Selon les rapports, au moins 26 enfants sont morts et la santé de plusieurs autres a été sérieusement endommagée après qu’ils aient reçu un vaccin avec 5 valences, à savoir le Quinvaxem. Les journaux ont rapporté que toutes les victimes ont subi des effets indésirables dont la fièvre, des vomissements et l’apparition d’ecchymoses sur l’ensemble du corps.
Le Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type b).
Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration.
Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !
Enfants utilisés comme cobayes
Le Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type b).
Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration.
Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !
Enfants utilisés comme cobayes
Voici un nouvel exemple d’enfants qui meurent et beaucoup d’autres qui souffrent des effets secondaires d’un vaccin testé sur des enfants vulnérables de pays en voie de développement. N’est-il pas grand temps que l’OMS arrête de prétendre que leurs programmes sont destinés à protéger les enfants ?
J’invite les lecteurs à lire un document rédigé par le Dr Rebecca Carley intitulé : « Vaccinations : les véritables armes de destruction massive (qui provoquent des maladies induites par les vaccins), dans lequel elle écrit :
« En fait, la « prévention » d’une maladie par le biais de la vaccination représente en réalité une incapacité à expulser certains organismes en raison de la suppression de la réponse à la médiation cellulaire. Ainsi, plutôt que de prévenir la maladie, la vaccination empêche que cette dernière trouve une solution. »
Le Dr R.Carley a pris conscience de toutes ces atrocités et elle a tenté désespérément de mettre tout le public en garde.
La maladie de Kawasaki
Il est tout à fait possible que nombre de ces enfants aient souffert d’une réponse auto-immune après qu’on leur ait injecté ce vaccin. Je base mon opinion sur une série d’articles et d’études effectuées sur la maladie de Kawasaki.La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une vaccination. En fait, les scientifiques qui ont étudié de près cette maladie disent que des preuves suggèrent fortement qu’un agent infectieux comme un virus ou un vaccin puisse provoquer la maladie.Les enfants souffrant de la maladie de Kawasaki souffrent de symptômes très proches de ceux des enfants qui ont été vaccinés avec le Quinvaxem. J’ai établi un lien avec le Quinvaxem car la maladie peut entraîner les problèmes suivants :
- Yeux rouges et injectés de sang provoqués par une conjonctivite (mais sans présence de pus)
- Couperose, taches rouges principalement sur le tronc ou sur les organes génitaux.
- Lèvres sèches, rouges et fissurées
- Langue rouge, enflammée avec des taches blanches circulaires ; gorge rouge.
- Ganglions lymphatiques gonflés de chaque côté du cou.
- Mains et pieds gonflés qui deviennent rouges et durs avec desquamation des doigts et des orteils deux à trois semaines après que la maladie a débuté.
- Mal de gorge
- Toux
- Abdomen douloureux
- Vomissements
- Diarrhée
- Articulations gonflées ou douloureuses.
- Plusieurs enfants peuvent mourir d’une insuffisance cardiaque ou d’une crise cardiaque. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la maladie de Kawasaki est réputée être la cause la plus courante de maladies cardiaques chez les enfants.
« En 1967, Kawasaki Tomisaku décrit le cas de 50 enfants japonais atteints de fièvre, d’éruptions cutanées, d’érythème, de gonflement des mains et des pieds et d’adénopathies cervicales…KD (Kawasaki Syndrome ; Kawasaki Disease) est la plus fréquente au Japon, où plus de 125.000 cas ont été signalés. La maladie est également plus fréquente chez les japonais et les autres enfants asiatiques vivant à l’étranger. Les enfants âgés de 6 mois à 5 ans sont les plus sensibles avec un pic d’incidence chez les enfants de 9 à 11 mois. On a signalé des variations saisonnières de la maladie, avec l’apparition d’un pic en hiver et au printemps. On n’a pas observé de contagion directe de personne à personne. Au Japon la maladie est plus fréquente entre frères et sœurs avec un pic d’incidence de 8-9% entre frères et sœurs de moins de deux ans. »
Il est intéressant de noter que les auteurs mentionnent la vaccination comme un déclencheur possible :
« … L’irritabilité est un signe important ; elle est presqu’universellement présente bien que ne figurant pas dans les critères de diagnostic. Le mécanisme exact de l’irritabilité n’est pas clair, mais il peut être lié à la présence d’une méningite aseptique. Un autre signe clinique qui n’est pas repris dans les critères de diagnostic et qui est relativement spécifique à KD (Maladie de Kawasaki), est l’apparition d’un érythème et d’une induration aux sites de la vaccination BCG… Comme un nombre croissant de nourrissons reçoivent le BCG au Royaume Uni, il est probable que ce signe deviendra de plus en plus habituel et la prise de conscience de ce fait pourrait permettre un diagnostic et un traitement plus précoces. »
Si vous lisez attentivement les déclarations qui précèdent, vous pourrez reconnaître que l’âge des enfants le plus à risque de contracter la maladie est précisément l’âge à partir duquel les enfants reçoivent le plus de vaccins.
