À cheval entre le thriller et le film d’horreur, les carabiniers de Reggio d’Émilie, dans le nord de l’Italie, ont découvert un aberrant système mis sur pied par les services sociaux et des associations de soi-disant protection de l’enfance qui, sous des prétextes fallacieux, ôtaient des enfants de leur famille biologique pour les confier à amis et connaissances, moyennant pécule… de centaines de milliers d’euros. Une soudaine incrémentation des plaintes pour abus sexuels dans le cadre familial – révélés par la suite infondés – de la part des services sociaux avait éveillé les suspicions du parquet local et déclenché l’enquête « anges et démons », en août 2018.
Rapports d’assistantes sociales falsifiés, insertions de connotations sexuelles dans les dessins des enfants, fabrications de faux souvenirs de maltraitance et de viol à l’aide de machines électriques, tortures et « exercices » psychologiques pour « mettre à mort » les parents ou induire les enfants à les haïr… les modalités employées font froid dans le dos et les enregistrements des séances de thérapie – lisez lavages de cerveau – ne laissent aucune place au doute : « Ton père t’a violée, ta mère est une p…, ils ne veulent pas de toi. Tu as été maltraitée » ; « Quand on t’a dit que tu ne reverrais plus ton papa, tu étais contente, tu te rappelles ? Non, je ne me souviens pas d’avoir dit ça, j’aimerais le revoir, papa me manque. »
Hélas, l’horreur ne finit pas là. Car, en plus des ravages psychologiques, plusieurs mineurs ont subi au sein des familles d’accueil des abus physiques et sexuels. Foyers d’accueil qui allaient, entres autres, de l’ex-partenaire homosexuelle d’une des psychologues aux propriétaires de sex-shops et autres couples ayant fait preuve d’« instabilité parentale » ou dont les enfants se sont suicidés. Au moins deux cas de viols ont été certifiés.
Les carabiniers de Reggio d’Émilie affirment que, si tous les enfants ont subi des dommages psychologiques irréparables, certains d’entre eux, aujourd’hui adolescents, font montre de comportements autodestructeurs ou ont sombré dans la toxicomanie.
Un film d’horreur, oui. Mais les Italiens n’en sauront pas beaucoup plus en allumant leur télévision ou en ouvrant leur journal : une véritable omerta règne sur cette affaire. En cause : la participation d’élus démocrates, de membres du monde associatif et activistes LGBT. La crème de la crème de la bien-pensance. À ce jour, une trentaine de personne ont été mises en examen pour mauvais traitements sur mineurs, blessures gravissimes, faux en acte public, violence privée, tentative d’extorsion, détournement de fonds, fraudes et abus de pouvoir. Parmi elles, des assistantes sociales, des thérapeutes, des médecins et le maire démocrate de Bibbiano, en Émilie-Romagne, Andrea Carletti, qui s’est depuis démis de sa fonction et est assigné à résidence. Notons que le Partito Democratico local exprime « sa solidarité » à… Andrea Carletti, sans proférer mot pour les victimes. Deux autres anciens maires PD (Partito Democratico) de la région sont sur la liste des suspects. Mais pour la gauche, toute les tentatives de dénonciation de ces faits gravissimes ne sont qu’instrumentalisation politique ou « campagnes de haine ».
Et le pape ? Et les fameux journalistes ?
Rapports d’assistantes sociales falsifiés, insertions de connotations sexuelles dans les dessins des enfants, fabrications de faux souvenirs de maltraitance et de viol à l’aide de machines électriques, tortures et « exercices » psychologiques pour « mettre à mort » les parents ou induire les enfants à les haïr… les modalités employées font froid dans le dos et les enregistrements des séances de thérapie – lisez lavages de cerveau – ne laissent aucune place au doute : « Ton père t’a violée, ta mère est une p…, ils ne veulent pas de toi. Tu as été maltraitée » ; « Quand on t’a dit que tu ne reverrais plus ton papa, tu étais contente, tu te rappelles ? Non, je ne me souviens pas d’avoir dit ça, j’aimerais le revoir, papa me manque. »
Hélas, l’horreur ne finit pas là. Car, en plus des ravages psychologiques, plusieurs mineurs ont subi au sein des familles d’accueil des abus physiques et sexuels. Foyers d’accueil qui allaient, entres autres, de l’ex-partenaire homosexuelle d’une des psychologues aux propriétaires de sex-shops et autres couples ayant fait preuve d’« instabilité parentale » ou dont les enfants se sont suicidés. Au moins deux cas de viols ont été certifiés.
