Les Français vont dépenser plus de 20 milliards d’euros en ligne pour leurs cadeaux de Noël au lieu de 18 milliards l’année dernière.
Ces sommes dépensées sur « internet », seront autant d’argent en moins dépensé dans les magasins de nos petits ou gros commerçants.
Si la grande distribution souffre beaucoup de ces changements des usages, les petits commerçants eux, sont à la torture.
Nous vivons une grande période de changement des usages, et le commerce de ville comme nous l’avons connu vit ses dernières heures.
Si les commerces de bouche ou à forte valeur de conseil se portent toujours très bien, tous les commerce en concurrence directe avec Amazon, par exemple, devront changer leurs manières de faire, et sans doute même les produits qu’ils proposent et pour lesquels ils ne pourront pas être compétitifs.
SI l’ouverture des magasins le dimanche a semblé une manière de résister, cela reste un combat d’arrière garde. L’une des réponses pour sauver le commerce de centre ville, c’est de concevoir ce que l’on appelle pompeusement une « expérience client » dans la ville qui va du stationnement au plaisir de la déambulation. Une autre piste est d’intégrer les commerçants de centre ville dans l’économie circulaire et de réparation de produits achetés chez les e-commercants.
Charles SANNAT
Source AFP via Boursorama.com ici
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