03 mai 2020

Bill Gates-Jeffrey Epstein : la connexion


L’étau se resserre autour de Bill Gates : les preuves de sa relation « privilégiée » avec le pédocriminel maître-chanteur du Mossad Jeffrey Epstein éclatent de plus en plus au grand jour. À l’heure où un demi-million d’Américains pétitionnent pour réclamer une investigation sur les « crimes contre l’humanité » du multimilliardaire philanthrope, c’est tout un système qui prend l’eau.

Voyez cet article de Contrepoints intitulé « Haro sur les riches en général et sur Bill Gates en particulier ! » : il prouve à quel point les petits libéraux arrogants n’ont rien compris de la différence entre entreprenariat et monde de la finance. Ils croient faire partie de la « famille » mais ils n’en sont que les idiots utiles. Ce sont les mêmes qui ont voté Macron parce qu’il incarnait à leurs yeux le libéralisme, alors qu’il n’était que l’agent de la destruction ultra-libérale de l’économie. Non messieurs, Bill Gates n’est pas détesté parce qu’il est riche, mais bien parce qu’il est un rouage essentiel du capitalisme financier qui détruit tout, à commencer par la production réelle et tout ce que vous êtes censés défendre, vous les droitards, éternels cocus de l’histoire.

Mais pour le comprendre, le porte-monnaie ne suffit pas, encore faut-il avoir du courage et des connaissances, des couilles et un cerveau. Et lorsque l’on étudie sérieusement le parcours et les actions du pauvre Bill Gates, la vérité est assez implacable : c’est un pion. Un pion du Nouvel Ordre mondial dont chaque geste consiste à alimenter et soutenir – sous des oripeaux humanistes – un système fondé sur la domination de la bourse et des multinationales.

La fondation Bill-et-Melinda-Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :
  • c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;
  • la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;
  • les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique...
Probablement recruté dans années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein.

Gates, Clinton, Epstein : les trois ont des liens étroits

Bill Clinton a été financé par Epstein à travers le Parti démocrate et la fondation Clinton (qui est officiellement une ONG à but humanitaire); fondation qui est également financée par Bill Gates...

Gates et Clinton sont partenaires au sein du conseil d’administration de l’organisation Unitaid de l’ancien ministre français de la Culture – soupçonné de pédophilie – Philippe Douste-Blazy...

L’un des exécuteurs testamentaires de Jeffrey Epstein, Boris Nikolic, est « conseiller scientifique » à la fondation Bill-et-Melinda-Gates...

La directrice des programmes de fondation Bill-et-Melinda-Gates, Mélanie Walker, est une ancienne « conseillère scientifique » de Jeffrey Epstein...

Bill Gates, Jeffrey Epstein, Jes Staley (PDG de Barclays, ancien haut cadre de JP Morgan) et Lawrence Summers (secrétaire du Trésor des États-Unis de l’administration Clinton) ont tenté en 2011 de mettre sur pieds un « fonds mondial pour la santé », le Global Health Investment Fund...

Gates a fait un don de 2 millions de dollars au laboratoire de recherche de l’Institut de technologie du Massachusetts, le Media Lab, sur « recommandation » d’Epstein...

Gates a voyagé à au moins une reprise (en mars 2013) à bord de l’avion privé d’Epstein, le fameux Lolita Express dont Clinton était un habitué...
James Stewart sur MSNBC en octobre 2019 : « Gates nie les faits mais ils se sont rencontrés au moins six fois » (traduction ERTV)
Les défenseurs de Bill Gates vont-ils arguer de la « théorie du complot » pour balayer d’un revers de la main ces faits qui tendent à confirmer l’implication profonde du « philanthrope » dans un réseau de domination mondiale, criminel, politique et financier ? Doit-on rappeler les accusations de harcèlements sexuels, d’agressions sexuelles et d’appartenance à un réseau de trafic d’enfants et de pédocriminalité (Pizzagate) de Bill Clinton ? Doit-on rappeler aux grands médias soumis (la fondation Bill-et-Melinda-Gates a accordé 4 millions de dollars au quotidien Le Monde entre 2014 et 2019) que Jeffrey Epstein était déjà inscrit sur la liste américaine des délinquants sexuels et avait déjà purgé une peine de prison pour une affaire de prostitution impliquant une mineure lorsque Bill Gates l’a soi-disant rencontré pour la première fois ?

Le fait que Gates, via l’OMS qu’il contrôle entièrement (le bouffon Tedros Ghebreyesus est d’ailleurs un ancien associé de la fondation Clinton), soit le principal pourvoyeur de psychose dans l’actuelle épidémie de coronavirus devrait mettre la puce à l’oreille à certains quant aux intérêts défendus... De ce point de vue-là, la pandémie prend des atours de lutte finale pour un système de parasites au projet dictatorial : l’affaiblissement et le contrôle du peuple par la vaccination et la surveillance généralisée étant bien l’une des dernières cartes à jouer.

Et dans cette lutte, la chute prochaine de Bill Gates est une hypothèse crédible (homme de paille goy des véritables oligarques prêts à le sacrifier, récent piratage des mails de l’OMS, de la fondation Bill-et-Melinda-Gates, de la Banque mondiale et de l’Institut de virologie de Wuhan).

Il ne manquerait plus qu’on trouve des liens entre Yves Lévy, Bill Gates et Jeffrey Epstein ! Qui a dit Pierre Bergé et l’arnaque du SIDA ?!

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