Les carabiniers de Reggio d’Émilie affirment que, si tous les enfants ont subi des dommages psychologiques irréparables, certains d’entre eux, aujourd’hui adolescents, font montre de comportements autodestructeurs ou ont sombré dans la toxicomanie.
Un film d’horreur, oui. Mais les Italiens n’en sauront pas beaucoup plus en allumant leur télévision ou en ouvrant leur journal : une véritable omerta règne sur cette affaire. En cause : la participation d’élus démocrates, de membres du monde associatif et activistes LGBT. La crème de la crème de la bien-pensance. À ce jour, une trentaine de personne ont été mises en examen pour mauvais traitements sur mineurs, blessures gravissimes, faux en acte public, violence privée, tentative d’extorsion, détournement de fonds, fraudes et abus de pouvoir. Parmi elles, des assistantes sociales, des thérapeutes, des médecins et le maire démocrate de Bibbiano, en Émilie-Romagne, Andrea Carletti, qui s’est depuis démis de sa fonction et est assigné à résidence. Notons que le Partito Democratico local exprime « sa solidarité » à… Andrea Carletti, sans proférer mot pour les victimes. Deux autres anciens maires PD (Partito Democratico) de la région sont sur la liste des suspects. Mais pour la gauche, toute les tentatives de dénonciation de ces faits gravissimes ne sont qu’instrumentalisation politique ou « campagnes de haine ».
Et le pape ? Et les fameux journalistes ?
Et surtout tous ces VIP boboïsants d’habitude si attentifs à dénoncer tout et rien, à s’indigner copieusement de tout écart du politiquement correct ? Ceux-ci sont muets comme des carpes. Car cette affaire est le fruit d’un courant idéologique, leur courant idéologique, qui voit dans la famille traditionnelle un facteur d’oppression et un ennemi à abattre, et considère les enfants comme un bien de consommation comme les autres.
Le ministre aux Affaires familiales de la Lega a, quant à lui, immédiatement demandé l’institution d’une commission d’enquête nationale sur l’action des maisons d’accueil en charge des mineurs, tout en rappelant que celle-ci était un des premiers points du projet de loi qu’il avait présenté en avril dernier, auquel le Mouvement cinq étoiles n’avait pas donné suite.
Source : https://www.bvoltaire.fr/scandale-en-italie-des-enfants-arraches-a-leur-famille-et-vendus/
France : « Enfants placés : les sacrifiés de la République»
Ils s’appellent Fanny, Julien, Maïwenn, Kylian, Missa ou Océane, ils ont 6, 7, 9, 11 et 15 ans. Leur vie a commencé dans la douleur à cause de parents violents ou absents, incapables de s’occuper de ceux qu’ils ont mis au monde. Les services sociaux sont intervenus pour les extraire de leur famille et les placer en lieu sûr : maison d’enfants, foyers d’urgence ou famille d’accueil. Mais pour eux, le calvaire va continuer.
L’enquête menée par Sylvain Louvet au cœur de l’Aide Sociale à l’Enfance révèle l’ampleur d’une réalité jusqu’ici étouffée. Elle montre des éducateurs dépassés et parfois maltraitants, des enfants en pleine détresse dans des situations d’une extrême gravité : certains sont sexuellement abusés par d’autres enfants. D’autres, âgés de 15 ans sont placés dans des chambres d’hôtel, livrés à eux-mêmes. Côté familles d’accueil, le constat n’est guère plus positif. Les contrôles sont rares. Certaines assistantes familiales condamnées pour maltraitance continueraient à accueillir des enfants.
En France, l’État laisse aux départements la responsabilité de décider du sort des 300.000 enfants placés. 8 milliards d’euros sont distribués chaque année, une partie est reversée à des associations au fonctionnement parfois opaque. L’enquête révèle comment un responsable d’un centre d’accueil aurait détourné près de 200.000 euros d’argent public aux dépens des enfants qu’il accueillait. Et lorsqu’ils atteignent l’âge de 18 ans, l’aide sociale à l’enfance, bien souvent, ne les prend plus en charge. Aujourd’hui, un sdf sur 4 est un ancien enfant placé. Face à toutes ces dérives, des éducateurs descendent dans la rue. Ils ne sont pas les seuls à alerter : des juges dénoncent le manque de moyens pour protéger ces enfants vulnérables…
Source : http://www.leblogtvnews.com/2018/12/enfants-places-les-sacrifies-de-la-republique-enquete-inedite-et-debat-sur-france-3.html
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