L'Assemblée Nationale a voté, mercredi 17 juin, la sortie de l'état d'urgence sanitaire à compter du 10 juillet prochain. Le texte doit encore passer au Sénat dès lundi prochain.
Mesure de confinement, limitation des transports, fermeture au public de certains lieux, interdiction des marchés, interdiction de rassemblements, encadrement des prix des gels hydroalcooliques, réquisition de masques... toutes ces mesures ont été rendues légales, les mois passés, par l'état d'urgence sanitaire prononcé par le gouvernement le 16 mars dernier et prévu pour durer jusqu'au 10 juillet prochain.
Mercredi 17 juin, l'Assemblée Nationale a voté en première lecture la sortie de l'état d'urgence sanitaire à partir du 10 juillet, avec le soutien des députés LREM, MoDem et Agir, et ce malgré des oppositions à droite comme à gauche qui jugent le projet de loi "liberticide". Seuls la Guyane et Mayotte, où le virus circule encore activement, devront attendre le 30 octobre pour sortir de l'état d'urgence sanitaire.
"L'état d'urgence sanitaire va prendre fin mais notre vigilance, elle, doit demeurer intacte", a plaidé le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi 17 juin, avant l'adoption du texte à l'Assemblée. Le texte prévoit, en effet, une période de "vigilance" durant laquelle des restrictions resteront possibles. Cette sortie doit donc "être organisée" d'après Olivier Véran, qui estime que "ne pas conserver certaines mesures, ce serait faire comme si les risques de redémarrage n'existaient pas", et ce alors même que la situation de seconde vague à Pékin "montre bien que personne n'est à l'abri".
Mesure de confinement, limitation des transports, fermeture au public de certains lieux, interdiction des marchés, interdiction de rassemblements, encadrement des prix des gels hydroalcooliques, réquisition de masques... toutes ces mesures ont été rendues légales, les mois passés, par l'état d'urgence sanitaire prononcé par le gouvernement le 16 mars dernier et prévu pour durer jusqu'au 10 juillet prochain.
Mercredi 17 juin, l'Assemblée Nationale a voté en première lecture la sortie de l'état d'urgence sanitaire à partir du 10 juillet, avec le soutien des députés LREM, MoDem et Agir, et ce malgré des oppositions à droite comme à gauche qui jugent le projet de loi "liberticide". Seuls la Guyane et Mayotte, où le virus circule encore activement, devront attendre le 30 octobre pour sortir de l'état d'urgence sanitaire.
"L'état d'urgence sanitaire va prendre fin mais notre vigilance, elle, doit demeurer intacte", a plaidé le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi 17 juin, avant l'adoption du texte à l'Assemblée. Le texte prévoit, en effet, une période de "vigilance" durant laquelle des restrictions resteront possibles. Cette sortie doit donc "être organisée" d'après Olivier Véran, qui estime que "ne pas conserver certaines mesures, ce serait faire comme si les risques de redémarrage n'existaient pas", et ce alors même que la situation de seconde vague à Pékin "montre bien que personne n'est à l'abri".
L'essentiel des mesures de l'état d'urgence devrait donc prendre fin prochainement, mais le projet de loi autorise encore des restrictions concernant la circulation des personnes, l'accueil du public dans certains établissements ou encore certains rassemblements.
Par ailleurs, si les Françaises et les Français étaient amenés à se reconfiner dans les mois à venir, le gouvernement devrait de nouveau décréter un état d'urgence sanitaire.
Le texte sera étudié au Sénat à partir du lundi 22 juin.
Objectif : empêcher les Français de manifester !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.