La révélation messianique de Greta Thunberg, visant à promouvoir la commercialisation d'énergies dites "propres", qui fait suite à l'hypothétique théorie de l'apocalypse climatique, toujours à venir, implique l’utilisation en masse de véhicules électriques, imposés comme l'alternative à l’utilisation des combustibles fossiles.
L’immense mensonge de cette campagne est qu’elle ferme les yeux sur un fait immonde : des dizaines de milliers d’enfants sont réduits en esclavage dans les mines de Cobalt du Congo, pour extraire le précieux minerai permettant de fabriquer les batteries nécessaires à cette technologie, et à tous les gadgets utilisés par les amis de Greta.
Nous sommes face à un problème humanitaire de première importance, qui devrait-être médiatisé par Greta et son staff, sinon comment soutenir les diatribes enflammées de la petite, si l'on peut encore parler d'éthique face au "business vert" !
Le journal britannique The Guardian a publié en 2018 l’information selon laquelle au moins 35.000 enfants esclaves, dont certains n’ont pas plus de six ans, travaillent pour cette industrie totalement dérégulée, pour le plus grand plaisir de l'occident, dans l’un des États les plus pauvres et les plus ravagés par les conflits du monde. Le Congo lutte encore pour sortir de la série de guerres consécutives qui ont tué plus de cinq millions de personnes au cours des deux dernières décennies, principalement du fait de la famine et des maladies résultant directement de ces conflits.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.