«Cette idée est devenue obsolète et est en conflit avec les intérêts de l’immense majorité de la population […] Cette idée libérale présuppose que l'on ne peut rien faire. Que les migrants peuvent tuer, piller, violer en toute impunité du fait que leurs droits sont protégés», a-t-il estimé.
Il a notamment critiqué la décision de la chancelière Angela Merkel d'ouvrir les frontières allemandes à un million de réfugiés, estimant qu'il s'agissait d'une «erreur capitale». Il a en revanche loué la politique américaine de la fermeture des frontières aux migrants illégaux.
Ses propos ont fait réagir Donald Tusk, qui s’est dit être «en total désaccord» avec lui.
«Quiconque affirme que la démocratie progressiste est obsolète dit par là-même que les libertés sont obsolètes, que l'État de droit est obsolète et que les droits de l'Homme sont obsolètes», a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse organisée à Osaka.
Il a souligné qu’il s’agissait de «valeurs essentielles et vivaces» pour l’Europe.
Source
Tusk parle à la place des peuples d'Europe, qui eux n'ont pas tout a fait les mêmes idées sur ces sujets...
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