleurs de fonds démontrée par la désinformation (ou même la dissimulation) au sujet d’affirmations fausses, manque de prise en considération de la proportionnalité, de la diversité d’opinions, déformation des propos ainsi que stigmatisation (par exemple calomnie) en cas d’opinions ou de publications contraires à l’opinion officielle.

3.5. Appel au suivisme servile et à la délation. Sommes-nous en train de revenir en temps de guerre ou sous loi martiale ?

3.6. Certaines informations erronées et même exorbitantes ne sont pas corrigées, par exemple l’extrapolation des décès pour cause de la Covid (7%).

4. Etat de la nation et volonté populaire

4.1. Maintenant, 3 mois après introduction de l’arrêté du confinement, la plupart des gens se frottent les yeux. Les économistes sont tous d’accord qu’il va falloir entre 2 et 10 ans pour récupérer économiquement.

Bien des médecins se sont retrouvés avec les mains liées pendent le confinement. Un grand nombre d’interventions urgentes et de traitements nécessaires n’ont plus pu être assurés, au péril et au dommage des personnes malades. Les souffrances psychiques sont immenses, en particulier celles qui ont été imposés aux personnes âgées. Jamais encore n’avons-nous, médecins et thérapeutes, noté une telle augmentation du nombre de patients désespérés et effrayés, ou souffrant d’affections psychiques, ceci au sortir d’une période de 3 mois seulement.

4.2. Plus jamais de confinement- la population ne veut plus jamais devoir passer ainsi 3 mois. Les dégâts collatéraux dépassent toutes les craintes.

4.3. La perte de confiance est immense, tant est grande la divergence entre la présentation de la Covid d’une part et l’évidence médico-scientifique ainsi que la réalité des maladies apparues dans la population d’autre part.

4.4. Des premières plaintes pénales contre le Conseil fédéral ont été déposées.

4.5. Des groupes référendaires se sont formés contre la menace de la chronicisation larvée de la loi d'urgence.

4.6. Nous exigeons la constitution d’une commission d’enquête sur l’épidémie de Covid-19, indépendante, extra-parlementaire et interdisciplinaire.

5. Le parlement - une ressource corrective ?

5.1. La population et en train de se réveiller, elle se rend compte, que quelque chose ne va pas. Visiblement, la situation telle qu’elle nous est présentée n’est pas en adéquation avec la réalité ; elle est largement mensongère et impacte de manière violente le bien-être et le sentiment de sécurité de la population.

5.2. Nous vous exhortons à considérer le moment actuel comme une opportunité unique d’aider la population en Suisse et les familles à dépasser cette période d’anxiété et de dommages en posant les actions nécessaires pour que dans le futur, une situation de crise ne se déroule plus jamais de cette façon.

5.3. « Task-Forces » pétrie de liens d’intérêts, de compromissions, de consultations prédéterminées ou bien commission indépendante, paritaire, et interdisciplinaire ? S’il vous plaît empêchez dorénavant la formation de tels groupes de consultation ad hoc déséquilibrés, qui ne sont systémiquement pas en position de faire preuve de la responsabilité requise.

5.4. La liberté de la presse est un autre bien collectif qui doit être rétabli immédiatement. Pendant des situations de crise, la liberté d’expression doit être garantie. Notre démocratie est assez forte pour assurer cela !

5.5. En temps de crise, les chargés de communication du gouvernement ainsi que l’engagement ici clairement disproportionné de la police et des forces militaires doit dorénavant être soumis au contrôle du parlement.

5.6. La prise d’engagements au niveau international (cf. la nouvelle loi sur les épidémies, l’obligation de vacciner) ne doit pas violer notre droit constitutionnel fondamental ; une correction par le parlement s’impose donc absolument.

5.7. Nous venons de le vivre en 2020 : sous la menace de la chronicisation de la loi d’urgence, une future restriction de nos droits est hélas tout à fait envisageable. Allons-nous vers une Suisse sans droits politiques accordés au peuple ? Nous avons impérativement besoin de réglementations strictes à ce sujet.

5.8. En temps de crise, notre parlement doit à l’avenir être capable d’agir. Le printemps 2020 nous a bien montré combien peuvent être néfastes la privation de liberté et les atteintes aux droits démocratiques et ce que cela signifie de devoir se soumettre à l’impact concentré des forces gouvernementales et de la technologie. La reproduction d’une telle situation est inacceptable et doit dorénavant être soumise au strict contrôle du parlement.

5.9. Par l’acceptation de la décision du Conseil fédéral vous contribueriez à la perpétuation de la situation étatique insidieuse vécue pendant la Covid. La décision de ne pas entrer en matière, vous offre, cependant, la possibilité de reprendre votre travail en toute tranquillité, au service du bien commun.

5.10. Profitez donc maintenant de cette opportunité ! Nous avons tous beaucoup souffert, dans notre travail et notre qualité de vie, des restrictions imposés en 2020. Cela avec des conséquences très néfastes pour chacun et la communauté dans son ensemble. Saisissez sans tarder la chance qui vous est donnée de pouvoir contribuer au rétablissement d’une situation normale avec certaines améliorations.

5.11. Nous nous souhaitons une Suisse- au cœur de l’Europe – qui continue à être reconnue pour son rôle de précurseur tant pour sa fiabilité que pour son niveau de vie élevé. Nous en sommes tous fiers – contribuez à ce que cela redevienne normal.

5.12. Laissez-nous reprendre nos activités et notre vie courante.

5.13. Veillez à ce que le fonctionnement parlementaire soit rétabli sans restriction et sans délai et que la crise du coronavirus puisse être considérée comme une interprétation erronée dans le contexte de notre histoire. S’il vous plaît veillez à ce qu’une telle interprétation erronée, avec toutes ses conséquences, ne puisse plus jamais se reproduire !

6. Références principales actuelles

6.1.https://www.merkur.de/welt/coronavirus-impfstoff-virologe-streeck-zweite-welle-warnung-deutschland-massentests-drosten-streit-zr-13834907.html

6.2. https://www.tagesanzeiger.ch/das-coronavirus-scheint-weniger-gefaehrlich-als- gemeinhin- vermutet- 552799806256

Nous vous remercions cordialement d’avoir pris connaissance de ce qui précède tout en vous souhaitant plein de courage pour le travail qui vous attend !

Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs, nos salutations distinguées.


Schmerzspezialist SGSS, Neuraltherapie SANTH

FA Allgemeine Innere Medizin FMH,

Association Santé Suisse

Case postale 3161

3001 Berne

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