(…) Ainsi, pour les trois signataires, « la crise climatique ne concerne pas seulement l’environnement ». C’est aussi une « crise des droits de l’homme, de la justice et de la volonté politique ». « Des systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l’ont créée et alimentée », estiment-elles… sans aucun argument pour étayer leur propos. « Nous devons les démanteler », insistent les militantes, en expliquant que « les dirigeants politiques ne peuvent plus fuir leurs responsabilités ». Dans cette même tribune, les trois activistes appellent à renouveler la grève du climat.
Je n’y croyais pas, mais je suis allé vérifier et Greta Thunberg l’a bel et bien écrit ainsi : elle lie la crise climatique aux « systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux ». On nage en plein délire! Source : https://t.co/n5F2um1730 pic.twitter.com/lPIY61QQWo— Bruno Ranulf (@brunoranulf) 6 décembre 2019
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