Le Dr Michael Innis se réfère souvent à la maladie dans les cas où des enfants sont abusés. Elle dit que les marques et les ecchymoses que l’on retrouve dans la maladie de Kawasaki sont souvent confondues avec la maltraitance des enfants.
Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur résumé :
« Nous décrivons ici le cas d’un enfant de 35 jours qui a fait la maladie de Kawasaki 1 jour après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre l’hépatite B. Bien que très rare, cet effet secondaire possible doit être noté et étudié d’une manière plus approfondie.»
Ce document a été écrit en 2003. Comment se fait-il dès lors que le lien entre vaccinations et le syndrome de Kawasaki n’ait pas fait l’objet d’un examen plus approfondi ? Un autre article intitulé « Maladie de Kawasaki après vaccination : rapport d’événements indésirables (système de déclaration) 1990-2007. » stipule :« Depuis le 14 octobre 2007, 107 rapports de KD (maladie de Kawasaki) ont été transmis au VAERS : 26 cas ont été considérés classiques, 19 cas classés atypiques, 52 cas possibles, 10 non classifiés. Sur 97 cas, 91% étaient des cas d’enfants. »
Les auteurs ont conclu que leur étude ne voulait pas suggérer un risque élevé de maladie de Kawakasi pour le RotaTeq ou les autres vaccins, ils suggèrent que soit poursuivie la surveillance post-commercialisation pour la maladie de Kawasaki.
Tous ces documents suggèrent que la série habituelle des vaccins puisse éventuellement accroître le risque pour les enfants de faire cette maladie.
L’un des articles parmi les plus mémorables qui fait comprendre que la maladie de Kawasaki peut survenir après les vaccinations a été écrit par Lisa Blakemore-Brown dans une réponse à une étude finlandaise au sujet de la sécurité du vaccin ROR dans le British Medical Journal de 2001. Elle écrivait :
« Si un groupe de personnes s’effondrent après avoir mangé, par exemple de la sole limande dans un restaurant, on trouverait inacceptable et ridicule que les responsables tentent d’étouffer l’affaire en disant que des millions de gens mangent de la sole limande tous les jours et qu’il n’y a pas de problème. De leur côté, les responsables de la Santé et de la sécurité n’hésiteront pas à aller droit au but: ils examineront les personnes malades, le poisson du restaurant et vérifieront les tests de laboratoire.
Comme des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin et que dans certains cas, on avait affaire à « une nouvelle variante de l’autisme », à la perte des compétences en communication, à des déficiences motrices, à des problèmes intestinaux, n’aurait-on pas pu considérer qu’il appartenait au gouvernement de chercher à obtenir des réponses ?
Cette incidence de l’autisme est indiscutable. Il ne s’agit pas d’un meilleur dépistage de l’autisme. Ce TYPE d’autisme est inhabituel et déroutant pour des professionnels de l’éducation à la santé. Un des cas que j’ai pu observer était une réaction claire et indiscutable au vaccin contre la coqueluche. On a pu observer que l’enfant en question souffrait de la maladie de Kawasaki, son système immunitaire s’étant retourné contre l’enfant. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’existait aucun cas d’autisme dans la famille, mais le bébé souffrait d’allergies avant la vaccination. Ce sont des examens scientifiques comme celui-ci qui pourront finalement nous permettre de mettre en place les mesures qui pourront rassurer le public.
Le refus catégorique de s’occuper des véritables problèmes et de s’occuper des individus qui souhaitent pouvoir choisir nous semble relever d’une politique dangereuse, tout spécialement avant une élection.» [10]J’ai choisi de publier cet extrait parce qu’il peut concrétiser certains conseils très fermes pouvant s’appliquer à des organisations comme l’UNICEF qui offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons.
Comme ce fut le cas pour le Dr Carley, le travail de Madame Blakemore-Brown a été lui aussi discrédité, alors qu’il s’agit de professionnels talentueux et doués qui partagent les graves inquiétudes de centaines d’autres professionnels de la santé et qui font les mêmes déclarations. Nombre d’entre eux ont été les cibles de campagnes de haine avant de voir leur carrière sabotée.
Conclusion
L’OMS et l’UNICEF ne se sont pas gênées d’effectuer des tests et d’offrir gratuitement des vaccins douteux aux populations pauvres et vulnérables des pays en voie de développement. La vie de ces enfants est aussi très précieuse. Ce ne sont pas des rats de laboratoire ni des cobayes que l’on peut utiliser à volonté. Ce sont des enfants comme tous les autres ; Ils ont des frères, des sœurs, une maman, un papa, des oncles, des tantes et des grands-parents qui les aiment beaucoup.
Leurs parents crédules croient la propagande que des groupes comme l’UNICEF met à leur disposition. Ils croient que ces vaccins sont sans danger et qu’ils protégeront leurs précieux bébés. Au lieu de cela, leurs enfants sont en train de mourir après avoir reçu des vaccins.
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